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Mon amie Chloé

Chapitre 1

Erotique
Son corps de dos était visible par l’entrebâillement de la porte. Mon regard se porta sur ses fesses divinement dessinées et je sentis mon sexe gonfler d’excitation. Immobile, je ne voulais pas gâcher cet instant de bonheur que j’attendais depuis si longtemps. À mon plus grand désespoir, Chloé coupa l’eau et tira une serviette à elle. Je reculai discrètement pour ne pas être surpris.Elle sortit de la salle de bain une minute plus tard, la peau encore humide. Sa serviette était enroulée autour de sa poitrine, mais sa longueur laissait visibles ses jambes athlétiques et recouvrait à peine le bas de son derrière.
— Ça va ? demanda-t-elle, t’as pas l’air bien aujourd’hui.— Mais si, bafouillai-je, ça va très bien même. C’est sûrement le travail qui me reste dans la tête.
Je me sentis rougir et vis à son regard qu’elle n’était pas dupe. Je crus un instant voir ses yeux glisser vers mon pantalon encore déformé. Ce n’était peut-être que le fruit de mon imagination, mais son visage étonné me rendit honteux. Comment avais-je pu l’espionner ainsi et trahir sa confiance ?
Sans laisser transparaître sa gêne, Chloé lança : « Viens, on va dans ma chambre. »Comme à notre habitude, j’allais me poser sur son lit et m’apprêtais à l’écouter parler. Seulement aujourd’hui, elle était presque nue. L’excitation ne me quittait pas. Une fois dans sa chambre elle me dit : « Ferme les yeux pendant que je me change. Je te fais confiance. » Bien évidemment, j’obéis.
Après quelques secondes d’un étrange silence, interrogatives mes paupières se soulevèrent à demi. Que fut ma surprise quand je surpris mon amie, son visage penché vers mon entrejambe, sa main à deux doigts de caresser la bosse toujours présente. À sa merci, je décidai de ne pas bouger d’un centimètre. C’était sans compter mon sexe, prompt à échapper à ma volonté. Un coup de sang supprima l’espace restant entre la main et mon sexe tendus. Encore plus surprise que moi, Chloé se redressa vivement.
Pour la première fois, je voyais nettement son buste découvert. La serviette était tombée depuis longtemps, et ma mâchoire allait bientôt suivre. Ses seins de bonne taille possédaient une forme magique. Ses tétons, durcis par le courant d’air qui traversait la pièce, me donnèrent des envies carnivores.
Malgré mes yeux toujours apparemment clos, ni elle ni moi ne doutions du jeu qui se jouait là. Après quelques secondes de retenue, son beau visage se décrispa et un sourire y apparut. Mesquine, elle se recula d’un pas, me tourna le dos et se pencha franchement en avant pour fouiller dans un tiroir.
Son sexe était maintenant visible au creux de ses fesses, à deux ou trois mètres de moi. Les yeux totalement ouverts, je devinai son épilation intégrale. Ma queue était presque douloureuse de vouloir se libérer de mes braies. Chloé sortit alors ce que je pensais être une culotte. Quel fut mon bonheur quand je vus remonter les ficelles d’un string le long de ses jambes. Elle se releva pour enfiler un débardeur. Suivirent un jean assez large et un sweat-shirt tout ce qu’il y a de plus banal.
Je refermai les yeux pour l’entendre dire que je pouvais finalement les ouvrir. Le changement était incroyable : qui aurait pu croire que se cachait derrière ces trop épaisses couches de tissu le corps d’une bombe sexuelle.
Malgré la ténacité de mon érection, Chloé ne fit aucune remarque et le reste de l’après-midi se déroula comme à l’ordinaire. Penser comme avant ne m’était cependant plus possible. La vision du corps de mon amie me hantait, et le sourire que j’avais aperçu me laissait espérer d’autres jeux de ce genre.

Le samedi suivant, Chloé m’invita à la soirée d’une de ses amies d’enfance, que je n’avais encore jamais rencontrée. Nous allions passer la nuit dans la maison des parents de Juliette, chez qui Chloé s’était rendue plusieurs fois étant plus jeune. Le pavillon n’était pas loin de Toulouse, et nous nous y rendîmes en voiture. Chloé possédait une Jeep depuis quelques années dans laquelle nous nous étions toujours promis de dormir un jour.

