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Mon adorable couple candauliste…

Chapitre 3

Plaisir dans des liquides.....

Avec plusieurs femmes
Je ne peux dire le temps que j’ai passé sur ma cousine, emprisonné entre ses bras, et avec plus d’insistance et de force, entre ses jambes... Je ne peux, et même, pour être plus juste, je ne dois lui refuser ce moment de communion d’appartenance sexuelle, mais qui dans son fond, est sentimentale.
En plus de l’orgasme physique, qui a traversé son corps, un autre orgasme non moins important, à savoir, cette aisance à faire l’amour avec l’homme dont elle est amoureuse, en contradiction totale avec ce « va-vite » qui a caractérisé leurs rapports anciens...
Elle sent sa féminité totalement libérée, de cette peur qui a paralysé à la fois sa manière de s’offrir à son homme, et encore plus, son droit de savourer ce très délicieux passage de la sensualité la plus douce à la position sexuelle la plus hard... Sans perdre dans les deux cas, ni la sensation d’être une femme aimée, ni aussi une femme désirée...
Elle commence à bouger... Je l’embrasse très tendrement sur le coin des lèvres, elle me sourit affectueusement, et me rend le baiser au coin de mes lèvres...Je lui murmure à l’oreille, elle sourit et exprime son accord.
— Isabelle...— Oui...— Viens... Elle va se vider dans ta bouche...
Il faut dire qu’Isabelle, au-delà de ses orientations sexuelles, et surtout ses expériences libertines qu’elle assume pleinement est, elle aussi, avide de sentiments et de considérations. Sa relation totalement platonique avec son mari, lui offre un repos indiscutable, mais ne peut remplacer ce besoin de sentir un homme bander pour elle, sous l’effet d’un baiser purement sentimental...En conclusion, si je peux dire : Isabelle ne diffère pas dans le fond, de ma cousine, même si d’apparence, elle appartient à une société de loin plus tolérante au niveau sexuel, et qu’elle a entamé une vie libertine de plein gré, et tout en étant convaincue de l’orientation prise, elle reste en quête de cet arc pouvant lier son besoin d’épanouissement sexuel à cette enveloppe sentimentale qui doit conditionner son plaisir.Je place ma cousine au bord du lit :
— Laisse-moi faire.
Isabelle ajuste ma cousine au bord du lit, et se met à genoux devant elle, et la bascule un peu, puis pointe sa langue à l’entrée du sexe, pour qu’elle joue le rôle d’entonnoir qui ne va rater aucune goutte.
Le contact de la langue avec le sexe de ma cousine provoque un sursaut léger accompagné d’un gémissement très doux. Je me mets à côté de ma cousine, je l’embrasse sur les lèvres. Elle a des larmes aux yeux. Je lui demande la raison, elle embrasse ma main, et me dit qu’elle est la femme la plus heureuse du monde...
Je lui dis que son entrée dans ce monde, nouveau pour elle, va se faire dans la douceur, et dans le respect de son cheminement... Elle me dit que par amour, elle est prête à faire tout ce que je lui demande. Je lui dis que je veux qu’elle agisse par plaisir, et même sentir son épanouissement sexuel. Elle me dit qu’elle trouve du plaisir rien qu’à penser à faire tout ce qu’Isabelle fait déjà... Elle marque un temps d’arrêt, et me dit à de mi-voix qu’elle a envie d’offrir du plaisir à Isabelle par sa bouche...
— Isabelle.— Oui, adorable étalon...— Que dis-tu d’un cunni ?— Tu dois me connaître... Je ne refuse jamais le plaisir que tu m’offres...— Le plaisir n’est pas offert de ma part...
Isabelle me regarde avec interrogation, je regarde ma cousine...
— Non, tu ne vas pas la forcer à me sucer ?— Je te jure qu’elle a exprimé l’envie de plein gré...
Un sourire apparaît sur le visage d’Isabelle, qui regarde ma cousine avec tendresse, puis se dirige vers elle, et me demande :
