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  • Histoire érotique écrite par Anonyme
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Mon amant -b

Chapitre 1

Divers
Je fais partie de ces femmes célibataires qui ont des périodes d’intenses désirs, et qui pour les satisfaire, se caressent longuement, parfois plusieurs fois par jour, soit en lisant (ou après avoir lu) des récits érotiques sur ce site, soit en tchatant avec des inconnus sur un site réservé à ce genre de discussions. C’est au cours d’une lecture ici que j’ai découvert l’écriture d’Allan... je suis tombée sous le charme et surtout j’ai été très excitée... j’ai donc décidé de lui écrire, puisque cet auteur avait laissé son adresse mail. Il s’est montré charmant, et nous avons échangé quelques messages... il a su de nouveau m’exciter. Je ne sais si nous finirons par nous rencontrer, car passer du fantasme à la réalité n’est pas si simple... mais j’ai souhaité lui dédier le texte qui suit, en espérant qu’il en appréciera la lecture.
Je suis brune, de taille moyenne (1.70m), légèrement ronde, charmante si j’en crois le regard de certains hommes et je pense que ma poitrine opulente ne laisse pas indifférent. J’aime m’habiller cool, classe ou sexy. J’aime la fantaisie, dans tous les domaines. Je suis très sensuelle, très à l’écoute des sensations aussi. Lorsque je fais l’amour, j’aime toucher bien-sûr, goûter, regarder, sentir les effluves de l’amour sur le corps de mon partenaire ou sur le mien, et entendre son souffle, ses soupirs , sa jouissance. Bref, je fais l’amour les cinq sens en émoi. J’aime satisfaire l’homme qui partage ma sexualité. Mon désir de satisfaire l’autre m’a par le passé conduite à une relation de soumission/domination plutôt soft... mais non moins excitante pour la cérébrale que je suis. Et dans mes fantasmes, je suis souvent l’objet d’un dominateur averti qui sait m’humilier et m’exciter autrement qu avec des brutalités.Le récit qui va suivre est un mélange de fantasme et de faits réels... Seul Allan saura ce qui est réel, s’il souhaite le savoir...
J’appellerai mon amant Pierre. Nous avions une relation alors depuis plus d’un an et cela faisait quelques semaines que nous avions décidé de la pimenter en introduisant de temps à autre, chacun notre tour, un scénario qui avait pour objectif précis et final la jouissance des deux partenaires. Le scénario n’était connu que de l’instigateur et il le faisait donc découvrir à l’autre en temps réel. Ce qui bien entendu décuplait notre excitation.Ce jour là, Pierre m’avait demandé de l’attendre en m’occupant dans la maison mais ses conditions : je devais être habillée comme une ? pute ? et lui tourner le dos lorsqu’il entrerait. Je devais aussi ouvrir la porte de l’appartement à 19h00 pour ne pas l’entendre arriver.Peu avant 19h00, je choisis les vêtements : mini jupe, bas résilles,string et soutien gorge pigeonnant noirs, petit haut lacé devant et ne se fermant complètement, de façon à mettre en valeur mes deux globes laiteux... un maquillage provoquant : les yeux bien fardés et la bouche couverte d’un rouge vif , ce qui sur mes lèvres pulpeuses ne manquait pas de vulgarité... des chaussures à talons un peu hauts. Et je m’affairais en repassant. Je pouvais ainsi répondre à ses demandes : m’occuper dans la maison et lui tourner le dos.A 19h00, j’entrouvris la porte, et me remis à repasser, priant pour qu’aucun voisin, intrigué par ma porte ouverte ne décide d’entrer voir si tout allait bien ...Les minutes passant semblaient durer... durer... Il n’était toujours pas là...ou alors était-il arrivé et me regardait-il ? ...J’attendais, à la fois impatiente et pleine d’appréhension... qu’avait-il imaginé ? Pourquoi ne se manifestait-il pas ? Ma tenue lui plairait-elle ? Mon coeur battait fort.Je sentis plus que je n’entendis sa présence. Aussitôt je fus parcourue de frissons. Il vint tout près derrière moi, me couvrit les yeux d’un bandeau noir. Mon coeur battait la chamade. Il me dit bonsoir et m’embrassa dans le cou. Il me fit tourner pour me regarder et admit que j’avais suivi ses consignes à la perfection. Il ajouta :— Tu fais une pute bien bandante, chérie.Je rougis sous sa remarque.— Bien, je vais étudier tout cela de plus près. Viens.Il m’attrapa par un poignet et me poussa à le suivre. Je devinais qu’il s’était assis sur le canapé et me plaçai devant lui.— Ouvre ton bustier.Je m’exécutais et il vit mes seins aux tétons tendus lovés dans mon soutien gorge à balconnets.— Déjà excitée, chérie ? Crois tu qu’une pute s’excite aussi facilement ?— Non.— Non, en effet. Mais toi tu es une pute salope, très salope ! Et aujourd’hui tu vas me le prouver, beauté.