Ce soir-là, j’observai ma conductrice avec qui nous n’avions toujours pas reparlé de ce qui s’était passé plus tôt dans la semaine. Ses tenues de soirée ne différaient pas de ce qu’elle portait en semaine. Seulement je ne pouvais m’empêcher de retrouver dans les plis de ses habits les formes que j’avais pu admirer.
C’est avec ces pensées inavouables que je me tenais auprès de Chloé à la porte de la maison. Quand Juliette vint nous ouvrir, tous mes souvenirs licencieux s’éclipsèrent en un instant. Notre hôte portait une robe bustier qui moulait ses hanches et s’interrompait à mi-cuisses. Perchée sur des talons, Juliette inclina légèrement sa tête sur le côté d’un air scrutateur. Son regard capta mon air stupéfait et parcourut alors à son tour mon corps de haut en bas.
Nous nous observions pour la première fois, mais Chloé m’avait beaucoup parlé d’elle. Toujours en recherche de nouvelles expériences et très ouverte d’esprit ; ce que je savais d’elle concordait parfaitement avec la première vision que j’avais d’elle.
Après avoir échangé quelques formules de politesse de circonstance, Juliette nous laissa entrer chez elle. Je m’avançai alors dans le hall d’entrée de ce qui s’annonçait être une luxueuse villa. Ma veste était à peine sur le portemanteau que l’on me tendait un verre plein. Chloé me lança un regard complice et alla saluer d’anciennes connaissances.
Je me retrouvai donc seul, dans cette grande maison qui se prêtait à l’exploration. Les heures passèrent alors que je déambulai, m’arrêtant parfois pour porter un toast à l’organisatrice de la soirée. Chloé avait l’air de s’amuser, et j’appréciai ma position d’observateur inconnu.
Au beau milieu de la soirée, Juliette croisa mon chemin dans le couloir de la salle de bain. Elle engagea la conversation avec un grand sourire :
— Tu as fait le tour de la maison ?— Je crois avoir enfin tout vu ! m’exclamai-je. Chloé m’a dit que vous vous cachiez étant petites.— Alors tu crois pouvoir me retrouver si je me cache ?
Sa question, somme toute innocente, m’intriguait au plus haut point. J’acquiesçai et un éclair de malice apparut dans les yeux de mon interlocutrice.
— Ce que je te propose maintenant, prétentieux, c’est d’essayer de le prouver. Je vais me cacher et te laisse 10 minutes maximum pour me repérer. Si tu réussis, tu trouveras une surprise, sinon tu me devras un gage.
Joueur comme je l’étais, cette proposition m’excitait. Après avoir obtenu mon accord, Juliette s’éloigna d’une démarche provocante. Sa robe était remontée en haut de ses cuisses, et je dévorai ses cuisses du regard.Une minute après notre conversation, je fonçai à la recherche de Chloé. La maison était bien trop grande pour que je m’aventure dans une recherche hasardeuse. D’abord ennuyée par mon excitation apparente, Chloé se prit rapidement au jeu et m’emmena au-dessus du garage, où je ne serais effectivement jamais allé chercher. Une chambre y était aménagée pour les invités, et Juliette y avait pris l’habitude d’y trouver refuge.
J’ouvris finalement délicatement la porte de la chambre en question. La pièce était plongée dans la pénombre et nous avançâmes prudemment à l’intérieur. La voix de Juliette m’intima de fermer la porte et je devinai alors qu’elle n’avait pas conscience de la présence de son amie. Alors que la porte se fermait derrière moi, la pièce s’éclaira tout d’un coup. Ébloui, je sentis Chloé sursauter à mon côté. M’habituant à la lumière je vis alors Juliette, allongée sur le lit double qui occupait une bonne partie de la pièce.
— Surprise ! Je ne pensais pas que tu y arriverais, mais je m’étais préparé au cas où... Maintenant c’est à toi de me surprendre.
