Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 173 J'aime
  • 3 Commentaires

Mon amant noir

Chapitre unique

Hétéro
Mon amant noir.
Je travaille comme chef comptable dans une petite société dont le siège est proche de l’aéroport de Roissy. Notre activité est évidemment liée à cette plateforme et nous nous chargeons d’un fret un peu spécifique puisqu’il s’agit d’animaux vivants.
Après cette période difficile due au Coronavirus où notre activité s’était passablement ralentie. Nous avions été obligés de mettre en chômage partiel certains de nos collaborateurs, principalement ceux qui avaient l’animalerie en charge : il n’y avait plus qu’une dizaine d’animaux dans les cages de quarantaine alors qu’en temps normal, nous frôlions la centaine... Seules les cages vitrées du vivarium étaient occupées comme en temps normal et cela ne demandait pas beaucoup de soins.
Mais une certaine libéralisation des vols a permis à Jo’, mon patron, d’aller visiter notre exportateur au Cameroun où étaient regroupés les animaux capturés en Afrique de l’ouest avant de nous être envoyés pour être vendus dans des animaleries de presque toute l’Europe.C’est ainsi qu’un matin, Jo’ m’a annoncé :
— Caroline, tu vas m’accompagner pour ce voyage...
Il ne me restait plus que trois jours pour me préparer... Mon passeport était à jour et les billets d’avion étaient prêts : nous devions attendre notre vol pour Yaoundé.Ce n’était pas la première fois que je faisais un voyage avec mon patron... En effet, je parle quatre langues étrangères (dont deux dialectes africains) et je servais souvent d’interprète au grand dam de la secrétaire de direction qui était cantonnée dans des tâches qu’elle jugeait subalternes... mais c’était elle qui faisait tourner la boîte quand Jo’ était absent !

Ce dimanche soir, nous nous retrouvons au Terminal d’AIR FRANCE pour notre vol vers la capitale de ce pays d’Afrique que je n’avais pas encore visité : Embarquement rapide, car il y avait peu de voyageurs et dès la collation servie après le départ, je sombrai dans un sommeil bercé par le bruit des réacteurs pour me réveiller bien plus tard quand Jo’ me secoua pour me dire :
— Tu verras... Yaoundé est une ville merveilleuse, pleine de surprises...— T’es pas cool de me réveiller pour dire cela... Et si tu me faisais plaisir ?— De quoi as-tu envie ? On a une heure avant l’atterrissage...— De jouir... Cela prolongera mon rêve...— Je me doutais que tu faisais un rêve érotique... Tes gémissements étaient significatifs...— Mets la couverture sur nos jambes et caresse-moi la chatte... Tu vas avoir une surprise...— Ah la coquine... Je parie que tu n’as pas de culotte !— Gagné... Je l‘ai retirée quand je suis allée aux toilettes... J’espérais bien que tu tomberais dans le panneau !


J’avais le corps en chaleur, ce qui fait que je n’ai pas tardé à jouir, inondant de cyprine les deux doigts qui me fouillaient discrètement...
— Oh Merci... Mais tu n’as rien eu !— On verra ça plus tard... Nos chambres sont contiguës et communicantes... c’est intéressant, tu le verras...— Ne me dis pas que tu y as sauté ta secrétaire, cette pimbêche qui ne sait que tortiller du cul !— Mais il est très accueillant si tu vois ce que je veux dire...— C’est-à-dire ?— Elle ne voulait pas que je la prenne normalement, expliquant que sa chatte était réservée à son mari, mais que son cul était ouvert et disponible !— Waouh... Et tu l’as sodomisée ?— Evidemment... Je n’allais pas rater une telle opportunité ! Et elle en redemande encore... un peu comme toi, ça faisait longtemps que nous n’avions pas eu de tête-à-tête...— OK... je ne suis pas trop adepte de la porte arrière, mais si tu sais y faire, tu pourras y entrer un jour ! Pour le reste, c’est quand tu veux !

