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Mémoires d'un vieux cochon

Chapitre 21

Hétéro
ROXANE (2/9)

Une semaine plus tard, je l’emmenai dans un bois ; nous avons passé l’après-midi à nous embrasser et à nous caresser mais, bien qu’elle fût terriblement excitée (déclarant qu’elle voulait me violer), Roxane refusa que mes doigts aillent au-delà du rempart de sa culotte. Elle me toucha juste un peu la verge par-dessus mon pantalon. Avant de la ramener, je lui dis que je ne pouvais pas rester dans cet état, et que j’allais me soulager moi-même. Je m’éloignai un peu, mais je n’arrivais pas à bander, trop énervé par la tournure des événements. Lorsque je la rejoignis dans la voiture, elle m’embrassa et me caressa le sexe (toujours par-dessus le pantalon) ; j’ouvris ma braguette. Elle me branla tout en m’embrassant, puis elle essuya mon sperme avec des Kleenex.
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Nous nous retrouvâmes le lendemain soir ; refusant le restaurant que je lui proposais, Roxane – sans doute tenaillée par un autre type de faim – m’emmena dans un hôtel de la périphérie. Une fois dans la chambre, je la déshabillai partiellement, conservant uniquement son pull en mohair, ses bas noirs et une mignonne petite culotte noire. Je léchai ses pieds gainés de nylon, puis lui caressai les seins. Ayant ouvert ma braguette, je caressai ses tétons avec mon gland puis, l’embrassant sur le ventre, je lui excitai la vulve de mes doigts, faisant pénétrer sa jolie culotte entre ses lèvres mouillées de désir pour l’enfoncer dans son vagin. Lorsque sa culotte fut bien imprégnée de sa liqueur d’amour, je la lui enlevai ; elle me la donna en souvenir, pour alimenter mes fantasmes et mes futures masturbations solitaires…
Ensuite, ce fut ma langue qui remplaça mes doigts pour lui procurer un premier orgasme, qui a été assez long à venir. Je savais ce qu’elle appréciait particulièrement lorsque je la caressais avec ma bouche : tout d’abord, en faisant glisser ma langue de bas en haut de sa vulve, puis par de subtils coups de langue sur son clitoris avant d’aspirer son petit organe qu’elle avait très sensible, tout en pratiquant des succions en haut de ses petites lèvres. Dès qu’elle eut joui, je la pénétrai profondément avec ma verge. Rapidement, elle grimpa sur moi, et c’est elle qui me baisa, m’imposant le rythme qui lui convenait. Elle me dit en gémissant que ça lui faisait énormément de bien ; mais nous n’avons pas joui tout de suite. Replaçant mon visage entre ses cuisses, je repris mes succions sur son clitoris en lui introduisant un index dans le vagin ; mon pouce le remplaça bientôt, libérant l’index qui vint gratouiller l’entrée de son anus, avant de le pénétrer plus profondément.
Ces deux doigts se démenaient dans chacun de ses orifices, puis j’enlevai mon pouce de son vagin pour le remplacer par mon nez qui pénétra cette chaude moiteur. Ma langue se trouvant devant sa petite ouverture froncée, j’en profitai pour la lécher. Finalement, je recommençai à téter son clitoris tandis que mon index coulissait rapidement dans son rectum ; c’est de cette manière qu’elle éprouva un deuxième orgasme fulgurant, en criant de plaisir.
Tout en parlant, nous nous caressions et nous nous embrassions ; je pris sa main pour la poser sur la mienne qui glissait entre les lèvres détrempées de sa vulve, et lui demandai de me guider, ce qu’elle fit sans fausse pudeur. Ses baisers si particuliers ayant redonné vigueur à mon sexe, je la pénétrai à nouveau. Nous faisions une fois de plus l’amour, elle sur moi ; je lui dis « Baise-moi, baise-moi… », et elle jouit encore très fort, empalée sur ma verge ; j’étais à deux doigts de jouir aussi, mais… trop tard ! L’allongeant sur le dos, je lui fis ouvrir les cuisses et lui écartai les lèvres de son si mignon petit bijou pour introduire une bonne partie de sa culotte à l’intérieur de son vagin. Je voulais la photographier ainsi, mais elle refusa, et retira la culotte de sa vulve. Ses cuisses étaient toujours écartées ; je pris sa main droite pour la placer sur l’une des lèvres de son sexe. En tirant sur cette lèvre, elle entrouvrit son sexe ; de ma main gauche, j’écartai son autre lèvre. Quel spectacle sensuel…
Allongé entre ses cuisses, je saisis ma verge tuméfiée pour me branler, le regard fixé sur sa vulve écartelée ; quand je sentis la jouissance arriver, je me mis à genoux entre ses jambes pour pouvoir éjaculer sur sa chatte. Mais, en changeant de position, je perdis ma concentration et seules quelques gouttes jaillirent, sans que j’éprouve de plaisir. Quelle frustration ! Nous nous collâmes l’un à l’autre, lèvres contre lèvres, dans un grand moment de tendresse, sans rien dire, dans un demi-sommeil. Comme il se faisait tard et qu’elle devait rentrer chez elle, je replaçai mon visage entre ses cuisses, et c’est juste avec ma langue et mes lèvres que je lui offris son cinquième orgasme de la soirée.
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Une semaine sans nous voir… ce fut tellement long ! Cette fois-ci, c’est en pleine campagne que je l’emmenai, à l’orée d’un bois, dans un pré recouvert d’orties. J’y étendis une couverture et nous commençâmes à nous embrasser en nous caressant partout.
