Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Histoire vraie
  • Publiée le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 42 J'aime
  • 1 Commentaire

Mon adorable couple candauliste…

Chapitre 4

La privation pour quadrupler le plaisir.

Avec plusieurs femmes
Le spectacle d’une femme nue en plein sommeil, est pour moi, non pas sensuel uniquement, mais la sensualité même, car elle n’offre pas sa sexualité, mais plutôt une certaine esthétique de la femme dans sa totalité. Qu’importe son âge (majeure, bien sûr), sa race, ou encore les mensurations de son corps, tant le corps ne peut être réduit à de simples chiffres.
Mais que dire de deux femmes, l’une totalement à l’extrême opposée de l’autre. L’âge en premier, Isabelle a dépassé la cinquantaine, à l’inverse de ma cousine qui n’a au maximum que vingt-cinq ans. Au niveau du corps, Isabelle est de loin plus imposante, avec une taille plus grande, des seins, certes proportionnés, mais restent plus volumineux que ceux de ma cousine.
La différence la plus importante réside au niveau de la conception du corps, de la sexualité, et plus général, de la notion du plaisir charnel. Si Isabelle, depuis le premier baiser avec un garçon, et des années plus tard avec une femme, assume ses choix pleinement, et n’en voit aucune raison de culpabilité, ma cousine a eu son premier rapport sexuel avec un mari, pour qui la relation sexuelle, surtout la nuit des noces, se résume en une pénétration, la plus rapide possible, dans le but déflorer, celle qui est devenue sa « femme », et prouver à un tas de gens qui attendent ce « bout de tissus » immaculé de sang, qu’il est « UN HOMME », et par conséquent se prouver une virilité, dont le gland est l’unique représentant.
Le consentement de ma mère, et même sa demande à ma cousine, de glisser dans ma chambre la nuit, pour me satisfaire, et surtout mon inlassable effort à lui faire admettre le droit de son corps au plaisir, n’ont pu alors débloquer toute une culture. Elle venait m’offrir son sexe pour un coït aussi rapide que possible, et filer quelques secondes après avoir reçu sa dose presque quotidienne de sperme... L’évacuation de ce liquide (à travers mon sexe) constitue (pour elle) la preuve intangible de la réussite de sa mission.
La différence cruciale aussi réside dans le fait que ma cousine a appris en quelques heures, ce qu’Isabelle a accumulé en plus de trente ans... Toutes les deux sont actuellement bisexuelles par choix, par plaisir, et par conviction, et surtout savent et adorent me partager dans une étonnante complicité, fruit de quelques heures de plaisir. Une complicité que d’autres femmes ont mis une dizaine d’années, et même plus, pour avoir. Et quelques fois sans y arriver.
— Bonjour mon étalon chéri.
A l’image d’une chatte qui se réveille, Isabelle se détend et m’ouvre ses bras, je l’embrasse tendrement en disant :
— Comment va ton cul ?— Je sens moins de douleur. Mais...— Mais quoi ?— Je ne peux définir ce que j’ai ressenti hier dans la piscine. Un étrange mélange entre une douleur atroce et un plaisir énorme.— Depuis quand tu portes ce fantasme ?— Je ne sais pas, mais à tout contact avec l’eau, aussi bien sous la douche, à la mer, et surtout dans une piscine, je fantasme un étranger qui me viole, et même me fait très mal... — Tu as bien aimé, hier ?
Elle m’embrasse tendrement, et me dit :
— Du plus-que-parfait, surtout avec l’improvisation de ta cousine.

Elle rit et ajoute :
— J’aurais pu tout imaginer de sa part. Sauf me gifler.— Tu lui en veux ?— Non au contraire.
Elle prend un air sérieux et me dit avec tendresse :
— Je peux demander quelque chose à mon étalon chéri ?— Bien sûr.
Elle se dresse, je lui offre un oreiller :
— Par amour, je ne te refuserai jamais rien. Mais concernant la sodomie, j’ai une petite faveur à demander.— Quoi ? Sois franche et directe.— Ne jamais demander une sodomie. Moi seule, qui en fais la demande. Si j’ai envie, bien sûr.— Bien sûr. Premièrement, elle n’a jamais fait partie de mes fantasmes. Deuxièmement, un homme ne doit jamais forcer une femme. A moins qu’il ne s’agisse d’un accord préétabli comme était le cas hier.