Une demi-heure après avoir débarqué de l’avion, nous prenions un taxi qui nous emmenait à l’Hôtel MERINA où nous nous installions au dernier étage, dominant ainsi la ville et au loin l’océan... Nous n’avions pratiquement pas de décalage horaire (une heure tout au plus) et après avoir pris une douche à deux (très coquine vous vous en doutez...), nous nous sommes préparés pour le premier rendez-vous de la matinée avec le responsable local.

Francisco nous attendait dans le lobby de l’hôtel où nous l’avons rejoint... Après les présentations d’usage, nous sommes sortis de la ville dans un magnifique 4x4 japonais climatisé (heureusement, car une faisait une chaleur lourde). Comme en France, les installations étaient proches de l’aéroport ce qui devait faciliter les transferts d’animaux...
Jo’ a sélectionné ceux devant faire l’objet d’un prochain envoi en précisant que certains étaient attendus avec impatience par des amateurs fortunés ! J’avais la liste de ces animaux recherchés, mais j’avais la tête ailleurs...
J’étais obnubilée par Francisco depuis que je lui avais été présentée : grand (pas loin de deux mètres certainement), une carrure à faire pâlir n’importe quel athlète ou adepte de la fonte à soulever, un visage jovial avec un sourire quasi permanent, mais outre tout cela, c’étaient ses mains qui m’attiraient : en proportion de sa taille, elles étaient roses à l’intérieur et ses doigts longs étaient fuselés... Chaque fois que nos regards se croisaient, je ressentais des picotements dans mon sexe en pensant que celui de Francisco devrait me faire du bien s’il me pénétrait ! Mais on n’en était pas encore là et j’avais bien l’intention de le circonvenir...
Après un rapide déjeuner pris en compagnie de Francisco et d’un certain nombre de proches collaborateurs, nous avons repris la voiture et après près de deux heures de route, nous sommes arrivés dans la cour d’une sorte de ferme et vu un certain nombre d’enclos où se trouvaient des animaux qui n’auraient pas eu leur place dans les cages de l’aéroport... En fait ces animaux étaient destinés à des zoos et des cirques pour renouveler leur cheptel... Les échanges internationaux entre les zoos et autres parcs animaliers ne suffisaient pas et il fallait prélever quelques spécimens dans la faune locale.
Je m’intéressais plus à Francisco qu’à ce qu’il disait... Plus le temps passait, plus je me demandais comment je pourrais faire pour m’isoler avec lui et lui avouer que j’avais envie de lui... mais j’étais trop impatiente... En effet, de retour à la capitale, Francisco nous a annoncé qu’il nous invitait chez lui où sa compagne nous avait préparé un dîner typique...
Comme souvent sous les Tropiques, le dîner se prenait à une heure tardive et lorsque nous sommes arrivés à la villa de Francisco, il faisait nuit noire. Seuls quelques flambeaux, allumés pour la circonstance certainement, éclairaient l’allée d’un garage où il y avait un véhicule plus adapté à la ville.
— Ah... ma douce femme est déjà là... Venez, vous allez faire connaissance ! Mia... C’est nous... Viens saluer nos hôtes.

Jo’ et moi, nous avons eu la surprise de voir s’avancer une jeune femme très typée (moyen-orientale probablement) aux formes sculpturales...
— Voici Mia... C’est la fille d’un riche commerçant libanais bien connu sur la place... Comme il me doit un service, sa fille partage ma vie depuis quelque temps et accepte volontiers la promiscuité avec mes deux précédentes épouses. Ce soir, elles ne sont pas là, mais ce sont elles qui ont préparé le dîner !

Mia ne devait pas avoir beaucoup plus de 20 ans (25 ans maximum)... Elle était brune de peau et avait de longs cheveux noirs et ondulés qui cascadaient sur ses épaules. Elle portait une robe de cotonnade ivoire qui faisait un beau contraste avec son teint mat, mais ce que je remarquai immédiatement c’est sa poitrine bien ronde qui tendait le tissu et la pointe des tétons qui était apparente. La ceinture près du corps s’évasait sur des fesses bien rondes. Elle avait une beauté farouche et je ne m’étonnais plus que Francisco l’ait mise dans son lit... (et j’avais une pointe de jalousie).
Le dîner s’est passé relativement rapidement... Conçu à base de plats typiques, nous avons apprécié tous les quatre... Le vin coulait à flots et dès qu’un verre était vide, Mia le remplissait à nouveau... mais cette dernière devenait de plus en plus câline avec mon boss, ce qui ne choquait pas Francisco qui dit soudain :
— Passez dans la chambre à côté... Mia a envie de faire l’amour avec vous... C’est un cadeau que je vous offre... Moi, je vais m’occuper de Caroline... Toute la journée, elle m’a fait des avances... et j’ai envie de la sauter ! C’est ce que tu attends n’est-ce pas ?

