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Mon Amie - Nos Amis

Chapitre 1

Mon Amie

Lesbienne
Mon Amie

Il y a des rencontres qui commencent de la façon la plus inattendue, de cette rencontre est née une vraie amitié. Cette amitié sincère est née ici sur le forum avec une personne qui compte énormément pour moi. Je parle de mon amie Nathalie, plus connue sous le pseudo de DODOMIDO.
Tout a commencé par la lecture d’un de ses récits, ce que j’aime chez elle, son style d’écriture, sa façon de raconter son histoire, toujours dans la subtilité, l’érotisme, sans vulgarité ni obscénité. Ses récits sont rédigés avec élégance, soins, détails et avec le sens du partage.
Après la lecture de son premier récit, je me décide de lui laisser un commentaire sur mon ressenti. En retour, je reçois de sa part un très gentil message de remerciement et de fil en aiguille, nous échangeons sur le forum via les messages privés.
Au fur et à mesure de nos échanges, je constate que Nathalie est une personne très sympathique que j’apprécie de plus en plus. Nous en arrivons à discuter comme deux copines, nous papotons, nous échangeons, nous nous dévoilons sur nos métiers, nos passions, nos familles, nos expériences, nos vies.
Nos échanges et discussions deviennent quasiment quotidiens, avec toujours un réel plaisir de nous lire. Au fil des jours et des semaines, Nathalie devient une amie proche, une confidente.
Une vraie complicité s’installe entre Nathalie et moi, je dirais même une grande amitié s’empare de nous. Nous en arrivons au point de vouloir nous connaître, de mettre un visage sur un pseudo, sur un prénom.
Je fais part à Nathalie de mon envie sur le fait de la découvrir, ce désir est également partagé. Nous échangeons nos adresses mails, avec la promesse de s’envoyer rapidement une petite photo.La soirée se passe tranquillement quand vers 22h, j’entends mon portable vibrer qui m’indique que je viens de recevoir un mail. Je me précipite pour découvrir l’expéditeur du mail, je l’ouvre et apparaît sur mon écran la photo de Nathalie.
— Waouh !!! C’est vraiment une très belle femme*, m’exclamais-je à haute voix.
Je découvre une jolie brune, aux cheveux mi-longs, aux yeux noisette, arborant un joli sourire, un magnifique visage. Ce dernier est angélique avec des traits fins, une bouche et des lèvres somptueuses.
A mon tour, je sélectionne une photo de moi et lui envoie en retour de son mail, accompagné d’un joli petit mot sur sa splendide beauté.
Nos conversations se font désormais principalement par mail que sur le forum des messages privés, surtout pour le côté pratique de la chose, mais également pour le côté plus intimiste.
Ce que je ressens à ce moment-là est très positif. J’apprécie énormément la personne, mais également la personnalité. Nous parlons comme des amies, sans tabous, sans jugement, sans préjugé, avec sincérité et surtout à cœur ouvert. Nous nous attachons très fortement l’une à l’autre, ce qui nous unit est très fort, intense.
Notre amitié évolue rapidement, nous nous appelons par des petits mots doux et nous en arrivons à échanger nos numéros de téléphone, nous allons enfin nous parler, mettre une voix sur ce magnifique visage.
Le lendemain, je me décide de la contacter par téléphone.
— Allo Nathalie, c’est Jennifer, je te dérange pas ?— Coucou Jennifer, non absolument pas. Ça me fait terriblement plaisir que tu m’appelles. — Pour être franche avec toi, je n’ai pas résisté à l’envie de t’entendre, lui dis-je.— J’allais le faire aujourd’hui également, j’étais trop impatiente, me répondit-elle.
Notre conversation fut riche en émotions, nous avons discuté comme deux vraies amies pendant pratiquement une heure sans vraiment s’en rendre compte.
Pour ma part, tout ce que je ressentais pour Nathalie se confirme avec pertinence et enthousiasme. C’est vraiment une pépite de gentillesse, de douceur. Sa voix est à la hauteur de sa beauté, charmante, douce, agréable, sensible.
