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Mon adorable couple candauliste…

Chapitre 2

Juliette la « gardienne » du train…

Avec plusieurs femmes
Ma cousine est à la fois apaisée et tendue. Apaisée d’être avec moi, et surtout à l’idée de pouvoir vivre pleinement en ma compagnie, et dépasser ces moments de pénétrations vite faites, dans le noir et dans le silence presque absolu, et filer très vite à la manière d’une voleuse. Tendue, car par son instinct, elle se sent devant un monde nouveau qu’elle n’a jamais connu, et surtout qu’elle ne connaît pas encore. Essentiellement, face à une femme européenne.
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L’image de la femme européenne dans ce pays est paradoxale : A la fois, femme libérée qui jouit de ses droits et vit une liberté vestimentaire extraordinaire. Mais aussi, celle ose se dévêtir en public. Plusieurs femmes du coin ont rapporté que des Européennes ont été vues près du lac proche, presque nues. D’autres attestent et jurent qu’elles étaient nues intégralement.Une jalousie certaine de ces femmes, mais une hantise aussi. Car ces créatures osent au sexe ce qu’aucune femme de ce pays de tabous ne peut entreprendre, et même imaginer.Certaines de ses cousines ont rapporté avoir vu des revues, avec des photos de femmes européennes nues. D’autres ont juré avoir feuilleté des revues présentant des photos de rapports sexuels, même entre plusieurs hommes et femmes.
— Je suis là...
Isabelle fait son apparition dans cet espace exigu. Une lumière très douce et apaisante offre un climat sensuel.Avec un string noir, et un soutien-gorge de la même couleur en dentelle, Isabelle jette un coup d’œil en premier vers sa « concubine »... Elle trouve une femme, moins grande qu’elle, plus mince, mais timide... A la fois, elle a peur de se confronter à une femme d’une autre culture, moins armée pour cette « confrontation » libertine, mais aussi très excitée, car elle porte la certitude que son étalon saura guider cette timide, et surtout la « dévergonder »...
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Elle regarde du côté du lit, et me voit assis au bord du lit :
— Notre voyeuse est sereine, à ce que je vois ?— La faire assister n’est pas difficile...— Lui faire accepter, tu veux dire ?— Plus... Lui faire aimer... Plutôt...— Commençons sa première leçon...
Isabelle s’approche de moi, m’embrasse tendrement. Elle se sent dans la peau d’une débutante dans le libertinage, car elle est en présence, non pas d’une novice, mais plutôt d’un extraterrestre, qui n’a jamais vu d’humains faire l’amour.Je regarde ce soutien avec envie, tellement il met en valeur une poitrine généreuse. Sans oublier le string. Isabelle tente de me pousser tendrement. Je résiste et je lui ordonne de se mettre à genoux, et de me sucer.Elle commence à s’agenouiller, ma main l’attrape par les cheveux, et la rabaisse :
— Je veux que tu lui montres le côté « cochonne » en toi...— Cochonne... Et salope...
Une main la tient par les cheveux, et l’autre baisse le string, tient mon sexe en érection :
— Ouvre grande sa bouche...
Isabelle obéit comme un automate. Je fonce avec mon sexe au fond de sa gorge :
— Avale... Salope...
Ma suceuse ne présente aucune résistance, face à cette gorge profonde, rapide et brutale. Elle semble même apprécier. Je la lâche. En toute liberté, elle me tient par la manche, et se force à faire pénétrer mon sexe au fin fond de sa bouche...
Mes mains libres, je jette un coup d’œil vers ma cousine. Elle présente l’image d’une personne ensorcelée, ou sous l’effet d’une magie... La preuve, elle a mis plus d’une minute pour constater mon regard. Un sourire très fort de sa part. Je ne peux savoir, si ce sourire est un signe d’appréciation du spectacle offert par Isabelle, ou pour me déclarer son bonheur d’être à mes côtés dans ce voyage ? Ou peut-être les deux à la fois ?