— Je peux l’embrasser ?— Au point où sont les choses, je suis certain qu’elle va aimer.
Isabelle embrasse tendrement ma cousine, qui me regarde en souriant, puis les baisers deviennent plus ardents... La main d’Isabelle m’attire et prend ma tête pour me joindre à ce baiser... Trois personnes échangent un même baiser... Chacune est très différente des deux autres, mais une communion totale, pour ne pas dire une fusion qui, sans effacer les limites de chacune, invente un monde commun.
Je me détache du baiser qui continue entre mes deux complices, pour me mettre derrière Isabelle, et initier un jeu de langue qui commence au niveau du cou, pour descendre doucement... Je me trouve à lui mordre les fesses, elle se tortille sous les effets de mes dents. J’attrape ma cousine pour rompre le baiser, et la faire descendre pour qu’elle soit à genoux devant Isabelle.
Je tire le bassin d’Isabelle, et je porte son pied droit sur le bord du lit. Ma cousine n’a pas besoin d’une grande intelligence pour savoir ce qu’elle doit faire...Isabelle sursaute, et je comprends qu’une langue débutante est en train de lui offrir le début d’un plaisir qui s’annonce promettant... Je ne vois rien, mais j’arrive du mouvement du bassin d’Isabelle à avoir une idée plus que claire de l’action...
Je me lève, et je murmure dans l’oreille d’Isabelle :
— Un 69 ne sera pas de refus, je suis certain...— Au contraire, jadooooooooooooooore.
J’ordonne à Isabelle de se mettre sur le dos, et à ma cousine de compléter la scène... Les deux femmes en position voulue... Je me place debout entre les cuisses d’Isabelle, et je vois ma cousine plongée dans sa besogne à l’image d’une lesbienne plus qu’expérimentée.
Je place mon gland au contact de la bouche de ma cousine avec le sexe d’Isabelle... Cette suceuse se permet de m’offrir quelques coups de langue, mais j’opte plus vers une pénétration, que j’opère à fond, dans un sexe plus que visqueux et surtout chaud d’une manière qu’aucune langue (dans tous les sens du mot) ne peut cerner...
Telle une lionne, Isabelle est en train de bouffer, le mot n’est pas de trop, le sexe de ma cousine... Elle tient son bassin fermement, et certainement lui offre selon son envie... Ma cousine commence à vibrer et à gémir... Elle délaisse le sexe d’Isabelle, pour se crisper et exploser dans un orgasme très fort.
Je comprends le besoin d’Isabelle, et j’entreprends un pilonnage fort, et rapide... Elle explose et se relâche...Ma cousine semble confuse, je l’embrasse et je lui dis qu’elle est extraordinaire... Isabelle se réveille et sans dire un mot, fait descendre ma cousine, et l’embrasse avec une tendresse digne d’un film d’amour...
— Quelle heure on est...
Isabelle me répond :
— Nous ne sommes pas sur terre pour penser à l’heure...
Elle m’embrasse et me dit :
— Nous sommes sur la planète du plaisir, qui appartient à mon adorable étalon...— Terminus, on descend...
La voix de Pierre a pour effet de nous faire descendre sur terre...
— On s’habille alors...— Pas besoin... Pierre va faire entrer le camping-car, et le placer au fond du jardin... A la fermeture de la porte extérieure, personne ne peut nous voir... Même en plein jour.
Puis je regarde ma cousine et lui dis :
— Toi, tu te couvres si tu crains toujours le regard de Pierre... Mon « cocu »...
Ma cousine hausse ses épaules, et me dit qu’elle a compris, et que tant qu’Isabelle ose se mettre à poil, elle ne va pas se gêner.J’explique à Isabelle :
— Bienvenue au club des « putes » alors...
Ma cousine commence alors le ramassage de nos affaires :
— On laisse tout... Pierre va s’en charger...
Dehors, à travers le noir, se distingue une belle villa, de style colonial... Puis une piscine...
