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Mon amant italien

Chapitre 2

Travesti / Trans
Cela fait plusieurs jours que je n’ai pas de nouvelle de mon bel italien. Puis, un soir mon portable sonne.« Bonsoir, ma belle « Je reconnais instantanément la voix envoûtante de mon amant.« Luigi, quel plaisir »« Il serait bon, de nous revoir, bientôt. Je suis de retour à Paris »Je suis enchanté de cet appel, car le jour même je suis invité à une soirée libertine dans une demeure bourgeoise de la banlieue chique Parisienne. Comme, il va y avoir beaucoup plus de couple, que de personne seule, Luigi me servira de cavalier.Je ne pouvais pas trouver mieux pour m’accompagner à cette nuit de folie sexuelle, dont je suis friand.« Passe me prendre, ce soir à 21 heures »Je vais faire sensation au bras de mon homme, en arrivant au château de la belle au bois dormant. Je l’ai surnommé ainsi car, elle possède toutes les caractéristiques, d’une bâtisse de conte de fée.Comme à mon habitude je me suis préparé pour cette soirée de luxure. Mon corps est épilé avec soin. Il ne reste qu’un triangle de poil mordoré au-dessus de mon sexe.J’ai enfilé une petite robe rouge avec un dos plongeant, des bas à coutures de couleur écru ainsi que des escarpins à hauts talons. Oups ! J’ai oublié de mettre une culotte. A quoi bon puisque je ne vais pas la garder très longtemps.Un léger maquillage, qui va faire ressortir mes yeux bleus. Un peu de rouge carmin sur ma bouche, j’aime bien laisser une trace sur le gland de mes amants. Je me trouve très sexy, tout en admirant ma cambrure dans le miroir de ma chambre.Il ne me reste plus qu’à être patient, mon beau Luigi ne va pas tarder à sonner à mon appartement.Même pas le temps de me caresser l’anus comme j’aime le faire, que déjà mon bel Italien se présente pour m’accompagner. Il est d’une beauté à faire damner un saint. Son corps tout en muscle se pare d’un costume noir, chemise ouverte sur son torse puissant. Il s’approche de moi, alors que je l’ai fait pénétrer dans mon logis et je sens son souffle chaud dans mon cou.« Tu es toujours aussi bandante. Dommage que nous soyons en retard, sinon j’aurai dégusté ton petit cul.Nous voici roulant dans les artères de la capitale. Je me suis assis à ses côtés dans son puissant bolide rouge. Le cuir crème rafraîchie mes fesses. Luigi, tout en conduisant ne peut s’empêcher de caresser la peau du haut de mes cuisses.Je suis déjà tout excité et la nuit s’avance à peine. Mon bel amant à des idées plein la tête, car il porte sous son pantalon d’alpaga, un engin de belle taille qui ne cesse d’enfler sous la pression de mes doigts manucurés de rouge.A peine le temps de me pencher sous le volant pour déguster sons sexe que nous voila arrivés à notre rendez-vous. Juste le temps de réajuster mon rouge à lèvre et d’essuyer le sperme que je n’ai pas pu avaler, en avant pour une nouvelle aventure sexuelle.Je présente, à l’entrée de la grande maison bourgeoise, mon passe, qu’une amie m’a remise le matin même. Il s’agit d’un carton d’invitation en forme de tête de loup brodé de soie noire et rouge.Un fois dans les lieux, nous déposons nos manteaux aux vestiaires et nous suivons un valet dans un long couloir, où mes escarpins résonnent sur le marbre blanc.Nous pénétrons maintenant dans l’arène du stupre, seulement éclairée par des bougeoirs et chandeliers. Des alcôves sont largement garnies de couples en tous genres.Nous nous acheminons jusqu’au bar qui se situe dans le fond de la pièce. Je m’assoie sur un tabouret haut perché. Mon amant reste à mes côtés. Il se régale de la vue qui lui est offerte.En effet, où que se porte son regard, il ne s’agit que de sexe et volupté. Dans ce recoin, deux femmes se caressent avec avidité tous en gémissant sous les coups de langues expertes.Dans un autre boxe, deux hommes jouissent de la sodomie. Le premier largement enfoncé dans l’anus du second, lui procure du bonheur sexuelle. Luigi me fait signe de la tête.Dans le fond deux femmes, une brune et une blonde, suce la queue de bonne taille d’un noir qui est assis sur un canapé. Leurs quatre mains entourent le sexe imposant et leurs langues s’enroulent autour du gland.