En me regardant, elle prend la peine de fixer Isabelle dans sa fellation. Je lui tends la main, et je la ramène à côté de moi, sur le bord du lit.Je vois une autre femme que celle qui me visitait la nuit dans ma chambre, pour m’offrir une pénétration rapide. Sans caresses même, et que dire d’une fellation. Elle était toujours dans l’expéditif, comme si elle veut figurer dans le Guinness World Records book, pour la pénétration la plus courte, et l’éjaculation la plus rapide.
Je découvre une femme très à l’aise. Je l’embrasse une première fois, elle se contente de se laisser faire. Au deuxième baiser, elle commence à réagir. Je continue à l’embrasser tendrement. Elle réagit, et me sourit largement. Par moments, elle semble avoir oublié qu’Isabelle s’occupe de mon bas-ventre.
Il faut dire qu’Isabelle a bien mérité le titre de salope, elle semble prise par SA fellation, comme si le monde n’existe pas ou plus à côté d’elle. Si je peux résumer en un mot chacune des femmes : Isabelle obstinée par sa fellation. Ma cousine épanouie dans cette nouvelle situation...
Je sursaute... Isabelle mordille mon sexe... Ma cousine suit mon regard, et on découvre une « Européenne » plus que fidèle à l’image ancrée dans l’imaginaire des gens de ce pays : « En manque perpétuel de sexe. Elle ne recule devant rien pour une bite »...
Sans l’avoir préalablement décidé, je me tourne vers ma cousine, qui ne rate rien du spectacle de la fellation, et je commence à déboutonner sa chemise. Elle lève ses mains pour m’aider dans ma mission. Avec un très large sourire en prime. Je découvre un pull. Elle l’enlève d’elle-même, pour m’offrir une poitrine, bien ferme. Il faut dire que je découvre ce spectacle pour la première fois. Je lui exprime ma satisfaction, en embrassant sa main. Je regarde sa jupe, elle met sa main dessus, et baisse ses yeux par timidité.
La bouche d’Isabelle arrive et même réussit à me déconcentrer. Je jette un regard, suivi de celui de ma cousine sur mon bas-ventre. Mes mains se mettent sur la tête de ma suceuse. Elle est plus que folle. Une folie plus que contagieuse. Je me tourne vers ma cousine. Je l’embrasse très fort. Ma bouche passe à sa poitrine. Elle me semble plus que consentante. Je prends le petit téton dans la bouche. Pas le temps ni de sucer, de lécher, ou même mordiller. L’orgasme que m’offre Isabelle m’envoie en un ciel encore inconnu. Surtout qu’Isabelle a pris la peine de tout avaler, à la dernière goutte.
Ma cousine me prend dans ses bras, me serre tendrement, et même ose m’embrasser de plein gré sur ma joue... Une première à inscrire dans mes annales.
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Une petite discussion avec ma cousine... J’éclate de rire... Isabelle, qui se relève difficilement, me demande :
— Elle dit quoi ?— Elle me demande : où est le sperme ?— Alors ?— J’ai dit que tu as tout avalé...— Elle a dit quoi ?— Que tu es une sacrée « pute »...— Dis-lui que j’assume pleinement.
Je traduis à ma cousine, qui sourit timidement.
— Dis-lui que je suis ta « pute » à toi uniquement... Et que je suis plus qu’heureuse de te partager avec elle...
Je traduis, et ma cousine se lève, prend Isabelle dans ses bras tendrement. Isabelle est étonnée par le geste.
— Je fais quoi ?— Fais de même...
Je précise :
— De la tendresse... Pas de sexe.
Les deux femmes semblent dans une communion totale... Ma cousine se dégage tendrement, et vient à mon côté... Elle se tourne vers moi, m’embrasse la main, et se jette dans mes bras. Je l’embrasse tendrement un long moment, puis la pousse tendrement sur le lit... Elle me regarde avec tendresse... Je commence à lécher ses seins... Par des bras grands ouverts, elle m’exprime plus que son consentement... Plutôt son plaisir, en caressant mes cheveux...
— Je peux embrasser ses pieds ?
