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Mémoires d'un vieux cochon

Chapitre 23

Hétéro
ROXANE (4/9)
Nous nous sommes revus cinq jours plus tard ; mais, juste avant que l’on se retrouve, Roxane me téléphona pour me demander de quelle manière j’aimerais la caresser. J’entrepris de lui raconter une longue histoire dans laquelle je lui détaillai ce que j’aimerais lui faire ; elle se caressait en m’écoutant, et ressentit un premier orgasme. Excité, j’entrepris de me branler en lui décrivant ce que j’étais en train de faire ; faisant de même de son côté, elle jouit une seconde fois, juste avant moi.
L’ayant rejointe une heure après notre masturbation, je garai ma voiture en pleine campagne. Roxane portait de bas résille noirs et des bottes montantes ; relevant sa jupe, elle me montra qu’il ne s’agissait pas de bas, mais de collants imitant des porte-jarretelles, avec des échancrures au niveau des hanches et de la vulve… Magnifique, d’autant plus qu’elle ne portait pas de culotte, selon mes instructions !
Ses baisers langoureux m’excitèrent ; je posai sa main sur ma bite érigée. Elle entreprit de la dégager de mes vêtements et la caressa de ses douces mains tandis que je fourrageais dans sa chatte qui dégoulinait de liqueur poisseuse… Je la fis jouir une première fois avec ma langue, puis je lui enfilai ma verge dans sa chatte brûlante. Nous fîmes l’amour longuement, tendrement, changeant à plusieurs reprises de position. A un moment, elle s’agenouilla face à moi ; j’en profitai pour interposer entre nos sexes la culotte qu’elle m’avait donnée pour la recharger de son nectar ; lorsqu’elle fut détrempée, je la mis entre nos lèvres et nous nous embrassâmes ainsi, nos sexes emboîtés l’un dans l’autre.
Peu après, alors que je lui caressais la vulve d’un doigt tout en m’agenouillant à côté d’elle pour présenter ma verge à hauteur de son visage, elle comprit que je désirais être sucé, tâche dont elle s’acquitta avec grande compétence. Elle me fit énormément de bien, pendant que j’introduisais plusieurs doigts dans son vagin. Elle me branlait, mon gland violacé reposant sur ses lèvres douces et charnues, et alternait cette caresse avec des prises en bouche. Lorsque je sentis le plaisir tout proche, je lui murmurai « Dans ta bouche… » Elle avala ma bite, et c’est là que je jouis en poussant des hurlements de plaisir. Je l’amenai elle aussi au plaisir avec quatre doigts dans le vagin et mon pouce sur le clitoris ; nos baisers avaient le goût du sperme dont je venais de lui emplir la bouche.
Elle me chevaucha à nouveau, puis mes lèvres revinrent entre ses cuisses pour lui procurer un troisième orgasme ; toutes ses jouissances, elle me les dédia, me les offrit. Alors que nous nous embrassions, elle me caressa les fesses : c’était agréable, et j’ondulai sous le plaisir qu’elle me procurait ; puis je sentis qu’elle introduisait un doigt dans mon rectum et, avec son ongle très long, elle m’en caressa l’intérieur, me faisant presque jouir de cette manière. Je lui déclarai alors que je lui réservais la seule virginité qui me restait à lui offrir : l’anale.
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Huit longues journées sans elle… Lorsqu’on est cadre dans une entreprise aussi importante, on n’est pas souvent disponible ! De retour d’un déplacement professionnel de plusieurs jours, Roxane me rejoignit dans l’appartement qui avait été mis à ma disposition par ma sœur (j’avais quitté le domicile conjugal). Après un repas fin – rapidement expédié – nous nous sommes précipités dans la chambre.
Excité par la fougue de ses baisers, je libérai mon sexe devenu d’une belle rigidité (sans aucun adjuvant), mais plus gros que d’habitude car, avant la venue de Roxane, j’avais testé une pompe à vide qui lui avait ajouté quelques centimètres de longueur, mais surtout un diamètre doublé par rapport à son état habituel. Je guidai sa main vers ma verge ; elle la saisit, et commença à me branler tout en délicatesse. J’en profitai pour introduire un doigt dans sa fente détrempée, et j’amenai ce doigt entre nos lèvres ; nous nous sommes embrassés en le suçant tous deux.
