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Mon adorable voisine.

Chapitre 1

Lesbienne
L’histoire s’est déroulée en été. J’avais 18 ans et logeais encore chez mes parents mais ils s’étaient offerts quelques semaines de vacances rien que tous les deux. Nous avions tout organisés pour que je ne manque de rien pendant ces semaines. J’étais très enthousiaste à l’idée de rester seule aussi longtemps. Aussitôt qu’ils furent parti, j’avais fermé les volets des pièces principales, pas complètement pour la lumière rentre quand même, puis, je m’empressais de me dévêtir en ne laissant que ma culotte. J’aimais rester comme ça. J’étais une petite femme ronde, ce qui m’avait octroyé une poitrine intéressante assez tôt. Je passais mes matinées en petite culotte, libre comme l’air, et l’après-midi je sortais. C’était agréable. Je vivais au jour le jour et faisais ce que je voulais quand je voulais.
Et ce jour là, j’avais envie de crêpe. J’avais sorti les ingrédients de leurs places, sauf les œufs, hélas, car je n’en avais plus. Je m’habillai à une vitesse folle et courus chez une de mes voisines. C’était une magnifique femme de 49 ans. Elle vivait seule depuis que son mari avait décidé d’officialiser sa relation avec sa maîtresse.Je toquai. Elle fut surprise de me voir à sa porte, et je lui expliquais. Elle profita de mes besoins pour me faire rentrer car elle se sentait très seule. Je pris place sur son canapé tandis qu’elle alla me chercher un verre de menthe. Nous discutions pendant un moment et elle me fit remarquer que j’avais mal mis mes ballerines.
« _Oui, j’ai un peu mal aux pieds en ce moment et là je me suis dépêchée..._Tu as de jolis pieds, tu devrais en prendre soin. Quelqu’un te les masse parfois ?_Non... À vrai dire, c’est pas tellement ce qui me traverse la tête. _Et bien maintenant que ça te traverse la tête, je pourrais te les masser._Je... C’est assez gênant... Et puis, je ne veux pas que vous perdiez votre temps..._Ce serait un plaisir. »
Elle prit délicatement mes pieds et les posa sur ses jambes, puis, toujours avec autant de délicatesse, elle enleva mes ballerines. Je rougissais. Morte de honte, je m’excusais de l’odeur. Elle me sourit et chuchota « Ce n’est pas désagréable ». Elle me massait, et, c’était parfait. J’étais allongée, les yeux fermés. Je sentis un de mes pieds se lever, j’ai doucement ouvert mes yeux et elle commença à embrasser mes pieds.C’était bizarre, mais... J’aimais. Je faisais mine de ne pas m’en rendre compte parce que la situation m’embarrassait. Elle reposa mon pied sur le canapé et glissait vers moi.« _Que faites-vous ?..._Rien de mal... »Elle remonta légèrement mon haut et embrassa mon ventre. C’était sans doute pour avoir mon approbation car elle ne s’attarda pas et ses lèvres terminèrent bientôt sur les miennes.J’avais été incapable de réagir. J’étais perturbée car ni la situation ni son âge ne permettaient de considérer ce qu’il se passait normal, et car j’aimais. C’était une femme magnifique, ses douces rides n’avaient que peaufiné sa beauté. Alors je me laissais faire. Rapidement, ses mains avaient rejoint mes seins sous mon t-shirt (qui n’avaient aucune protection à part le t-shirt) et moi, je ne savais pas vraiment où mettre les miennes. Elles tournaient en rond sur son dos et caressaient ses cheveux. Elle s’arrêtait et me sourit, je lui rendis. Puis elle glissa de nouveau, vers le bas. Mon pantalon ne resta plus longtemps sur moi et ma culotte vola. Sa bouche se déposait sur mon vagin. L’excitation montait sous la douceur de ses baisers, et en me jetant un dernier regard, elle y plongea la langue. Elle léchait. C’était si bon, si intense, si parfait, si... Mon mutisme s’était transformé en gémissements et le contour de sa bouche s’humidifiait à mon contact. Après un bon moment où mon vagin n’appartenait plus qu’à elle, elle se redressa en répétant à quel point j’étais délicieuse. Nos bouches se retrouvaient, et nous échangions de rôles. C’était maintenant à moi de jouir des privilèges de son vagin. Je l’embrassais à mon tour et y glissait légèrement ma langue pour l’habituer à elle. Sa main dans mes cheveux, elle me murmura d’y aller. Je lui fis un cunnilingus parfait, d’après ses dires. Nous nous étions ensuite prêtés nos doigts et couvertes de caresses.J’étais à présent dans ses bras. Chacune réfléchissait à ce qu’il venait de se passer, tout en se regardant dans les yeux.Elle m’avoua que j’étais sa première expérience lesbienne et c’était réciproque.
J’avais déjà oublié mes crêpes. Elle m’invita à manger et à dormir chez elle. J’acceptais et nous passions une bonne partie de la soirée à recommencer nos ébats. Toujours avec autant d’intensité.
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