Ce mélange de doux noms et d’insultes provoquait en moi une excitation certaine. Comment allait-il me lui faire prouver ?— Lève ta jupe, salope.Il découvrit mon string noir.— Alors là, ça n’ va pas du tout, dit-il d’une voix fâchée.
Je me demandais bien ce que j’avais mal fait...— Tu es vraiment d’un négligé, ma pauvre fille ! Et tu pensais que j’allais laisser passer ça !— Quoi donc ? soufflai-je .— Quoi donc ! Tu oses le demander ! T’es pas futée, et pas classe du tout ! Qu’est ce que c’est que tous ces poils qui dépassent de ce string !Il prit le string et l’arracha d’un coup, me faisant échapper un cri.— Viens là, fit-il me tirant très fort avec lui. Je le suivis comme je pouvais, ne voyant rien.Il me plaça devant la table de la salle à manger, puis m’allongea dessus.— Attends là.J’attendis, les jambes dans le vide, allongée, j’essayais de distinguer des bruits. Il me laissa plusieurs minutes dans cette position. Il revint et mit de la musique. Drôle d’idée.— Bon , ce n’est plus qu’une affaire de minutes.Il me fit relever les jambes, je dus les tenir sous les genoux et les écarter en grand. Pose obscène s’il en est. Je sentis peu après qu’il mouillait mon sexe avec de l’eau tiède puis passait de la mousse... il me rasa patiemment le sexe... le contact avec la lame me faisait un drôle d’effet, j’avais peur qu’il me coupe, surtout lorsque je le sentais proche de mes lèvres.Cela a dû durer 10 ou 15 min, je fatiguais de ma pose. Enfin, je l’entendis :— Ah ! Tu n’as jamais été aussi belle et désirable.Il s’amusa à passer sa main entre mes cuisses. Je sentais bien que c’ était doux et je me demandais la vue que j’offrais. Ce qui était certain, c’est que lui appréciait.Il commençait à passer un doigt entre mes lèvres, puis le fitcoulisser dans ma chatte.Il me plaça différemment, de façon à ce que je puisse lâcher mes jambes, mais j’étais toujours étendue sur la table, jambes écartées.Il enfila un deuxième doigt... je commençais à soupirer...— Tu aimes ça, ma salope ?— Oui... hummmmIl enfila un troisième doigt puis voulut en mettre un quatrième mais là j’eus un peu mal.Il continua quand même et força malgré mes petits cris de mécontentement. Lui ça avait plutôt l’air de l’exciter. Il enleva ses doigts puis revint en moi, et cette fois-ci je compris qu’il avait placé ses 5 doigts à l’entrée de mon sexe.— Non, tu me fais mal !— Laisse moi faire ! Tu vas en jouir, tu vas voir.J’ai toujours fait extrêmement confiance à Pierre et il est vrai que nos jeux nous ont toujours amenés à la jouissance. Je pris donc le parti de subir. Après tout, j’aimais être sa chose durant nos jeux.Il continua donc à forcer doucement mais sûrement et parvint à son grand contentement à rentrer sa main entière. Moi je n’éprouvais alors pas de plaisir, juste une douleur, l’impression d’être envahie, forcée. Il bougea un peu en moi mais toujours pas de plaisir en vue, rien qu’une très grande gêne mélangée à de la douleur.Il n’insista plus et ressortit sa main. Puis il me fit lever de la table , m’agenouilla devant lui et passa son sexe dur sur mon visage.— Au travail, pute !Je le suçai donc comme il aimait, il prenait son pied.— Ah ! T’es vraiment la reine des suceuses ! Tu suces comme une professionnelle, sale pute !Son langage me donnait envie de m’appliquer davantage et même d’en faire plus, comme une pro.Il ne tarda pas à jouir et je le bus.— Avale bien tout, garce.