Je la fis jouir une première fois avec ma langue ; elle cria très fort. Puis je la pénétrai ; mais peu de temps après, mon érection faiblit pendant que je photographiais son visage dont les traits étaient déformés par le plaisir. Elle redonna de la vigueur à ma verge défaillante en la léchant et en la suçant. Je lui donnai une deuxième fois du plaisir avec ma langue, dégageant bien le petit gland de son clitoris ; comme la première fois, elle cria très fort. Lorsque je la pénétrai, mon érection faiblit à nouveau…
Je plaçai mon visage face à sa vulve et, lui écartant les lèvres, je commençai à me masturber ; puis je lui introduisis un doigt dans le vagin et lui demandai d’ouvrir son sexe tandis que je me branlais. Mes cris de plaisir rompirent le calme de la campagne…
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Deux jours plus tard, elle m’invita chez elle ; après avoir déjeuné, elle m’amena dans sa chambre, où un lit en 160 cm de large nous attendait. C’est elle qui me déshabilla. Remarquant mon érection, elle se saisit de mon sexe raide et le branla langoureusement. Je lui demandai « De quoi as-tu envie ? » Comme elle ne répondait pas, j’écartai sa petite culotte et lui plantai d’un coup – et sans la moindre préparation – ma verge au fond du vagin ; elle s’y engloutit sans aucun problème, car sa vulve était totalement liquéfiée… Après avoir fait l’amour, je descendis entre ses cuisses pour la faire jouir avec ma langue.
Après son orgasme, je continuai à la caresser pour imprégner sa culotte, l’introduisant avec mon pouce à l’intérieur de son vagin ; puis nous refîmes l’amour, et je retournai lui sucer le clito : elle jouit une deuxième fois. Après son orgasme, j’amenai ma verge devant ses lèvres ; sans hésiter, elle prit mon gland circoncis dans sa bouche et me suça délicieusement, léchant mon sexe dans ses moindres détails. Je lui demandai de me mordre, lui indiquant jusqu’où elle pouvait aller sans me faire souffrir ; elle fut étonnée par ma résistance à la douleur…
Finalement, nous fîmes un 69, et elle m’aspira jusqu’à la jouissance ; mais, surprise par la puissance du premier jet de mon éjaculation, elle laissa sortir de sa bouche ma bite tressautante, ne pensant même pas à me branler ! Mon sperme continua à jaillir par saccades, mais je n’éprouvai aucune jouissance, juste un profond soulagement de la tension accumulée. J’exprimai ma déception par un « Merde ! » alors que Roxane essuyait ma semence, dont ses lèvres étaient maculées, sur son oreiller.
Je continuai à la caresser sur tout son corps et, lorsque ma main – qui suivait la courbure de ses reins – arriva à l’orée de sa vulve, je constatai qu’elle était ruisselante. J’introduisis mon pouce entre ses lèvres et le fis glisser de son clito à l’entrée du vagin. Elle apprécia énormément cette caresse. Je remplaçai mon pouce par d’autres doigts, commençant par l’index et, très rapidement, je me retrouvai avec quatre doigts qui se démenaient dans son fourreau suintant. Je tentai d’introduire mon pouce en plus ; celui-ci trouva sa place : j’avais toute ma main à l’intérieur de son ventre ! Mais, comme son conduit intime n’était pas assez profond, je n’arrivai pas à enfoncer ma main jusqu’au poignet. Roxane appréciait beaucoup le traitement que je lui faisais subir mais, lorsque je tentai de refermer mes doigts pour en faire un poing, elle commença à souffrir. J’arrêtai donc et, retirant mon pouce, je lui malaxai l’intérieur du vagin avec quatre doigts ; mon pouce s’insinua entre ses fesses pour trouver son petit trou, où je l’y enfonçai le plus loin possible ; puis j’actionnai mes doigts comme une pince. Roxane jouit encore…
Je les retirai pour les remplacer par ma langue, et je lui enfilai un index au plus profond de son cul ; elle aima beaucoup. Avec du gel, je lui mis également le majeur, puis l’annulaire : elle aima encore plus ! Après avoir bien travaillé son cul avec trois doigts, ma verge entra facilement dans son fondement. Ca y était ! Enfin, je la sodomisais… Ses jambes sur mes épaules, nous nous embrassâmes tendrement pendant que ma vieille queue coulissait dans son étroit boyau ; je ne me souviens plus si elle a joui.
Je sortis pour aller fumer un cigare, à poil au bord de la piscine, puis revins dans la chambre auprès de Roxane. Mes doigts s’égarèrent sur ses fesses ; elle mouillait encore… Elle n’en avait jamais assez ! Mon sexe ayant retrouvé sa vigueur, nous refîmes l’amour ; mais mon érection ne tint que quelques minutes, insuffisantes pour l’amener à l’orgasme. Je le remplaçai à nouveau par quatre doigts pendant qu’elle se branlait le clitoris sans que je lui aie demandé : j’appréciai son initiative ! Après quelques minutes de ce traitement, je retirai mes doigts et l’aidai à introduire ses propres doigts dans son vagin. Agenouillé entre ses cuisses, j’entrepris de me branler devant ce tableau extraordinairement excitant ; Roxane était là, devant moi, ses jambes gainées de bas résille largement écartées, exhibant sa vulve qu’elle avait rasée pour me faire plaisir. Le spectacle était trop tentant. Je saisis le Nikon pour faire une série de photos en lui écartant les lèvres, lui déclarant que c’était pour me masturber en les admirant lorsqu’elle ne serait pas avec moi.
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