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Mémoires d'un vieux cochon

Chapitre 25

Hétéro
ROXANE (6/9)

Deux jours plus tard, Roxane me rejoignit à l’appartement. Comme nous étions pressés de jouir l’un de l’autre, le dîner fut une fois de plus expédié hâtivement. Lorsqu’elle sortit de la salle de bain, elle était vêtue de sous-vêtements encore plus audacieux que ceux qu’elle avait portés jusqu’à présent : un body rose et noir avec des ouvertures au niveau des seins (qui les dégageaient complètement) et du sexe. Elle se coucha bien vite à mes côtés ; je descendis saluer chacun de ses seins ainsi que sa vulve, à laquelle je donnai un baiser par-dessus le body, puis je remontai jusqu’à son visage pour l’embrasser.
– Que désires-tu, mon amour : mes doigts, mes lèvres, ou ma langue ?– Ta langue…– Et où veux-tu que je la mette, ma langue ?– Là !
Elle me prit la main et la porta à sa vulve : je ne puis qu’exécuter son désir, et lui prodiguai cette caresse qu’elle attendait depuis deux jours ; j’entrecoupais mes activités buccales avec des pénétrations de mon sexe, et elle ne tarda pas à jouir intensément sous les caresses de ma langue.
Je lui demandai de me chevaucher puis, après quelques minutes dans cette position, de s’allonger à côté de moi en me tournant le dos. Je lui introduisis un, puis deux doigts dans l’anus tout en insérant mon pouce dans son vagin. Lorsqu’elle fut bien préparée, je fis coulisser ma bite dans le sillon de ses fesses et la mis en place contre son petit orifice plissé. J’appuyai lentement mais fermement et, une fois que le gland eut pénétré, la hampe glissa facilement dans son rectum accueillant ; Roxane gémissait du plaisir que cette introduction perverse lui procurait. Je l’enculai pendant un long moment, puis je réintroduisis ma verge dans son vagin, aussi profondément que sa modeste longueur le permettait. Je la fis aller et venir quelques minutes de plus dans son fourreau bien lubrifié, et je terminai en suçant son clitoris pour la faire exploser dans un orgasme intense.
Je lui demandai ensuite de me faire crier de plaisir ; comprenant ce que j’attendais d’elle, elle prit ma verge dans sa bouche et me suça de manière très experte pendant de longues minutes puis, plaçant mon gland entre ses lèvres pour le téter et le lécher, elle me branla en même temps. Je l’arrosai d’une grande quantité de sperme en criant mon plaisir…
Roxane s’endormit, fourbue ; quant à moi, je demeurai éveillé à ses côtés : j’étais l’objet d’une érection incontrôlable car, dans son sommeil, elle serrait ma verge dans sa main. A un moment, une de mes mains s’aventura entre ses cuisses, remplacée rapidement par ma bouche. Je lui léchai et suçai la chatte jusqu’à ce qu’elle éclate dans un puissant orgasme au moment même où le réveil se mit à sonner. M’allongeant à côté d’elle, je lui introduisis mon index gauche dans le vagin pour la caresser tout en me masturbant ; c’est ainsi que j’atteignis le plaisir.
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Encore une semaine d’attente avant d’avoir pu la serrer contre moi… Je la pris dans mes bras pour la porter jusqu’au lit, malgré ses 60 kg (pour 1,64 m). Je ne tentai pas de la déshabiller : je me contentai de caresser son corps par-dessus ses vêtements. Elle était réceptive à mes caresses, mais lorsque ma main arriva entre ses cuisses, elle l’écarta.
– Non…– Mais pourquoi ?– Tu ne te souviens pas de ce que tu m’as reproché lorsque tu m’as téléphoné, il y a trois jours ? De ne venir te voir que pour en retirer du plaisir, uniquement pour que tu me fasses jouir !– Ce n’est pas pour ton plaisir mais pour le mien, uniquement le mien, que je veux te lécher le sexe !
Joignant le geste à la parole, je vins placer mon visage au niveau de sa vulve, et je commençai à lécher son pantalon. Peu à peu, ses protestations cessèrent, et elle ouvrit ses cuisses ; je débouclai sa ceinture et descendis la jambe gauche de son pantalon. Roxane portait une petite culotte en voile gris fumée, presque transparente, agrémentée de broderies. Son fin tissu était profondément inséré entre les lèvres de sa vulve. Je me mis à lécher son sexe par-dessus sa culotte ; elle ouvrit largement les cuisses pour me permettre d’accéder à l’endroit que je convoitais. Je la léchai ainsi pendant plusieurs minutes avant d’écarter sa culotte ; lorsque je posai enfin ma langue sur sa vulve, Roxane gémit : elle devait attendre, elle aussi, ce moment-là avec impatience…
Plusieurs fois de suite, je passai ma langue le long de sa fente, l’introduisant à l’entrée du vagin puis en remontant doucement, mais sans aller jusqu’à son clitoris. A un moment, je posai la pointe de ma langue sur son petit bouton ; Roxane sursauta et gémit… Le prenant alors entre mes lèvres, je le tétai tout en le caressant de ma langue ; je savais que ma tendre chérie ne pouvait pas résister à cette caresse qui la menait immanquablement à l’orgasme.
Je pris la petite culotte noire qu’elle m’avait donnée quelques jours auparavant, et l’utilisai pour essuyer sa vulve ruisselante, alternant les essuyages avec des caresses buccales. Afin de récupérer le maximum du nectar qui coulait entre ses cuisses, j’introduisis une partie de sa culotte dans son vagin, la poussant avec mon index tout en lui caressant l’intérieur de son doux fourreau. Je fis pénétrer de plus en plus profondément la culotte dans son vagin et, pour que l’introduction soit complète, c’est avec mon pouce que je la forçai entièrement dans son ventre. Lorsque plus rien ne dépassa, je me remis à lui sucer le clitoris ; son bassin se tendit à la rencontre de mes lèvres. Le corps de Roxane fut agité de nombreux spasmes ; lorsqu’elle jouit longuement, à chacun de ses soubresauts elle criait « Tiens ! C’est pour toi… » Je continuai à passer légèrement ma langue sur son clitoris après l’explosion de son plaisir, ce qui la fit gémir et se cabrer à chaque contact.
Lorsqu’elle fut calmée, je me relevai et libérai mon sexe raide de désir pour cette belle femme impudique qui exposait ses trésors intimes à mes yeux. M’allongeant à côté d’elle de manière à ce que mon gland se trouvât au niveau de sa vulve, je pris la main de Roxane pour la poser sur sa culotte ; elle l’écarta, et fit de même avec les lèvres de sa chatte. Je me caressai la bite en la faisant glisser le long de cette fissure gluante, puis je me branlai, le regard fixé sur mon gros gland circoncis dont l’extrémité écartait largement ses petites lèvres. Je jouis ainsi, inondant le sexe de Roxane de mon sperme en criant de plaisir. Une fois calmé, j’essuyai tout le jus qui débordait de sa vulve. Elle me regarda profondément dans les yeux et déclara :
– Tu ne peux pas savoir à quel point je t’aime… Au fait, tu n’as rien oublié ?
En fait, c’était de sa culotte qu’il s’agissait : elle était encore à l’intérieur de son vagin. Je l’en retirai délicatement ; elle était toute trempée…
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