Un morceau de tissu était enroulé autour de ses yeux, et alors que j’étais encore sous le coup de l’étonnement, Chloé poussa discrètement dans mon dos. Je posais alors ma main sur le bas de la jambe de Juliette, que je sentis frissonner.
Chloé ne pouvait plus partir. La révélation de sa présence aurait ruiné la situation. Nous comprîmes en même temps ce à quoi elle allait assister. Elle s’assit alors dans le fauteuil faisant face au lit, sourit et clôt ostensiblement les yeux.
Je remontai ma main le long de la jambe de Juliette jusqu’au bas de sa robe. Me penchant en avant, je déposai mes lèvres sur son coup. Tout son corps se cambra et je glissai ma langue vers le haut de ses seins. Ma main droite descendit la fermeture éclair du bustier pendant que mon autre main libérait sa poitrine. Ses larges seins pointaient déjà, et je les léchai alors délicatement.
Juliette gémit et ses mains passèrent sous mon t-shirt. J’enlevai alors ce dernier et vis du coin de l’œil Chloé s’agiter. Elle avait retiré son pull et ne portait maintenant plus qu’un débardeur. J’enlevai totalement sa robe à Juliette qui se retrouva en culotte, dans laquelle je passai une de mes mains. La bouche de nouveau à ses tétons, je caressai pour la première fois son sexe que je sentis humide. Le toucher de son clitoris la fit gémir de plus belle. Juliette frottait sa main de plus en plus fort contre mon sexe bandé encore dans le pantalon.
J’introduis un doigt en elle et elle mit alors toutes ses forces à m’enlever le reste de mes vêtements. Maintenant complètement nus, Chloé et moi étions quittes. Sa respiration s’était accélérée et je crus voir ses seins se durcir à travers le fin tissu de son haut. Savoir qu’elle observait sa meilleure amie en train de me masturber m’excitait énormément.
La culotte de Juliette était allée retrouver le reste de nos habits sur le sol. Je glissai un de mes doigts trempés dans sa bouche, qu’elle commença à sucer au rythme de ses mains sur mon sexe. Je me relevai alors et décidai de glisser mon sexe dans sa bouche. Je poussai ma queue à travers ses lèvres et sentis sa bouche chaude se refermer.
À cet instant, Chloé pouvait voir Juliette, les jambes écartées, deux de ses doigts en elle, mes mains sur ses seins et mon sexe dans sa bouche. Je m’aperçus alors que Chloé, les yeux complètement ouverts, avait glissé une main entre ses jambes.
De plus en plus excité par cette amie qui m’observait, je pris l’initiative et me retirai de la bouche de Juliette. Elle gémit et, d’abord en chuchotant, implora que je m’introduise en elle. La tentation d’aller voir Chloé de plus près était forte, mais je savais que ce n’était pas compris dans notre accord implicite. Je tirai alors Juliette vers le bord du lit, et mis ses jambes sur mes épaules afin que nos sexes se touchent.
Chloé me vit alors pénétrer Juliette, lentement, de toute la longueur de ma hampe. Mon sexe au plus profond d’elle Juliette lâcha un râle qui me poussa à accélérer les choses. Je commençais des va-et-vient de toute la longueur de mon sexe et me retrouvai rapidement à la pilonner de toutes la force de mes hanches. Chloé avait les yeux rivés sur mon corps tendu, mes abdos en sueur et mon sexe gonflé. Je pouvais clairement deviner ses doigts s’enfoncer en elle au rythme où je pénétrais Juliette.
Pour finir, je retournai Juliette, l’allongeais sur le ventre et glissai mon sexe par-derrière. Je sentais mon bassin cogner contre ses fesses. Mon regard croisa alors celui de ma meilleure amie, et je jouis en la regardant droit dans les yeux. Chloé jouit en même temps en lâchant un soupir qui me fut plus bruyant que tous les cris de celle que je baisais.
Mon amie reprit alors rapidement le contrôle sur elle-même et se dirigea discrètement vers la porte pendant que Juliette était encore tout étourdie. Avant de refermer la porte, elle se retourna et me sourit. J’attendais la suite avec impatience.
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