Plus loin encore, une femme rousse et prise en sandwich par deux hommes. Les sexes vont et viennent dans ses orifices. Ses seins en poires ballottent à chaque coup de boutoir. Elle jouie les yeux fermées, le bouche ouverte. Son corps magnifique est recouvert de sueur.Pour ma part, j’ai mon anus qui me démange. Mes doigts se portent à sa hauteur. Je caresse avec douceur ma rondelle. Le spectacle offert de toute part, active ma libido.Luigi s’est rendu compte de mon envie, il se rapproche de moi. Sa langue vient lécher mon oreille. Il remplace ma main par la sienne. Deux doigts fouineurs s’introduisent avec aisance dans mon cul.Il prend plaisir à faire tourner, le majeur et l’index, se qui me procure une ivresse sexuelle. Je suis obligé de m’accrocher aux rebords du bar, pour ne pas glisser en arrière.Mes fesses dépassent du siège et je me suis cambré d’instinct. Mon cul est grand ouvert. Justement un bel homme qui passe par là, la queue raide d’émotion, ne peut s’empêcher de venir, le gland en avant dans ma direction.Luigi lui laisse la place, pour se faire il retire ses doigts de mon anus. Immédiatement ceux-ci sont remplacés par une belle bite bien chaude. Je suis pris par les hanches. Mon enculeur s’enfonce avec détermination.Le voici entrée en moi. Il caresse le pourtour de ma pastille, humectant la chaire fragile. Je sens les vingt centimètres vibrés dans mon conduit anal. Le voilà maintenant qui recule, pour mieux prendre de l’élan. Il ne sort pas entièrement de moi. « Vlouf »Je suis à nouveau sodomiser en plein. Le bas ventre de mon amant vient au contact de ma peau. Ma bouche s’ouvre pour une plainte, un cri sans son. L’homme alors s’active, il me bourre le cul à grand coup de bas ventre. Mon anus s’ouvre et se ferme. Son sexe enfle, son gland rond que je pressens, chemine et m’agrandi. La jouissance enfle dans mon corps. Une vague géante, un tsunami s’approche de mes côtes. Il va tout noyer, tout recouvrir de sa puissance destructrice.L’orgasme me prend par surprise. Mon corps se tend, mon anus se resserre, emprisonnant mon enculeur, qui s’immobilise. Je tremble de la tête aux pieds, ne pouvant rien faire contre cela. Enfin, je peu hurler ma libération.Alors, mon sodomisateur, sortant son gland arrose ma rondelle de son foutre chaud. Il dégouline le long de mon cul pour se répandre au sol.Mais je ne reste pas longtemps, le cul béant, car une autre bite s’approche. Le spectacle que nous avons proposé, a donné des idées à d’autres mâles. Un grand noir fortement membré, entièrement nu, vient vers moi, l’œil lubrique.Son sexe d’ébène, me fait penser d’emblé à un sceptre d’empereur africain. Je me retourne pour mieux le savourer. Il a un corps musclé, plein de vie. Sa peau glabre est luisante.D’un mouvement il me demande de m’agenouiller devant lui. Je m’accroupie sur mes talons aiguilles. Ma petite robe rouge, laissant apercevoir mon fessier. Je caresse la peau du ventre. Elle est extrêmement dure. L’homme tient sa gloire à deux mains.J’ouvre