Comme s’il avait besoin de le préciser ! Je le faisais à chaque fellation.Il me dit que le jeu n’était pas encore fini.Il me ramena devant le canapé, me plaça à quatre pattes, souleva ma jupe pour mettre ma croupe en valeur. Il écarta mes jambes et me fit me cambrer davantage.— Tu sais comme j’aime ton cul !! hein tu le sais ?— Oui.— Et tu sais ce que j’aime par dessus tout !— Oui.— Dis moi ce que j’aime.— Me sodomiser.— Demande moi de le faire.— Sodomise-moi.— Mieux que ça.— Sodomise-moi ! dis je plus fort.Il me claqua une fesse.— J’ai dit mieux que ça !— Encule-moi !— Encore mieux ! nouvelle claque...— Casse moi le cul ! Enfile moi ta bite dans le cul !— Oh oui, chérie ! Demandé comme ça, qui y résisterait ? Mais avant, juste un petit quelque chose.Il me laissa deux minutes puis revint. Il saisit mes seins et les malaxa.— J’aime tes grosses mamelles ! hummmm...Il me pinça les bouts, ce qui eut pour effet de me faire soupirer et de faire ressortir les tétons.Il les pinça encore un peu. En même temps il frottait sa queue sur mes fesses, que je bougeais en rythme avec lui.Je sentis alors une forte douleur au niveau d’un mamelon. Le salaud ! Il m’avait accroché une pince à un sein. A peine le temps d’y penser qu’il fit de même avec l’autre. Je poussais des cris et voulus les enlever mais il me retint les poignets.— Si tu savais comme tu es bandante ainsi !— J’ai mal !—  ?a n’vapas durer, tu vas voir. Reste comme ça.Il me lâcha les mains et je ne bougeais plus. Puis il écarta mes fesses et me lécha l’anus. J’appréciais ce traitement et ronronnais. Il resta quelques minutes entre mes globes puis se releva et plaça sa queue à l’entrée de mon petit trou, bien connu de lui.Il avança doucement, petit à petit il enfila son sexe entièrement. J’aimais beaucoup qu’il m’encule, il le savait. Et il est vrai que les pinces sur mes seins ne retiraient rien à mon plaisir, voire le décuplait.— Tu aimes ça, hein salope ?— Oui.— Dis le.— J’aime que tu m’encules, que tu m’défonces le cul. Oh oui ! Défonce moi, viens plus profond ! Encore.J’étais déchaînée et il ne se faisait pas prier. Mon cul en prenait ! Mais quel pied !Il se vida en moi et lorsqu’il sortit, il écarta mes fesses et regarda couler son sperme. Quelle lubricité ce soir chez mon chéri !— Tu as bien mérité la suite, chérie.Il me plaça sur le dos et entreprit de me lécher la chatte, surtout mon clitoris qu’il sait très sensible. Mes seins gonflèrent de plaisir et les pinces se rappelèrent à moi, ce qui intensifia mon orgasme. J’explosai en gueulant comme c’était trop bon ! Ce ne fut qu’une fois affalée sur le canapé, ayant repris mes esprits qu’il défit les pinces, et mon bandeau par la même occasion. Je poussai un cri pour les pinces, mais me jetai dans ses bras .J’aimais particulièrement la tendresse que nous avions l’un pour l’autre après ces scenari complices. Une fois bien câlinée, il me fit aller me regarder dans la glace pour découvrir mon sexe nu. Effectivement, je me trouvais nue ; pas vraiment plus belle, différente. Il me glissa dans l’oreille qu’il aimerait que je sois toujours comme ça à présent. Si ça plaisait à mon chéri ! Pourquoi pas...
Plus tard dans la nuit, j’ai compris pourquoi il avait mis de la musique avant de me raser.Nous n’arrivions pas à dormir... Il me dit alors qu’il me caresserait bien de nouveau et qu’il avait une surprise pour moi.Il partit vers le salon, puis revint avec notre appareil photo numérique.Il me le tendit .— Fais défiler les photos pendant que je te caresse.Ce que je fis. Je découvris des photos de moi allongée sur la table, prises de différents angles, les cuisses largement écartées, me tenant sous les genoux. Je trouvais cela obscène mais j’avoue que ça m’excitait énormément pendant la caresse de Pierre.Je continuais de faire défiler... je vis Pierre qui me rasait... ma chatte qui se dénudait peu à peu...je vis sa main entière dans ma chatte... puis je me découvris avec la bite de Pierre sur le visage , dans ma bouche... je réalisai alors qu’il n’avait pu prendre ces photos lui-même et donc quelqu’un d’autre était présent ! Le salaud ! Et la musique qui couvrait le bruit du déclencheur de l’appareil !Pierre était près de me faire jouir et malgré ma colère, je continuai de faire défiler, imaginant cet homme me reluquer dans toutes les positions, me voir me comporter en salope, me faire enculer par mon amant. Je jouis exceptionnellement fort. Comme à son habitude, Pierre remonta m’embrasser. Et je ne lui dis rien. Que pouvais-je bien dire après un tel orgasme ?

Sandra.
p.s : Allan, vous me donnerez votre avis.
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