J’avais gagné : Francisco allait s’occuper de moi... Il se leva et me prenant la main gauche, il me guida vers une chambre meublée à l’européenne et où se trouvait un lit immense...
— Voilà, nous sommes seuls... Tu vas pouvoir t’occuper de moi !— OK... Il paraît que j’ai certains talents dont tu vas bénéficier !— Montre-moi ce que tu sais faire...

Désormais, j’étais maîtresse des choses... Je dégrafai la ceinture du pantalon que je fis glisser jusqu’aux chevilles. Waouh, ce coquin ne portait pas de slip si bien qu’un sexe de bonne taille claqua sur son pubis... On m’avait vanté la taille parfois impressionnante de certains attributs mâles des noirs et je n’étais pas déçue : la bite de Francisco montait jusqu’à son nombril et ses couilles pendaient entre ses cuisses... J’avais encore faim, mais pas de manger ! J’avais envie de sentir la bite de notre hôte dans ma bouche et de la sucer avec ardeur jusqu’à ce qu’elle soit prête à me défoncer la chatte !
Je pris cette bite à deux mains pour l’abaisser et l’introduire dans ma bouche où je jouai quelque temps avec le gland entre mes lèvres puis, lentement je le fis entrer jusqu’à ce qu’elle touche le fond et que je ne puisse plus aller plus loin... Je limitai la pénétration en maintenant une main sur la hampe pendant que l’autre commençait à palper les bourses... Je les sentais bien pleines et en moi-même je pensais que j’allais bien me faire remplir la chatte... Aussi, je mis fin à cette fellation en disant à mon futur amant :
— Viens... Baise-moi maintenant...— Oh oui... Tu vas voir et sentir !
Et j’ai senti ! Francisco a achevé de me déshabiller (oh ça a été vite fait) et me saisissant sous les aisselles, il m’a fait glisser le long de son corps jusqu’à ce que je sente le bout de sa bite entrer en contact avec mes lèvres intimes qui se sont ouvertes aussitôt à la pénétration... Je savourais l’entrée de ce sexe mâle dans ma chatte... je le sentais remonter dans mon ventre jusqu’à ce qu’il soit entièrement en moi... Je nouai mes bras derrière le cou de Francisco et de moi-même je commençai à monter et descendre sur son pal qui m’envahissait de plus en plus... J’étais bien, mais mon amant voulait certainement plus, car il me déposa en travers sur le lit et il continua à me baiser ainsi... jusqu’à ce qu’il sorte de moi, me retourne sur le ventre et me prenne en levrette...
Je savais (expérience oblige) qu’ainsi, il pourrait entrer encore plus profondément en moi et je sentais que je n’allais pas tarder à jouir tant c’était bon de me faire baiser par ce grand noir qui me semblait infatigable...
Et c’est ce qui arriva... Au moment où je commençais à jouir, je sentis le sexe de Francisco gonfler en moi et m’inonder de son sperme... et comme je m’y attendais, il s’est épanché généreusement au fond de ma chatte... Je ne craignais rien, car menant une vie quelque peu coquine (pour ne pas dire autre chose) un de mes amants chirurgiens avait ligaturé mes trompes de salope (de Fallope).
Mais je n’en avais pas assez... Je ne voulais pas rester sur cette baise aussi je me suis dégagée et j’ai entrepris une nouvelle fellation sur le sexe de Francisco qui retrouva rapidement toute sa superbe : il était de nouveau prêt à me baiser...
— Vas-y... Fais-moi reluire... J’ai encore envie de ta queue !— Mais moi, je ne suis pas encore lassé... Baiser une belle salope comme toi, c’est le pied !— Dis-moi comment tu veux...— Empale-toi sur ma bite et travaille !— OK... Une cavalière... De face ou de dos ?— Les deux, commence de face et après tu te tourneras...