A la demande d’Isabelle, je réponds :
— Vas-y tendrement... Si tu montes trop vite, elle va se bloquer...
Ma cousine sursaute un peu. Je comprends qu’Isabelle a commencé à embrasser. Je lui souris tendrement. Elle semble accepter...Il faut préciser deux choses plus que cruciales :Je ne pense pas qu’Isabelle est foncièrement soumise, et qu’elle embrasse les pieds de toutes ses partenaires. Uniquement, elle n’a pas trouvé de manière pour participer que sucer les pies de ma cousine. Elle est assez intelligente pour ne pas attaquer de front, une partenaire aussi délicate.
Aussi, ma cousine n’est pas du genre à fantasmer la bouche d’une femme sur ses pieds. Uniquement ma présence, et le début d’affinité avec Isabelle, sans oublier que le comportement de cette femme « blanche », constituent ensemble une reconnaissance de son statut de femme qui va tout partager.
Ma cousine, qui lors de nos « accouplements » dans le noir, ne voyait aucune utilité au baiser, est en train, non seulement d’embrasser, mais d’ouvrir sa bouche tendrement, et subir les douces « attaques » de ma langue.
Sa respiration augmente de volume. Signe pour ma main d’initier une balade sur son ventre. Sa respiration augmente... j’insiste sur la zone en bas du nombril. Ma cousine ne semble pas uniquement apprécier, mais m’invite à descendre plus bas encore.
Je tire sa jupe en bas... Elle lève ses fesses pour m’aider. Je traîne la jupe, jusqu’à rencontrer la bouche d’Isabelle sur les genoux de ma cousine. Isabelle a tout compris, et a fait tomber la jupe...
Je ramène ma main vers le haut sur le côté, et je remarque un slip très léger... Je reviens aux seins en oubliant l’amplitude du bas-ventre, qui réclame sa part du plaisir. Je reviens à la bouche d’Isabelle, qui est déjà aux cuisses. Je caresse à côté des baisers... Je décide de la prendre par les cheveux et traîner sa tête, et le mettre, ou plutôt l’enfoncer dans le triangle de ma cousine qui me regarde avec interrogation, mais sous l’effet de mon sourire, elle ouvre encore plus ses cuisses à Isabelle, qui semble plus que profiter d’une source qui vit son premier cunni... Une aventure encore inimaginable pour les deux, avant ce moment...
Je ne sais pas si le slip est fragile, ou si Isabelle s’est mutée en tigresse, qui dans sa rage du plaisir, ne peut tolérer aucun obstacle...Il ne reste que des lambeaux. J’ai pu le découvrir en introduisant le doigt sous la bouche d’Isabelle. Un lieu chaud et humide. Sa langue insiste sur le clito, mon doigt préfère le fond. Attaquées à bâbord et à tribord, ma cousine subit l’assaut, et ne peut que capituler, avec un orgasme accompagné d’un jet énorme de cyprine dans la bouche d’Isabelle, qui semble, savourer ce nectar, avec tous les plaisirs du monde.
Je l’embrasse avec tendresse sur les joues. En se réveillant, elle me regarde avec amour, et m’embrasse sur la bouche tendrement. Je tire Isabelle pour la mettre à notre niveau. Elle enlace ma cousine dans ses bras avec toute la tendresse du monde. Ma cousine semble plus qu’enchantée par cet excès de tendresse. Sans demander mon avis, elle abandonne sa position sur le dos, et se tourne vers Isabelle. Les deux femmes s’enlacent. La bouche de ma cousine est au niveau du cou d’Isabelle. Les baisers viennent d’elles-mêmes...
Je prends quelques centimètres des deux corps qui ne forment plus qu’un...Etrange spectacle : Si Isabelle est bisexuelle confirmée, active et surtout entreprenante avec la gent féminine, et traîne une expérience assez longue dans ce genre de plaisir, il se fait plus que certain que la relation avec ma cousine, même si elle est plus que satisfaisante sur le plan sexuel, comporte un volet autre que sexuel.
