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Mémoires d'un vieux cochon

Chapitre 22

Hétéro
ROXANE (3/9)

Quelques jours plus tard, Roxane me téléphona pour me dire qu’elle ne pouvait pas s’endormir à cause d’une vive excitation. Je lui enjoignis de se masturber selon mes directives ; je dirigeai ses actions, de plus en plus osées, allant même jusqu’à lui faire introduire son poing dans sa chatte… Le sien y entrait bien plus facilement que le mien, et elle se procura un superbe orgasme en se branlant le con avec son poing. Calmée, elle allait enfin pouvoir dormir !
      
Le lendemain, après avoir dîné dans un restaurant chinois (où, pour la toute première fois de ma vie, j’avais pris la précaution d’avaler un comprimé de Cialis en prévision de la nuit qui nous attendait, afin de tester cette molécule dont on disait tellement de bien …), nous rejoignîmes un petit village où j’avais réservé une chambre dans un gîte rural. C’était la première nuit que nous allions passer ensemble.
A peine arrivée, je lui retirai son pantalon et sa culotte ; elle ne portait plus que ses vêtements du haut, des bas résille et ses bottines lacées. Je commençai par embrasser sa vulve mais, comme quelques poils repoussaient, je lui rasai parfaitement le pubis et les lèvres. Me plaçant face à elle, je fis glisser mon gros orteil le long de sa fente déjà ruisselante, puis je l’introduisis dans son vagin. Je la caressai ainsi puis, progressivement, je la pénétrai avec mon pied. Roxane était allongée face à moi, les cuisses écartées gainées de noir, la vulve distendue par ce pied qui la pénétrait sur la moitié de sa longueur… Cette caresse inédite lui plut beaucoup.
Je lui demandai alors de fermer les yeux et, prenant un énorme double dong souple, j’en introduisis une des extrémités dans son vagin. Elle se tordit de plaisir… Après lui avoir préparé son petit trou avec mes doigts et du gel lubrifiant (jusqu’à trois doigts, progressivement) je recourbai le dong et lui enfilai l’autre extrémité dans l’anus : elle fut surprise, mais trouva cette double pénétration extraordinaire. Je n’eus que peu de mouvements à faire (juste quelques pressions) pour l’amener à un orgasme d’une rare intensité…
Je ne lui laissai pas le temps de récupérer et, comme mon sexe bénéficiait d’une magnifique érection grâce au Cialis, je la pénétrai. Roxane me grimpa dessus et nous fîmes l’amour avec ardeur. Lorsqu’elle eût joui, je la retournai pour introduire ma verge dans son petit cul. Comme mon érection était puissante, j’ai pu la sodomiser longuement ; je lui chuchotais à l’oreille « Je vous sodomise, Madame ; je vous encule, Madame S… » Elle apprécia le traitement que je lui faisais subir. Je tentai de lui caresser le clitoris, mais notre position ne le permettait pas facilement ; je lui demandai de le faire elle-même : c’est elle qui se branla le clito pendant que ma verge coulissait dans son rectum. A la faveur d’un mouvement un peu trop ample, ma verge fut éjectée de son anus ; je l’introduisis dans son vagin.
Roxane me chevauchait délicieusement, se préoccupant uniquement de mon plaisir. Elle ondulait sur moi ; minimisant l’amplitude de ses mouvements, elle me caressait merveilleusement le gland de son fourreau satiné… Sentant le plaisir monter, je me laissai aller. Il fut très long et très puissant, cet orgasme qui me submergea. Comme je criais fort, Roxane tenta de me bâillonner de ses mains, mais elle n’arriva à faire baisser que très modérément l’intensité de mes cris de plaisir. C’était la première fois que je jouissais en elle ; au cours de nos relations précédentes, j’avais toujours joui soit sous les caresses de ses doigts ou de sa langue, soit en me branlant. Une toute première, donc…
Sa vulve dégoulinait de mon jus de pine. Nous nous plaçâmes en position de 69, ma bouche passant de sa vulve à ses bottines lacées à talons hauts, que je léchais comme un fétichiste. Roxane me léchait la verge et me la suçait divinement… De mon côté, je lapais sa vulve pour la nettoyer de mon sperme, et je l’amenai à une nouvelle jouissance avec ma langue. Juste après, je vins l’embrasser ; ce fut un baiser gluant de ma semence que je venais de récolter entre ses cuisses.
