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Mon aide soignante Mathilde

Chapitre 2

Erotique
Cela faisait maintenant plusieurs jours que Mathilde était devenue mon aide-soignante à domicile attitrée. Notre relation n’avait pas vraiment évolué depuis les derniers évènements. On aurait dit que ça ne s’était jamais passé. C’était énormément frustrant vu que je rêvais d’elle chaque nuit s’occupant de moi et de ma libido. Qu’attendait-elle pour me donner le feu vert, je n’attendais plus que son autorisation.Cela faisait maintenant une semaine que j’avais passé un moment très intime avec mon aide-soignante. Elle devait venir dans l’après-midi. J’avais décidé de passer à l’action vu qu’elle ne montrait aucun signe, il fallait peut-être que je la provoque. Je mis mon jeans le plus moulant qui laissait une vue imprenable sur mes fesses bien rebondies. Si je devais avoir une érection, la bosse se dessinerait parfaitement sur mon pantalon. Je m’étais aussi habillé de ma plus belle chemise où comme par hasard j’avais oublié de faire quelques boutons ce qui laissait une vue imparable sur le haut de mon torse. Maintenant que je m’étais bien préparé, je n’attendais plus que l’arrivée de Mathilde chez moi.Elle sonna à la porte de ma maison vers 14h.
— Bonjour Hugo ! tu vas bien ? Wow, tu es drôlement bien habillée aujourd’hui.— Oui bien sûr et toi ça va ? Merci pour le compliment. J’ai quelque chose à fêter aujourd’hui. Passe devant, je te suis. Je peux t’offrir quelque chose à boire ?— Oui. Je vais prendre de l’eau, je suis exténuée. Je finis ma tournée du matin par toi.
Ce petit détail n’échappa pas à mes oreilles. C’était la première fois depuis que je l’avais engagé que j’étais le dernier patient de sa tournée. Était-ce un hasard, mais des idées qui n’étaient pas très catholiques me vinrent en tête. Alors qu’elle était passée devant moi pour aller dans la cuisine quelque chose me perturba. J’avais souvent tendance à observer les magnifiques courbes de son fessier quand elle venait me faire mes soins. Elle portait toujours une culotte dont on pouvait apercevoir les contours à travers sa tenue de travail. Mais là, aucun contour n’était visible. L’idée qu’elle ne portait rien traversa mon esprit. Cette idée m’émoustilla terriblement. Et je sentis déjà mon sexe prendre de l’ampleur dans mon pantalon.
— Merci beaucoup pour ce verre d’eau. Viens, veux-tu aller dans ta chambre pour prendre les paramètres ?— Oui, ça me permet de me sentir plus à l’aise.
Cette fois-ci, c’est moi qui enclenchais la marche. Je me retrouvais donc devant Mathilde dans les escaliers. Alors que je montais les escaliers, je me retournai. Et je vis Mathilde qui était en train de se rincer l’œil sur le bas de mes reins. Le jeans avait l’air de faire son effet.Une fois arrivé dans ma chambre, je me couchai dans mon lit. Mathilde s’approcha de moi et commença à m’ausculter. Cela faisait près d’une semaine que je pensais seulement à elle et qu’elle hantait mes rêves. Alors sans réfléchir je pris sa main et la posai sur mon sexe.
— Ah Hugo, ce n’est pas trop tôt, cela fait une semaine que j’attends on va enfin pouvoir s’amuser.— Ah comment ça tu attendais ?! Moi aussi j’attendais.— Ah heureusement que tu t’es bougé, c’était ta dernière chance. J’aime bien quand l’homme prend les choses en mains.
À peine avait-elle fini sa phrase que je l’embrassais déjà. Mes mains se dirigèrent d’abord dans sa nuque quand je l’embrassai et ensuite je les fis glisser le long de son corps pour arriver au niveau de ses fesses. Ses fameuses fesses qui avaient été pendant longtemps maîtres de mes songes. Je pouvais enfin les toucher. Elles étaient parfaites. J’adore malaxer les fesses, mais là c’était vraiment exaltant. Tout en continuant nos tendres baisers, Mathilde commença à me retirer le bouton de mon pantalon.