Concernant ma cousine, elle s’est engagée dans cette relation, premièrement par confiance en mon choix pour elle. Deuxièmement, cette nouvelle forme de plaisir comporte une dimension amicale, humaine, ancrée dans l’amour qu’elle me porte. Troisièmement, elle trouve un épanouissement total dans cette nouvelle vie.
— Etrange, je ne peux croire...— Quoi ?— En moins de 24 heures, je tombe éperdument amoureuse de vous deux.
Je traduis à ma cousine qui me répond qu’elle aussi se sent emportée par un sentiment qu’elle ne peut définir. Ma cousine me chuchote quelque chose à l’oreille, j’éclate de rire. Isabelle est plus que curieuse. Je traduis :
— Elle dit qu’elle commence à être une « pute » comme toi...— Je vais t’initier, et faire de toi la reine des «putes»...
Je traduis à ma cousine, qui se cache dans mes bras pour rire...
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— J’ai soif...
Isabelle se lève, part chercher un jus. Je profite pour expliquer calmement à ma cousine que la meilleure façon de me prouver son amour est me faire part de toutes ses envies. Aussi, que je la veux un peu à l’image d’Isabelle, qui me propose le sexe, sans tabou. Elle me dit qu’elle fera tout sans aucune restriction pour me plaire plus de toutes les femmes du monde...Je l’embrasse tendrement.
— Un jus pour mes deux amours.
Isabelle arrive avec des verres et une bouteille de jus. En buvant, ma cousine fait couler quelques gouttes sur son cou et poitrine. Je m’empresse à les lécher... ma cousine tortille entre mes mains, puis prend me sexe, le caresse avec une envie qui apparaît dans ses yeux...
— Notre amour est en chaleur.
Isabelle a prononcé la phrase, mais de sa voix parait aussi chaude. Il faut rappeler que ma cousine vit dans une société, où l’accouplement, où plutôt le coït, constitue l’essence du rapport sexuel. Même plus, il ne peut y avoir de relation sans pénétration. Tout homme qui cherche autre chose que la pénétration risque d’être taxé de « déviation sexuelle ».
De ce fait pour elle, le sentiment d’être désirée et de se sentir utile à l’homme pour son plaisir comptent plus qu’une vaine recherche d’un plaisir sexuel propre. Celles qui sentent le vide affectif n’ont qu’à s’adonner à la masturbation, en toute discrétion. Ou l’homosexualité, pour les plus courageuses.
Ma cousine aborde un changement crucial dans sa vie sexuelle. Elle vient de jouir pour la première fois, autre que par son doigt. Même lors de ses visites nocturnes dans ma chambre, elle se présente en simple « vide-couilles », refusant autre fonction que la pénétration, et surtout, elle s’inscrit en négation absolue de toute envie sexuelle en elle...
Entre les escapades dans mon lit, pour me soulager, à avoir la langue d’Isabelle sur son clito, et mon doigt dans son intimité, et surtout jouir ainsi, existent des années-lumière...Dans ce sens vient son envie de pénétration. Une façon de passer en douce de son monde ancien, vers le nouveau...Isabelle a mis sa main pour la masturber un peu, sans la faire brancher ma cousine... Sa main toujours sur mon sexe :
— Elle a envie de quoi ?— Que je la prenne d’une façon basique tout en lui offrant le plaisir qu’elle vient de vivre...
Tout simplement, elle prend position sur le dos, lève ses jambes. Elle m’invite à la prendre en « missionnaire ». Je me place à genoux devant elle... je m’incline un peu. Mon gland touche à peine son sexe.Je regarde Isabelle qui prend mon sexe pour le guider. Je pénètre une femme qui n’a connu que la pénétration. Elle est mouillée. J’entame le classique va-et-vient...Elle commence à gémir... Le son qu’elle émet est un indicateur de l’amplitude et la fréquence de la pénétration. Le crescendo arrive à son plus haut niveau. Je me jette sur elle... elle me prend dans ses bras...
— Très classique... Mais tellement sensuel...

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(A suivre)
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