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Mon amant du bus

Chapitre 1

Hétéro
Bonjour à tous,Je suis une jeune femme de 23 ans, des Ardennes belge, mariée depuis 2 ans 1/2.Il y avait seulement 5 semaines que j’étais mariée lorsque j’ai trompé mon mari pour la première fois, depuis j’ai fréquemment des aventures.Pourtant j’aime mon mari, mais c’est plus fort que moi, je me laisse facilement séduire. Pour moi, il y a une différence entre "baiser" et "faire l’amour", "baiser" est seulement synonyme de "prendre du plaisir sexuel".Malheureusement, avec la crise de la covid19, il m’a bien fallu mettre ma soif de sexe extraconjugale entre parenthèses. Ayant découvert ce blog et ayant lu quelques histoires, l’idée m’est venue de raconter quelques-unes de mes aventures.Il est certain que je ne vais pas dévoiler mon identité ni ma ville, mon mari n’est pas au courant de tout cela et j’habite une petite ville où presque tout le monde se connaît.J’espère que vous prendrez le temps d’écrire quelques commentaires, ils me feront chaud au cœur (et ailleurs peut-être).
Mon amant du bus
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Tous les soirs, lorsque je rentre du travail, je prends le même bus pour rentrer chez moi. Je suis coiffeuse dans un salon qui se trouve à 3/4h de chez moi et, même s’ils sont peu nombreux, j’y croise presque toujours les mêmes personnes.
Bizarrement, aucune des personnes de mon quartier ne s’y trouve. Généralement, il n’y a pas plus de 8 à 10 personnes, ce qui donne une atmosphère très calme durant le trajet. De par mon métier, je suis tenue d’être toujours bien coiffée, maquillée et habillée. Au salon, toutes les filles devons porter le t-shirt blanc avec le logo de la firme et une jupe noire. La patronne est très stricte, il n’est pas question d’être négligée, c’est un salon unisexe et la clientèle est assez chic.
Mon amant du bus fut le premier, jamais je n’avais imaginé que je cocufierais mon mari. Mais cet homme m’a fait me découvrir, découvrir la salope (comme vont dire certains) en moi. Je n’avais jamais pris fort attention à lui, mais, contrairement aux premières fois, il a commencé à venir s’asseoir non loin de moi et presque face à moi. Relevant la tête de temps en temps, je me suis aperçue que sa seule distraction était de regarder mes jambes. Si au début, cela me mettait mal à l’aise, de le voir d’aspect gentil m’a rassurée.
Un soir, j’ai voulu m’amuser de lui, faisant mine de lire mon livre, j’ai croisé et décroisé les jambes de nombreuses fois. Naturellement, cela eut pour effet de faire remonter légèrement ma jupe et de lui offrir un petit peu de mes cuisses. Pour être honnête, de le voir me regarder m’excita. Mais bon, il était temps pour moi de descendre.
Le lendemain, un mercredi, l’homme monta dans le bus et comme à son habitude, vint pour s’asseoir non loin de moi. Excepté que ce jour-là, c’est sur un siège encore plus proche qu’il prit place !Et ce qui devait arriver arriva.Au bout de 5 minutes de trajet, il se leva et me demanda s’il pouvait prendre place à côté de moi, prétextant qu’il avait passé une mauvaise journée et souhaitait parler de n’importe quoi avec quelqu’un. J’ai accepté, ce que je ne regrette absolument pas aujourd’hui.
Un petit peu de blabla banal, puis il me demanda si je travaillais et dans quel domaine. (tout en discutant, et au rythme des soubresauts du bus, nos jambes se cognaient quelques fois).Lorsque je lui ai révélé mon job, il m’a dit ne pas être étonnée "que mon élégance et ma beauté seyaient tout à fait pour ce métier".
— D’ailleurs vous pourriez même être mannequin, vous en avez vraiment la plastique, ajouta-t-il.
Je me suis mise à rire puis lui ai dit que les mannequins étaient bien plus fines que moi, que mon haut pourrait peut-être convenir, mais que mes jambes ne correspondent pas aux critères exigés.
— Je ne sais pour votre haut, mais vos jambes sont ravissantes et bien des hommes vous le diraient si vous leur demandiez.
C’est à ce moment-là qu’il fit preuve d’une audace inouïe !
— Vous permettez, je resterai correct, joignant le geste à la parole, il se saisit du bas de ma jupe (qui déjà n’arrivait qu’à mi-jambes) et le remonta de quelques centimètres supplémentaires. Là, ma jupe n’était plus qu’à un rien de ma petite culotte, je pense être devenue rouge comme une pivoine. Tout de suite, je l’ai redescendue en lui disant qu’on pouvait nous voir. C’était une erreur que cette phrase, il réagit directement:— Je suis content que seul le fait que les autres personnes puissent voir vous dérange, attendez.