------------------------------------
Devant un petit-déjeuner copieux, préparé avec beaucoup de soin par Julien, Isabelle s’adresse à son mari :
— Julien, tu prépares ton matériel de photo, ainsi que ton laboratoire de tirage.— A tes ordres.
Je m’adresse à Isabelle :
— Pour quoi faire ?— On va tendre le plus beau des pièges, à la fameuse Madame Christine, la directrice du Lycée français, via sa vicieuse secrétaire Mademoiselle Nathalie.— Explique.— Une dizaine de photos, de ton sexe sur mes fesses, entre mes seins et dans mon sexe, les feront rabattre comme des hyènes devant un animal blessé.— Tu oses faire ça ?— Pour toi, je ferai n’importe quoi.

------------------------------------

— Mon adorable Julien, tu es un artiste.
Isabelle feuillette des photos :
— Wawwww. Celle-ci est extraordinaire.
Elle vient à côté de moi et me dit :
— Regarde comment il a pu capter le jet de sperme en plein vol.— Oui, c’est extra.
Isabelle tend le lot de photo, à Julien, et d’un air ferme, lui dit :
— Tu portes ces photos à Nathalie, et tu lui dis : « Si les photos te plaisent. On a l’original à la maison ».
Elle marque un ton d’arrêt et ajoute :
— Comme je la connais très bien, elle va essayer de venir seule. Tu lui dis qu’elle ne sera reçue qu’avec sa patronne.
Julien prend les photos et Isabelle ajoute :
— Tu leur dis que si elles ne viennent pas tout de suite avec toi, l’offre n’est plus valable.— OK.— Dernière chose : tu les ramènes directement au salon, sans frapper et sans nous appeler.— OK.
Julien quitte la maison.
— Tu parais sûre de toi ?— Plus que sûre et plus que certaine.— Je te laisse faire.— On se prépare pour les recevoir.