la bouche en grand et je happe le gland énorme. Il fond sous ma langue experte. Mes mains maintenant soupèsent les bourses velouteuses. Je ne pourrais pas avaler l’intégralité de son vit. Pourtant il aimerait bien, me forçant de sa poigne à aller plus loin.Changement de position, je me pose sur le siège de mes ébats passés. Prenant le dessous de mes genoux, je ramène mes jambes gainées de soie, au niveau de ma poitrine.Le beau noir a compris mon désir, il se pose devant moi et sa langue, se fond dans mon trou ouvert. Un bel appendice, qui se fraye un chemin gouleyant dans mon anus béant.Je me pâme d’aise. Il est temps de passer à du concret. Se relevant, il pointe sa lance vers moi. Sa grosse fève se cogne à ma chaire. Il est impatient de me sodomiser. Je l’aide de mon mieux en m’écartant le cul de mes doigts nerveux.L’intromission commence. Je sens la puissance de mon enculeur. Tous ses muscles bandés, poussent pour me forcer. Je suis envahi par une entité. Elle glisse le long de ma paroi rectale.Cette avancé ne va jamais s’arrêter. Mon anus se fendille de toute part. Je dois dessiner un jolie O majuscule. Il n’est pas encore arrivé au bout que le voilà déjà qu’il ressort. Cette reculade et une nouvelle enculade. La sortie et aussi difficile que l’entrée.Je suffoque, mais je résiste. Mon beau noir laisse son gland à l’intérieur et il joue avec les muscles de son bas ventre. Je sens, le sexe gonflé. De nouveau il pousse, en avant. Me voici investit d’importance. Il fond sur mon cul, d’un seul trait, s’enfonçant jusqu’à la garde.Je ne peux retenir un cri de plaisir, qui donne le départ de la grande chevauché. Ses coups de boutoirs, m’ébranle. Il va me fendre en deux, comme une vulgaire bûche de bois.Nous joignons nos plaisirs dans un rythme d’enfer. Lui me baise, moi je joui. Les orgasmes se succèdent. Je suis traversé, par une locomotive. Le conducteur, la tête dans le fourneau, ne cesse de jeter du charbon, dans le cœur de la bête. Elle devient rougeoyante. Prête à exploser, mais il en a cure. Si je dois mourir, demain, je n’oublierai jamais cette soirée. Je ne sais pas se qui existe après l’orgasme, mais je suis en train de le traverser. Ma peau est en feu, elle, coule de tous ses pores. Je suis une fontaine de jouissance, un brasier que l’on active.Je hurle le bonheur d’être vivant et de jouir de la sodomie. Nous mêlons nos corps, nous ne faisons plus qu’un. Il est temps pour mon amant de jouir à son tour. Il se déclenche un flot de sperme, qui coule dans mon trou. Chaud et liquide, il se repend dans mon cul atomisé.Une dernière giclé, puis il sort. Ma fente dévastée déborde de son foutre. Je suis pleine de liqueur. Mon cul refoule le trop plein. Je vais avoir du mal à m’assoir pendant un moment.Il est temps de prendre un peu de repos. Je me love sur un sofa en velours. Au loin je vois que mon étalon Italien n’est pas resté les bras ballants. Il s’est déshabillé entièrement et son sexe coulisse dans la fente d’une rousse aux seins volumineux.