Je changeai alors de position pour présenter ma verge en érection devant sa bouche. Elle la prit entre ses lèvres et commença par me sucer le gland, puis elle l’avala en entier, sa langue jouant avec mes bourses. J’amenai mon visage sur son collant, entre ses cuisses écartées, juste à la hauteur de sa vulve dont je humai le délicieux fumet. Je glissai un doigt dans sa fente inondée ; son sexe était épanoui… Je la caressai doucement pendant qu’elle me pompait le gland. Le plaisir arriva ; il explosa, et je hurlai ma jouissance en réveillant certainement une bonne partie des occupants de l’immeuble. Ce plaisir fut extraordinaire, car Roxane continua de me lécher pendant plusieurs minutes après que j’aie éjaculé ; mon sexe ne débandait pas… Je criai de plaisir pendant tout ce temps. De toute ma vie, ce fut la plus extraordinaire jouissance que j’aie éprouvée : une explosion quasi cosmique !!!
Un peu plus tard, je repris mes caresses sur le clitoris et les petites lèvres de Roxane, qui gémissait. La sentant prête, je descendis son collant au niveau de ses genoux et, écartant sa culotte, ma langue se régala enfin de ses muqueuses détrempées par le désir. J’avalais son jus d’amour à pleine bouche, et il ne me fallut pas longtemps pour l’amener à une vague de jouissance qui la submergea en la faisant crier de plaisir elle aussi. Nos lèvres s’unirent pour partager nos nectars respectifs.
Le lendemain, je lui téléphonai pour lui dire qu’elle m’avait procuré le plus fort orgasme de toute mon existence, qui avait été pourtant bien remplie ! J’appris, par la suite, qu’une pétition circulait dans l’immeuble pour tenter de me faire expulser à cause du manque de discrétion de nos ébats…
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Encore une semaine d’attente avant de pouvoir serrer Roxane dans mes bras… A son arrivée, je lui plaçai un bandeau noir sur les yeux. Après l’avoir installée sur le lit, je fis tinter les chaînes ; elle comprit que j’allais l’attacher, mais elle se laissa faire. Comme elle était belle, à la lueur des bougies, bras et jambes écartés, avec son collant échancré en mailles filet !
Je versai des gouttes de champagne sur les endroits les plus sensibles de son corps que ma langue vint assécher, puis j’introduisis le col de la bouteille dans son vagin et la caressai ainsi, le champagne se répandant dans son ventre ; je vins le boire dans la plus extraordinaire coupe qui soit : sa vulve !
Alors qu’elle portait toujours le bandeau, je passai mon gland sur ses lèvres, puis je lui donnai un premier orgasme avec ma langue ; lorsque son plaisir fut imminent, elle me dédia cette jouissance qui allait l’emporter et, juste avant d’exploser, elle me dit tout l’amour qu’elle éprouvait pour moi… Je fus comblé par sa déclaration : je ne pensais pas que ses sentiments fussent aussi forts ! Je détachai les chaînes qui l’entravaient et, sans lui laisser le temps de récupérer, je plantai mon sexe dans son ventre : nous fîmes l’amour tendrement, mais impétueusement aussi.
A un moment, elle se dégagea et descendit en direction de ma verge qu’elle prit en bouche pour m’administrer une fellation dont elle avait le secret ! Elle me lécha, me mordit et me suça longtemps, jusqu’à ce que je laisse gicler dans sa bouche de longs jets de sperme en rugissant de plaisir. Elle me caressa avec sa langue bien après l’orgasme, m’arrachant encore des cris d’extase…
Dans un demi sommeil, nous nous caressions et nous nous embrassions ; à plusieurs reprises, je récupérai le nectar de sa vulve sur mes doigts et les portai entre nos deux bouches pour les lécher avec nos langues entremêlées.
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