------------------------------------
Il faut imaginer la scène et bien la visionner : moi assis sur un divan. Isabelle à genoux qui m’offre une fellation. Ma cousine étendue par terre sur le dos, sa tête entre les cuisses d’Isabelle. Naturellement les trois à poil, il va de soi.Pour dire vrai, tout est une préparation minutieuse d’Isabelle, on voit entrer Julien, accompagné de deux femmes. Pour résumer toute la description classique, de l’âge, du poids, des mensurations des poitrines, ou la taille des fesses, je dirai que nous étions, face, ou sous le regard de Laurel & Hardy. Mais au féminin.Comme préconise le scénario établi par Isabelle, nous devons, surtout elle et moi, car ma cousine est ailleurs, entre les cuisses d’Isabelle, faire semblant, non seulement de ne pas les voir, mais aussi de ne pas leur diriger le regard.Une minute est passée :
— Isabelle.
Isabelle tourne la tête, et fait semblant de découvrir la présence du duo.
— Madame Christine. Bienvenue.
Elle reprend sa fellation un moment, puis reprend la parole :
— Mes excuses à toi et à Mademoiselle Nathalie. Ça fait plus d’une heure que je suis en train d’exciter cette jolie bite.
Elle se tourne vers les deux femmes, et leur demande avec l’air le plus innocent du monde :
— Elle est belle... N’est-ce pas ???
Me concernant, j’ai pu savoir qui des deux femmes est Laurel, et qui serait Hardy. Madame Christine est la maigre. Donc, Mademoiselle Nathalie serait la potelée.
— Dis Madame Christine. Ou plutôt Mademoiselle Nathalie, qui semble plus experte : « Il faut le chevaucher pour lui faire cracher son jus » ?— Arrête ton cirque Isabelle. Tu ne nous as pas fait venir chez toi, pour savoir si tu dois le sucer ou monter dessus ????
Isabelle tout en se mettant debout, s’écarte un peu, pour laisser les deux femmes admirer mon sexe qui est resté droit.Isabelle m’enjambe, tout en regardant les deux femmes, et leur dit :
— Vous voulez baiser avec lui ???
Les deux femmes disent « oui » de la tête. Isabelle leur répond :
— On ne comprend pas le langage des signes ici.
Madame Christine avance un peu, et dit à haute voix :
— On a envie de baiser.
Elle fixe Isabelle dans les yeux et lui dit :
— Voilà. Je viens de le dire.
Tout en se positionnant sur mon sexe, Isabelle répond :
— Je ne peux décider à sa place.
Elle essaye de tourner la tête pour me parler. Chose difficile dans sa position :
— Mon bel étalon infatigable.— Oui mon adorable jument en chaleur.— Ces deux gentilles et innocentes dames veulent baiser avec toi.
Elle marque un temps de silence, puis me demande en suçant le doigt :
— Je leur dis quoi ?— Je ne prends que les esclaves.
Je prends Isabelle dans mes bras, et je commence un mouvement de va-et-vient vertical... Elle se lance dans des gémissements :
— Tu peux leur dire que je ne prends que des esclaves obéissantes sans limites, et soumises à la perfection.
Isabelle gémit tout en s’arrachant les cheveux :
— Ouiiiiiiiiiiiiiiiii. Mon bel étalon. Je suis déjà ton esclave et ta soumise.— Au premier refus, et même hésitation, elles dégagent.
Isabelle est aux anges, elle vient d’avoir un orgasme, dont elle a fantasmé beaucoup... Jouir sous le regard de cette Dame et cette Demoiselle.
— Quelles sont les limites de cette soumission ?
Madame Christine vient de poser sa question, à la manière d’un négociant qui veut disposer de meilleurs avantages.Tout en se dégageant, Isabelle lui répond :
— Aucune, sauf celles qu’il s’est fixées lui-même de plein gré :
Nos deux invitées ne réagissent pas :
— Pas de crade. Pas de violence.
Isabelle marque un temps d’arrêt et ajoute :
— On ne fait rien en public. Vous seriez ses femmes, et à lui exclusivement.
Les deux femmes échangent le regard :
— Ça nous va à merveille.
Madame Christine a répondu avec un sourire. Isabelle lui dit :
— Il y a une chose que toi seule peux faire pour le garder ici, dans la capitale.— Quoi ?— L’inscrire au Lycée français. Il entame sa Terminale la rentrée prochaine.— Il a quel âge ?— Presque 19 ans.— Je ne pensais pas qu’il était si jeune.— Légalement, il est majeur. Comme tu le sais, la majorité est fixée à 17 ans dans ce pays.— En plus, je n’ai jamais baisé avec un élève du Lycée.
Elle marque un temps de silence, puis ajoute avec un grand sourire.
— Il me semble que je dois le faire.
Puis se tourne vers Nathalie :
— Je vais vivre mon fantasme, il paraît...
Isabelle lui demande :
— Quel fantasme ???— Prise debout dans les toilettes de mon bureau par une bite de cette taille.
Nathalie intervient en s’adressant à Christine :
— On peut lui octroyer une bourse.— Certainement, un garçon comme lui, qui a les bourses pleines, mérite bien une bourse.
Isabelle me regarde, et dit :
— Tout est parfait, alors.— Enlevez vos habits, et restez en sous-vêtements.
Ma première intervention paraît venir d’une autre planète. Isabelle intervient :
— Allez Mesdames. En toute vitesse. J’ai bien dit qu’il ne prend que des esclaves soumises.