En levrette, elle s’active d’un beau déhanché sur les vingt centimètres transalpin (voir transalpine). Luigi ne bouge pas, la femme se plante en cadence, tout en caressant son clitoris. Déjà les prémices d’un orgasme, se lisent sur son visage d’extase.Les yeux fermés, la bouche ouverte, elle se tend comme un arc. La flèche de mon hidalgo est bandée au maximum. Il ne pourra pas très longtemps retenir sa volée. Dans un mouvement conjugué, leurs deux corps se figent. Ils sont imbriqués et je peux deviner les giclés de sperme qui se déversent dans le sexe chaud et moite de cette femme aux seins lourds.Il se recule comme la mer se retire et d’un pas chancelant il vient vers moi. Il se pose à mes côtés. Je peux sentir l’odeur d’homme qui émane de son être. Sa sueur vient se mêler à la mienne.Avec douceur, il cajole mon anus. Je me sens bien, immortel. Il ne peut rien m’arriver à cet instant précis. Le temps passe lentement. Nous restons ainsi, alors qu’autour de nous les esprits et les corps se mélangent, fusionnent, s’échauffent.Dans un bruit de fond, j’entends des râles et des soupirs.Il est évident que nous n’allons pas rester ainsi, sans nous unir. D’ailleurs je sens la vigueur de Luigi revenir.« J’ai très envie de te baiser la bouche.Pour ce faire, je me couche sur le canapé, la tête pendante. Mon amant se positionne à genoux, se qui me permet de voir sa belle paires de couilles. J’ouvre grand les lèvres et je tire la langue.« Je vais te la mettre au fond de la gorge.Luigi s’avance et son gland maculé encore de sécrétion vaginale, s’engouffre longeant ma langue et mon palais.« Je vais te baiser et je vais jouir dans ta bouche. Tu vas tous avaler.Mon bel amant attrape ma tête par-dessous, pour me soulager de la position et il commence ses vas et viens buccaux. Je m’étouffe un peu, il faut dire qu’il bande d’importance sûrement émoustillait par la situation.Par moment, il sort son vit tout enrobé de ma salive et je lui lèche les bourses. A chaque fois, il gémit d’aise. Il me demande également de lui lécher son trou du cul, tout en caressant d’une main ferme, son sexe au-dessus de moi.« Maintenant, je vais la remettre bien dans le fond de ta gorge et je vais te remplir de mon sperme.Aussitôt dit, le voila en moi, j’attrape ses fesses musclées avec mes mains. Mon baiseur se fige la bite enfoncée au maximum et dans un spasme se vide. Le sperme chaud coule dans ma cavité buccale. J’aspire le gland chaud pour boire sa divine semence.Enfin repu, il se dessoude de moi et vient caresser mon visage de son sexe gluant.Pas le temps de me remettre, que me voilà en levrette sur le même sofa. Un homme, nous regardais faire et il a l’intention de me sodomiser. Je pose mon visage sur les coussins en soie et j’écarte mon anus avec mes deux mains.« Je pense qu’il va te défoncer.Me dit Luigi.« Il a un gland énorme et tout rond.C’est ma fête. Mon enculeur d’avenir, se pose derrière moi. Il guide son sexe en direction de ma fente encore ouverte des mes derniers assauts. Le gland se fait un passage. Effectivement, il est gros et dur. Il m’encule avec lenteur, prenant tout son temps.Je suis pressé de jouir, car mon corps est en tension. Mon baiseur, fait son chemin dans mon conduit anal avec précision. Il racle mes parois me procurant, un maelström de fureur sexuel.Je me trémousse sur sa queue. Il avance doucement et bien moi je recule prestement. Je suis enfourné par le beau boulanger, une baguette de vingt livres, toute croustillante.Nos corps se touchent. Sa peau moite, m’électrise. IL ne bouge plus.« J’ai envie de jouir, si je bouge je te remplie.Oh ! Oui vas-y encule moi. Oh ! Oui vas-y baise mon trou.Je prends l’initiative et je me défoule sur le pieu qui me perce. Mon enculeur joui dans mon trou grand ouvert. Je n’arrête pas, je suis sur le point de me rependre dans un orgasme dantesque.A mon tour, je me solidifie autour de sa bite. Ça y est mon corps va cesser d’être. J’ai mille ans, je suis dans le néant de l’amour.Nous prenons le temps de nous reposer avant de partir. Mon dernier enculeur, m’a remis une carte de visite. Il l’a fait avec pudeur en la glissant entre ma peau et la jarretière de mon bas.Je peux lire inscrit en lettres capitales, Conte de Foideu. Un numéro de portable que je dois contacter très prochainement pour de nouvelles aventures sexuelles.
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