L’évolution de notre rencontre se poursuit, avec des appels réguliers, des mails. Nous en arrivons l’une comme l’autre à vouloir nous rencontrer. Nous en discutons souvent, nous ne pourrions pas l’expliquer, mais nous en ressentons le besoin, l’envie. Nous décidons de franchir ce dernier cap.
Après en avoir discuté avec Chris, je contacte Nathalie pour lui proposer de venir passer un week-end chez nous.
— Coucou ma chérie, c’est Jenn. Je voulais savoir quand Christophe et toi seriez disponibles pour venir passer un week-end chez nous ? — Attends, je regarde mon planning. Je suis libre le dernier week-end de mars. Et Christophe ne travaille pas.— Super, si vous êtes d’accord, c’est OK pour nous, lui dis-je.— Je regarde pour les billets d’avion et je te confirme tout cela, me dit-elle.
La réponse ne fut pas longue car dans l’après-midi, j’ai reçu un texto de Nathalie me confirmant leur visite pour le dernier week-end du mois de mars.
En espérant que cela passe vite, car il reste dix jours à patienter.
Nous voilà au vendredi 29 mars, Nathalie et Christophe arrivent ce soir à 18h30 par avion. Pour l’occasion, Chris et moi avons posé la demi-journée afin de préparer et recevoir dignement nos invités. Je suis excitée et légèrement stressée, heureusement que mon chéri me canalise et me rassure.
Il est 18h00, nous partons pour l’aéroport afin de récupérer nos invités. Plus que quelques petites minutes et nous serons réunis, j’ai hâte.
Pour l’occasion, je me suis vêtue d’une robe arrivant à mi-cuisses, assortie à mes bas et mes talons, légèrement maquillée. Quant à Chris, il est vêtu d’un jeans et d’une chemise.
Nous arrivons à l’aéroport, l’avion est posé et les passagers débarquent, je guette, je surveille, je piste. Je suis à l’affût de son apparition.
Enfin, j’aperçois Nathalie au loin, ils arrivent, je m’avance, je me précipite vers eux. Nous y sommes.
Nathalie est encore plus jolie que sur la photo. Elle est rayonnante, belle, glamour dans sa jupe courte, son top blanc moulant souligne sa généreuse poitrine, son maquillage discret met sa bouche et ses lèvres pulpeuses en valeur.
Nous tombons dans les bras l’une de l’autre tout en nous faisant la bise. Nous sommes enfin réunis.
— Coucou ma Jenn ! Je suis contente de te voir.— Coucou ma Nath ! Je suis ravie que vous soyez là.— Jenn, je te présente Christophe, mon mari.— Enchantée Christophe, répondis-je tout en lui faisant la bise.
Christophe, son mari, est une force de la nature, son 1.90 m et ses 100 kilos en font une montagne de muscles. Brun, aux yeux bleus, il est imposant.
A mon tour, je leur présente mon Christophe (Chris). Une poignée de main vigoureuse et une bise plus tard, nous voilà tous les quatre à prendre la direction du parking.
Pour le trajet du retour, je m’installe avec Nathalie à l’arrière de la voiture afin que nous puissions papoter comme deux copines qui ne se seraient pas vues depuis des mois.
Il est 19h quand nous arrivons à la maison, après la visite des lieux, j’indique à nos hôtes leur chambre et leur propose de préparer un petit apéro avant de rejoindre le restaurant.
Je dresse l’apéritif sur la table basse du salon, pendant que nos invités prennent place dans le canapé, les hommes se délectent d’un whisky glace et pour nous d’un vin rosé fruité, accompagné d’amuse-bouche fait maison.
Nous faisons plus ample connaissance, le feeling passe hyperbien entre nos deux Christophe, évoquant nos passions pour la moto, la voile, la musique, les sorties entre amis, nous nous découvrons plusieurs points communs, la discussion est très sympathique.