Comme nous venions de jouir tous les deux – et que nous étions venus spécialement dans le but de dormir ensemble – nous tentâmes de nous endormir dans les bras l’un de l’autre ; le sommeil ne venait pas vite, car nous ne pouvions pas nous abstenir de nous caresser et d’échanger de tendres baisers. Une caresse sur sa croupe me révéla que sa vulve tuméfiée était noyée par la cyprine qui s’en écoulait ; j’y introduisis un doigt, puis deux, trois, quatre… Ils virevoltaient dans son ventre ; mon pouce était encore à l’extérieur, mais il rejoignit vite les autres. Je forçai pour la fister totalement mais, comme précédemment, Roxane souffrit avant que sa vulve réussisse à se refermer autour de mon poignet.
J’arrêtai donc là ma tentative et saisis la grosse chaîne métallique que j’avais apportée ; je l’enroulai autour de son ventre en la faisant passer entre ses cuisses, lui écartelant la vulve. Elle était là, toute bronzée sur le lit, enchaînée et les cuisses ouvertes… Je vins lui lécher le sexe, et j’aspirai son petit clito jusqu’à la faire crier de plaisir. Sans lui laisser reprendre son souffle, je l’enconnai à nouveau de mon sexe toujours érigé, dur comme du bois ; pendant que j’allais et venais dans son vagin, mes ongles grattaient sa petite corolle froncée. Je lui introduisis un doigt dans l’anus.
Me retirant de son sexe, je la fis s’allonger sur le côté et, me plaçant derrière elle, je fis pénétrer mon gland dans son petit cul, puis je poussai jusqu’à ce que ma bite entre au maximum, et entrepris de lui labourer le rectum d’amples mouvements. Parfois, elle tournait la tête vers moi pour m’embrasser. C’est à ce moment-là que me vint l’idée de lui attribuer les doux noms d’« ange pervers », de « beauté perverse ».
Je l’ai enculée longuement ; nous changeâmes de position : je me couchai sur le dos et elle vint s’allonger sur moi, me tournant le dos. Ma queue reprit le chemin de son rectum tandis que mon index s’immisçait dans son vagin ; je la branlais tout en l’enculant. Par moments, cessant les mouvements de ma verge, j’en caressais le gland avec mon doigt à travers la fine paroi qui séparait son vagin de son rectum.
Me retirant d’elle, j’amenai son visage à hauteur de ma bite ; elle la prit en bouche, alternant le pompage de mon gland circoncis avec les caresses de sa langue sur la hampe, jusqu’aux bourses qu’elle suça en les prenant dans sa bouche. C’était divin… Je me levai ; debout à côté du lit, je la fis mettre à genoux face à moi et lui enroulai la chaîne autour du cou. Tirant sur ce lien, j’amenai son visage face à ma verge fièrement érigée ; elle la reprit aussitôt en bouche. Je lui demandai de me regarder pendant qu’elle me suçait, mais elle refusa. Je lui demandai alors de tirer la langue pour que je décharge dessus en me branlant. Faisant pointer sa langue entre ses lèvres, elle me lécha le gland pendant que je me masturbais. Ma queue n’avait jamais été aussi congestionnée ; le plaisir fut long à venir, mais lorsque mon sperme jaillit sur sa langue et ses lèvres, je poussai de véritables rugissements. J’espère que nous étions les seuls clients du gîte ! J’embrassai Roxane longuement, d’un baiser où nos langues jouaient avec ma semence qui maculait encore ses lèvres et dont sa bouche était remplie.
Ce n’est qu’à 9h 15 que nous nous allongeâmes l’un contre l’autre, lèvres contre lèvres, pour nous laisser glisser dans la béatitude. Comment savoir si nous avons dormi ? Nous flottions dans un état de semi conscience, et nos mains parcouraient nos corps, nos visages protégés de la lumière du jour par la couette.
Nous nous levâmes à 11h, et prîmes une douche ensemble ; c’est Roxane qui me lava, les cheveux autant que le sexe (toujours dressé depuis une quinzaine d’heures, grâce au Cialis), s’attardant longuement sur cette partie de mon anatomie. Elle me fit une toilette intime en me branlant, me caressant le scrotum, ses doigts s’égarant entre mes fesses mais n’osant pas (?) s’aventurer jusqu’à mon anus.
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