Les deux femmes commencent à se déshabiller, en se regardant. Quelques secondes et les voilà en deux-pièces.Je vois devant moi Christine, avec des jambes fines, mais musclées, une taille parfaite, mais surtout une poitrine relativement volumineuse pour son gabarit. Un deux-pièces et un slip, unis, rouges, de bonne qualité, mais assez anodin, comprendre qu’ils n’expriment aucune dimension sexuelle de son corps.Christine, en revanche, paraît plus potelée. Ses cuisses se touchent presque jusqu’aux genoux. Une poitrine bien prononcée, mais paradoxalement un ventre assez plat, assez droit, pour une femme de telle taille. Elle est châtaine, le teint clair, sur la cinquantaine ou un peu moins, paraît timide et un peu gênée...Christine affiche en revanche plus d’assurance, même, j’imagine qu’elle doit trouver du plaisir à exhiber son corps.
— Venez me tailler une pipe.
Les deux femmes avancent ensemble, mais Christine est au-devant de la marche... Chose qui fait comprendre son ascendant sur sa secrétaire. Je décide de changer de stratégie. Arrivées à mon niveau, Christine tend sa main la première pour empoigner mon sexe.
— Doucement.
Je me dirige vers Nathalie, et je lui dis dans un ton cordial, et même très doux :
— Toi qui commences.
Nathalie semble contrariée par la demande. Je regarde Christine dans les yeux.
— Toi, tu feras la voyeuse.
Puis je tends la main à Nathalie :
— Viens le prendre.
Elle se met à genoux, et cherche Christine des yeux comme pour s’excuser.
— Toi en revanche, tu vas t’offrir une masturbation.
Je marque un temps d’arrêt, et j’ajoute :
— Mets-toi sur ce fauteuil. Je ne pense pas que la masturbation ait de secrets pour toi. Je dirai même que tu es accro de ce plaisir.— Oui. Je me masturbe plusieurs fois par jour.— Masturbe-toi sans rien enlever.— A tes ordres.
Entre ses jambes, je remarque un sexe rasé ou épilé intégralement... Elle s’applique et paraît s’accommoder à cette tâche, plus par plaisir que mon ordre.Je sens la bouche de Nathalie. Elle commence par lécher le gland, l’embrasser, et ensuite entamer de rotations dans sa bouche, qui commencent à augmenter de volume. Action que remarquent Isabelle et ma cousine, assises à côté de moi.
Pour bien gérer ce petit groupe, je demande à Isabelle d’offrir le même plaisir à ma cousine. Je n’ai pas besoin de prononcer un mot. Un simple regard, et la belle blonde se met à genoux, embrasse les cuisses de ma cousine, qui les ouvre et les lève totalement, de quoi offrir le plus bel angle d’attaque.
Mon regard est pris de suite par la scène de masturbation. Christine, à la manière d’Emmanuelle dans un de ses films, met sa jambe sur le bord du fauteuil, de quoi s’offrir un champ d’intervention plus large, mais aussi de quoi m’offrir le spectacle dans tous ses détails.
Elle tient son slip de sa main gauche, pour enfoncer son majeur à fond, l’active un peu, puis le hisse jusqu’à bouche, le suce et le lèche. Je la sens sous double excitation, à la fois l’excitation de la voyeuse qu’elle est, mais celle de l’exhibitionniste qui aime s’offrir en spectacle. Sa taille imposante, et l’envie qui se dégage de son action lui offrent un charme particulier. Une chose est certaine : Ma directrice du Lycée (dans l’attente de l’inscription) va avoir dans ma vie, une importance autre de pédagogique.
Son orgasme est magistral. Son majeur commence par taper très fort, à l’image d’une bite qui pilonne une femme. Un gémissement qui s’apprête plus au rougissement d’une lionne. Puis silence total.A mon côté, ma cousine semble nager sur un autre monde. Soudain, je stoppe Isabelle, et j’ordonne à Nathalie de la remplacer. Je prends Isabelle par la main, et on se dirige vers Christine. Elle vient d’ouvrir ses yeux, je l’embrasse tendrement, elle se remet un peu, et me rend le baiser :
— Je peux t’avouer quelque chose ?— Oui...— La première fois que je me sens tellement éprise d’un homme.
Elle respire fort, et ajoute :
— Un homme qui ne m’a encore pas touchée. En plus, ma sensation n’est pas que sexuelle.
Elle paraît les yeux mouillés de larmes. Elle respire encore très fort, et ajoute en direction d’Isabelle :
— Je suis éperdument amoureuse comme tu l’es de ton homme. Je veux qu’on instaure un climat de confiance entre toi et moi, pour son plaisir, qui sera le nôtre. OK ???— OK mon amour.
Isabelle pose un doux baiser sur les lèvres de Christine, qui s’empresse de la prendre par la tête, et l’embrasse avec force et envie :
— Toi aussi, tu m’excites fort. Folle envie de toi.— Tant le désir est triangulaire, venez.
Je les prends par la main et on se dirige vers la chambre à coucher.Christine me prend par la taille, m’embrasse tendrement :
— Je veux vivre avec toi un fantasme que je traîne depuis l’anniversaire de mes dix-huit ans.— ...— M’offrir à un couple expérimenté, qui va m’initier aux plaisirs charnels.— Avec un grand plaisir.— Je veux me sentir dans la peau d’une vraie pucelle, novice et sans aucune expérience.
Elle respire très fort, et continue :
— Qui n’a jamais rien fait, même pas un baiser innocent, et qui compte bien sur vous pour la dévergonder.— On doit prendre chacun une douche à part. Tu ne peux pas te sentir vierge, avec les odeurs que chacun porte.
Christine m’embrasse tendrement, et me dit :
— Parfait mon tendre amour.
Elle se dirige vers Isabelle et lui demande :
— Tu permets de l’appeler ainsi ?— Bien sûr, ton droit le plus absolu.— Pour parfaire ton fantasme, tu rentres chez toi, tu prends un bain, tu te prépares, et tu t’habilles comme le fait une fille de dix-huit ans, qui est désormais adulte devant la loi, et veut vivre l’expérience de son choix.

------------------------------------
A suivre
------------------------------------
Diffuse en direct !
Regarder son live