Il pivota sur son siège, me fit presque un rempart de son corps (de plus, je crois que personne n’aurait déjà pu voir son manège) et aussitôt releva à nouveau ma jupe.J’ai ouvert ma bouche, mais il a été plus vite que moi en disant: "Elles sont magnifiques, tu ne dois pas être gênée de les montrer, quand j’étais jeune (dans les années 70’) les filles portaient toutes des jupes assez courtes qui permettaient de voir leurs fesses à chaque mouvement.
Et pendant qu’il me parlait, il me caressait. Etais-je scandalisée ? Gênée ? Je ne sais pas vraiment, mais toujours est-il que ce n’était pas désagréable.Mais voilà, j’allais arriver à ma destination et lui ai dit que je devais me lever.Devinez ce qu’il m’a fait et dit ?Alors que j’étais debout, coincée entre lui et le siège de devant, il a passé sa main sous ma jupe et m’a caressé les fesses en me demandant de ne pas porter un collant le lendemain, "mets plutôt des bas nylon, tu verras ce sera mieux".
Quand je suis rentrée chez moi, j’étais toujours rouge, mon mari m’a demandé ce qu’il y avait et j’ai répondu que j’avais couru, car je pensais qu’il allait pleuvoir. Je suis allée prendre ma douche puis, enfin déstressée, je suis revenue près de lui qui avait déjà préparé le repas.
Tout en mangeant, je n’écoutais mon mari que d’une oreille, je ne cessais de penser à l’homme et à ce qui s’était passé.Sans que j’y pense et sans avoir préparé cette phrase, elle m’est sortie de la bouche:
— Peut-être serai-je plus tard demain, la patronne voudrait qu’on parle de changements possibles dans le salon.
J’avais à peine terminé ma phrase que je me suis demandé à moi-même pourquoi j’avais dit ça, bof.Le lendemain, je fus fort distraite toute ma journée de travail, ma cheffe de ligne m’en a d’ailleurs fait la remarque d’un ton acerbe, j’avais mes pensées ailleurs.Fin de la journée, avant de quitter le salon, je me suis rendue aux toilettes où j’ai enlevé mon collant pour le remplacer par des bas autofixants.En le faisant, je me disais que je ne voulais pas que cet homme vienne encore me toucher, que cette fois, je ne le laisserais pas faire.Je suis montée dans le bus et ai pris mon livre, mais je n’arrivais pas à lire la moindre ligne. Et plus je me disais qu’il allait bientôt monter également, que je crierais s’il le fallait, plus je ressentais une chaleur m’envahir et une humidité entre mes cuisses.
Le bus s’arrêta, c’était l’endroit où "il" devait se trouver. Et il apparut, montrant son abonnement au chauffeur, mais me regardant droit dans les yeux directement. Le bus redémarra et, bien sûr, "il" est venu directement s’asseoir à côté de moi.
Il s’est bien passé 5 minutes d’un silence pesant avant qu’il ne m’adresse la parole tout bas, à mon oreille: - "Tu as fait ce que je t’ai demandé" ? - "Oui". - "Remonte ta jupe pour me le montrer". J’avais de plus en plus chaud, ma tête disait non, mais mes mains le firent. - "Encore, encore".
Je me suis retrouvée avec ma jupe entièrement relevée jusqu’à la taille.
— Tu es une brave fille obéissante, maintenant je vais m’amuser dans ta petite culotte.
Sa main est allée découvrir ce qu’il ne pouvait pas voir, mais il s’est tout de suite rendu compte que j’étais toute moite à cet endroit et m’a fait part de sa satisfaction en disant: je le cite "Tu es encore plus salope que je le croyais, je suis certain que tu t’es masturbée en repensant à hier".Non, je ne m’étais pas masturbée, mais à cet instant, j’avais vraiment envie d’être pénétrée !D’une petite voix timide, je me suis adressée à lui:
— Je ne suis pas pressée de rentrer aujourd’hui, si vous voulez, on peut aller quelque part.— Ecoute petite cochonne, m’a-t-il répondu, "je vis avec un ami, mais il peut partir une heure ou deux si je le lui demande", "et même il pourra te ramener chez toi après", "mais je ne baise pas à la "papa et maman", je suis assez hard dans un lit".

J’ai accepté directement, j’étais encore un peu naïve et ne m’attendais pas à ce qu’il me réservait.La suite bientôt,Lavanessa
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