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Mon adolescence l'été

Chapitre 1

Inceste
A 16 ans ma mère n’en avait que 30!
A la campagne, dans l’Yonne, nous avions une belle maison.
Mon père ne partait jamais avec nous en vacances car il bosse à l’international.
Donc, ma mère avec qui je dormais depuis presque toujours m’a dit qu’un fils et une mère ça peut s’aimer sans tabou à la seule condition du préservatif.
Moi, la peau de ma mère m’est familière. Et quand les chaudes nuits de juillet (canicule 1976) sont arrivées, il fallait que l’on aille se baigner nu dans notre piscine à minuit.Et puis ensuite on chahutait avec le jet d’eau froide et on aimait se rouler dans l’herbe.Jusqu’à ce que j’ai eu une érection magistrale qui m’arrachait le pénis.Elle m’a dit que c’était normal et qu’il suffisait qu’elle me suce un peu pour me soulager.Ce qui fut fait avec douceur et gentillesse de sa part.
Et puis j’ai commencé à avoir les testicules en feu et à couler beaucoup sans éjaculer.
Ma maman m’a expliqué que j’étais passé en phase 2 et que je devais faire travailler mon membre car comme un muscle bandé il avait accumulé énormément d’énergie.
Je lui ai demandé : " Maman chérie : je peux venir derrière toi pour glisser au chaud dans tes fesses bronzées?"
— "Oui mon amour, elles sont à toi comme tu le vois"
Et à quat’pattes, elle a accepté ma verge droite et lustrée, au bout rouge feu et suintant d’huile d’amour, oubliant même le préservatif!
Han! han! han! Ces halètement résonnaient dans notre beau jardin d’été, où la piscine éclairée envoyait ses reflets bleutés sur nos corps torrides et tendus.

Je faisais claquer mes bourses contre son fessiers élastiques pendant 15 à 20 minutes : ça ne s’arrêtait plus.
Ses seins ronds et ensoleillés se balançaient d’avant en arrière au rythme de sa croupe qui s’offrait à mon dard acharné.
Le creux du sillon de son dos tanné par l’été se prolongeait par celui de ses fesses rondes et fermes.
Clac! Clac! Clac! La pénétration mécanique émettait un doux claquement et s’harmonisait avec le souffle orgiaque de notre lubricité incestueuse.
— "Maman, mon amour, je n’en peux plus, je voudrais en finir entre tes cuisses et sur ton ventre!!"
— " Mon fils adoré, viens me besogner avec rudesse par-devant!"
Et c’est ainsi que les jambes relevés sur mes épaules, cambrée la tête en arrière et les yeux révulsés, je la limais par son bas-ventre, ouvrant la porte de son plaisir à grand renfort de coups de butoir.
Et puis, est arrivé l’apogée...
J’ai ressorti d’elle mon tuyau d’arrosage et je l’ai aspergée du nombril à la bouche d’une crème pâtissière d’homme.
Elle était inondée du lait de mes bourses et se massait avec avec délice.
Ensuite, nous sommes allés nous chienner dans l’herbe toute la nuit. Copulant pendant des heures à l’excès.Nous n’avions plus aucun respect l’un pour l’autre sinon pour le plaisir.
Je l’ai attachée à l’arbre au fond du jardin et je l’ai fouettée avec des serviettes mouillés sur ces fesses pour la calmer.Mais rien n’y faisait. Elle a voulut une sodomie au gode tout en me suçant à me décrocher le gland.
Ça a finit au petit matin, complètement occis.
Nous avons dormi pendant 18 heures d’affilées.
Et depuis maman et moi fréquentons les clubs d’échangistes...
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