Je m’installai à califourchon sur mon amant et lentement j’introduisis son sexe dans le mien et je commençai à monter et à descendre à mon rythme sur ce pieu qui me fouillait jusqu’au plus profond de mon vagin... Et c’était bon... J’étais maîtresse des choses et j’en profitais un peu égoïstement pendant que Francisco jouait avec mes tétons qui étaient sortis comme si on les avait sucés et tourmentés...Le premier épisode était terminé... Francisco m’a désarçonnée pour que je m’empale à nouveau sur son sexe en lui tournant le dos. Je savais que cela allait bien l’exciter comme cela excitait bon nombre de mes amants qui aimaient voir mes fesses s’écraser sur leur bas-ventre ou encore me faisaient pencher en avant pour voir mon sphincter s’ouvrir pendant qu’ils me prenaient la chatte.Ça ne manqua pas, car après quelques allers-retours, je sentis une main de Francisco quitter ma taille pour venir écarter ma raie et introduire un puis deux doigts dans mon fondement. Je ne dis que deux mots :
— Oh ouuiiii !

J’étais prise devant et derrière... et c’était si bon que je n’ai pas tardé à jouir d’une manière démentielle, ruant sur cette bite qui me fouillait, raide comme un pieu ou un gode bien imité ! Mais ce grand coquin de Francisco se retenait de jouir... Qu’avait-il en tête ? Je ne tardai pas à le savoir quand il se retira de moi en disant :
— Mets-toi en levrette... Je vais faire la fête à ton cul... Le cul d’une blanche, c’est le pied !— OK. Mais va doucement, car je n’ai jamais pris une bite aussi longue que la tienne... Quant au diamètre, ça devrait aller !

Je pris la position demandée, le cul levé bien haut, en appui sur mes coudes et la tête tournée sur le côté... Mes seins frottaient sur le drap et cela m’excitait encore plus, car je sentais les pointes dardées contre le tissu... J’étais prête ! Francisco enduisit ma rondelle d’un onguent gras qu’il fit pénétrer avec ses doigts... Puis je sentis la pointe de sa bite agacer ma porte arrière et pénétrer lentement dans mon sphincter.Celui-ci s’ouvrait lentement à la pénétration et je me sentais bien... J’encourageai Francisco et bientôt son bas-ventre était en contact avec mes fesses.
— Vas-y maintenant que mon cul est habitué, tu peux te lâcher !— T’inquiète... T’es pas la première et toutes celles qui y sont passées ne se sont pas plaintes...— Ne parle pas ! Agis !

Et là, Francisco a commencé à me sodomiser en prenant son temps... Je sentais sa bite me défoncer, sortant parfois de mon sphincter pour y entrer à nouveau et coulisser dans mon antre interdit jusqu’à ce que son pubis soit en contact avec mes fesses. Il marquait un temps d’arrêt et se retirait quelque peu pour mieux me sodomiser à fond... Je me laissais faire, me contentant d’apprécier cette sodomie savante et peu à peu, je sentais que ma jouissance était proche... J’encourageais toujours Francisco en lui disant qu’il me faisait du bien, que je le sentais bien au fond de mon sphincter (il devait certainement aller plus loin... quand soudain j’ai senti sa bite gonfler et son foutre se déverser abondamment dans mes boyaux...
J’étais repue de sensations sexuelles et mon amant aussi, car nous nous sommes endormis brièvement jusqu’à ce qu’il me secoue en disant :
— Allons voir où en sont ton patron et Mia.

Nous les avons cherchés en vain dans la villa jusqu’à ce que nous trouvions un papier griffonné à la hâte :
— Sommes partis à l’hôtel... Rejoignez-nous si vous avez envie !

Et nous sommes repartis nous coucher et baiser encore une fois... Une partie à quatre ne m’intéressait pas...
Diffuse en direct !
Regarder son live