Une fois que nous finîmes de nous embrasser, je retirai mon pantalon qui libéra mon sexe de sa captivité. Il était gorgé de sang. Mathilde commença à m’embrasser dans le cou. Elle remonta mon t-shirt et descendit de mon cou vers mon ventre pour finalement arriver sur mon sexe encore emprisonné dans sa prison de tissu.
— Il serait peut-être temps de t’occuper un peu de moi qu’on inverse un peu les rôles.— Oui très certainement, c’est sûr que c’est très chouette d’avoir du plaisir, mais le procurer est tout aussi bon.
Sa phrase était à peine terminée que je me retrouvais déjà sans caleçon. Mon sexe vraiment libéré cette fois-ci. Enfin c’est ce que je croyais. À peine m’étais-je fait cette réflexion que ma verge se trouvait déjà dans la bouche pulpeuse de Mathilde. Pour l’instant, seul mon gland était enfermé dans sa cavité humide et chaude qu’était sa bouche. J’avais été tellement surpris par la vitesse à laquelle elle s’était emparée de mon sexe que quelques gloussements de stupéfaction s’échappèrent de ma bouche. Seul mon gland se trouvait à l’intérieur de sa bouche, mais c’était déjà tellement bon et si plaisant.
— Attends, je vais te déshabiller. Je ne vois pas pourquoi je serais le seul à prendre du plaisir.— D’accord. En fait, tu es déjà devenu addict à mon nectar en une fois, avoue-le.— Peut-être bien.
Mathilde avait touché là un point sensible. Il était vrai que le goût de son excitation m’était apparu totalement aphrodisiaque durant notre rapport de la semaine précédente. Je n’avais qu’une hâte c’était d’y regoûter.
— Allez, viens sur moi : il n’y a qu’une seule position pour prendre du plaisir tous les deux, dis-je.
Mathilde s’empressa de venir au-dessus de moi. Elle plaça son sexe juste au-dessus de ma tête. Je pouvais voir qu’il était déjà tout luisant d’excitation. Elle reprit mon sexe en bouche en ne prenant que mon gland au début, mais à chaque fois, elle descendit de plus en plus. Sa main qui était à la base de mon sexe se serrait de plus en plus. Pendant ce temps-là, j’étais occupé à faire des petits ronds autour de son clitoris. À certains moments, je prenais son déclencheur de plaisir en bouche. À d’autres j’enfuyais ma langue dans son vagin qui me nourrissait de son nectar qui était encore meilleur que celui de la semaine passée. Quand je jouais avec son clitoris, j’entendais très distinctement des gémissements provenant de Mathilde. Cela m’excitait encore plus. À un certain moment, j’accélérai mes coups de langue. Je faisais des cercles de plus en plus petits autour du clitoris de Mathilde tout en accélérant. Cela lui fit arrêter toute activité. Elle se releva pour profiter de tout le plaisir que je lui donnais. Elle l’exprima par des gémissements tellement enivrants que je perdis la notion de la réalité. J’avais l’impression d’être dans un rêve.
Mais un bruit familier me rappela à l’ordre. C’était un bruit que je connaissais très bien même, la sonnerie d’un téléphone portable, et ce n’était pas le mien.
— Bonjour. Oui. Quoi ? Je dois venir en urgence ? D’accord. Ouais, bonne journée. Désolé, Hugo, je suis appelée en urgence. Je dois partir, mais on remet ça demain. J’ai tellement envie de goûter à ce que tu caches dans ton pantalon. À demain.
Je la voyais se rhabiller sans trop comprendre ce qu’il se passait, mais je fus assez choqué et triste de ne pas avoir pu concrétiser avec mon aide-soignante. Mais ce n’était que partie remise, après tout.
— D’accord. Je comprends. Demain, je t’attendrai de pied ferme alors.— J’espère qu’autre chose sera ferme demain.
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