— Mon fantasme est de me faire prendre dans une piscine...— Passons du fantasme à l’exécution...— Tu sais nager ?— Certainement...
Isabelle me pousse dans la piscine, tout en sautant... Ma cousine surprise, je l’encourage à sauter... On est trois désormais...
— Vous savez nager...— Tu oublies qu’on habite près d’un lac...— Mais ceci ne veut pas dire que tu sais baiser dans l’eau ?
Elle éclate de rire, et s’éloigne loin de moi. Puis dans un sérieux total :
— J’aime me sentir violée...
Elle me regarde avec calme, et dit :
— Je veux résister... Sois violent... Sans limites...— Tu es certaine ?— Mon fantasme de toujours... Mais tout dans l’eau...
Je constate la présence de Pierre, qui a pris une place dans la pénombre :
— Pierre... Tu es témoin... Viol sans limites...— Je suis témoin...
Je regarde ma cousine et je lui explique le fantasme d’Isabelle. Elle en rit, et exprime son envie de m’aider...
— On sera deux à te violer...— J’adorrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrre.
La chasse commence... Isabelle essaie de nous contourner, dans un rire qui cache déjà une crainte...
— Ma salope veut fuir...— Je ne suis pas ta salope...
Le dialogue est d’un réalisme frappant. Isabelle se débat, mais elle reçoit une gifle de la part de ma cousine, qui dans un sérieux plus que réaliste, la prend par les cheveux, et la bloque... Je tourne sa main, à lui faire mal...
— Ma cousine t’offre une sodomie...— Non... Pas de sodomie... Je ne plaisante pas... Pas dans notre accord...— Tu as dit : « Sans limites »... On sera sans limites...
Sans attendre ni ordres ni demandes de ma part, ma cousine descend ses mains sous l’eau :
— Elle est en train d’écarter mes fesses...— ...— Aïe... Elle me pince...— Alors, ouvre tes cuisses de plein gré ...
A ce moment, je sens la main de ma cousine, prendre mon sexe déjà fort excité, et le guide vers le trou d’Isabelle, le pointe au point voulu. Je force l’accès, mais Isabelle résiste... Ma cousine l’insulte, lui crache au visage...
— Non... SVP... Je ne veux plus jouer...— Trop tard, sale pute...
Tel le premier pas sur la lune, qui vaut des millions de kilomètres sur terre, un petit centimètre accompli par mon gland dans le cul d’Isabelle vaut toutes les pénétrations sur terre...
— Aïe...
Encouragé par cette prouesse, et surtout par ma cousine qui bloque notre victime, je fonce de toutes mes forces... La pénétration se fait lentement, mais sûrement... Les insultes d’Isabelle m’excitent, mais je la sens fléchir, tant je bute sur ses fesses... Je cherche à pousser encore plus.
— Aïe... Tu me fais mal...
J’entame un pilonnage en comptant sur l’eau pour lubrifier le mouvement... Je commence très doucement... notre victime n’oppose aucune résistance... La cadence augmente :
— Ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii...
Sa douleur se transforme en ce moment en plaisir... Le va-et-vient augmente d’intensité, son plaisir aussi... Jusqu’au moment de mon jet de sperme... Isabelle éclate sa joie...
— Pierre... Viens ramasser ta pute...— A vos ordres...

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Pierre vient de nous servir à moi et ma cousine un jus, et voilà Isabelle qui entre en portant un short, et marche les pieds écartés...
— Vous m’avez éclaté le cul...
Avant de recevoir la réponse, elle ajoute :
— Vous m’avez offert mon fantasme dans les moindres détails... Je veux vous embrasser pour ça...
Elle se dirige vers ma cousine et lui pose une bise sur les lèvres, puis m’embrasse...
— Au lit les filles... Allons dormir...— Eclatez-vous sans moi... Mon cul est éclaté...— Salope de merde, j’ai dit «dormir» pas baiser...— ...— Mes femmes dorment toujours à mes côtés... OK ???— A tes ordres...

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