L’heure avançant, nous nous dirigeâmes tranquillement à pied vers le restaurant situé dans notre quartier.
Nous sommes installés à notre table, Nathalie à côté de moi, Chris en face d’elle, et son mari en face de moi, nous repartons dans notre discussion. Le repas est très bon, l’ambiance est divine, une soirée au top. Je suis vraiment contente de les recevoir. Christophe et Nathalie sont vraiment un couple super. Je pense que le week-end sera une véritable réussite dans beaucoup de domaines.
Après le repas, nous décidons de prendre un verre dans un bar très sympa à l’ambiance lounge, bien installés dans des fauteuils, nous partageons un moment de convivialité autour d’un divin cocktail.
La fin de soirée avançant, c’est tout en légèreté et avec le plaisir d’une soirée parfaite que nous avons regagné la maison. Chacun regagnant sa chambre, pour une bonne nuit récupératrice.
Vers 02h du matin, chose assez rare pour moi, je me suis réveillée avec une soif terrible, vêtue d’une nuisette, je me dirigeais vers la cuisine afin de me désaltérer, je fus surprise de voir la lumière allumée et de voir Nathalie aussi dans la cuisine.
— Je me suis permise, j’avais une soif ! me dit-elle.— Tu as bien fait, moi aussi je suis morte de soif. — Ça fait du bien n’est-ce pas, ma belle ? osé-je dire.— Oh que oui.
Nous sommes là toutes les deux à quelques centimètres l’une de l’autre, tout comme moi, Nathalie est vêtue d’une simple nuisette de couleur vive, elle est divinement attirante. Je la regarde avec envie et désir. Sa poitrine est magnifique, son corps, ses fesses, ses lèvres, sa bouche, tout chez elle est une invitation.
Nos regards sont plus appuyés et sournois, nos yeux trahissent nos pensées. Ne pouvant tenir davantage, nous nous approchons mutuellement l’une de l’autre. Devinant aisément où cela va nous amener, Nathalie passe ses bras autour de mon cou, mes mains viennent se poser sur ses hanches avant de passer mes bras autour de sa taille. Nous nous embrassons, nos lèvres s’unissent dans un doux et agréable baiser, je sens sa langue se frayer un chemin. Nos langues se mêlent dans un baiser profond, nos yeux se ferment pour mieux apprécier ce moment d’échange. Nos corps se touchent, nos poitrines uniquement séparées par la soie de nos nuisettes se touchent, nous sommes victimes de frissons.
— J’en mourrais d’envie depuis mon arrivée, déclara Nathalie.— J’attendais ce moment avec impatience, lui dis-je en retour.
Nous reprîmes nos ébats, alternant en bisous et baisers, mes mains partirent à la découverte de ses seins, de ses fesses. Sans être en reste, Nathalie fit parcourir ses mains sur mon corps, irradiant ce dernier au point de me sentir humide.
— Viens ma belle, lui dis-je.
Je pris Nathalie par la main et nous prîmes la direction du salon pour nous installer dans le canapé. A peine dans le salon, nous nous sommes délestées de nos nuisettes pour apparaître nues l’une en face de l’autre.
— Tu es magnifique, ton corps est splendide ma chérie, me lança Nath.— Merci ma bichette. Toi aussi tu es vraiment superbe.
Afin de lui montrer l’état dans lequel je me trouve, je pris la main de Nathalie et la plaqua contre mon sexe.
— Tu es toute humide, me dit-elle.— Oui, je suis excitée, tu m’excites, j’ai envie de toi, dis-je.
Tout en me caressant la vulve et mon clitoris, elle prit ma main pour la diriger vers son intimité luisante d’envie.
— Tiens, regarde-moi aussi, je suis mouillée.
Toujours debout toutes les deux, je fouillais d’une main le sexe de Nathalie pendant que ma bouche s’emparait d’un de ses seins. Ses larges aréoles brunes me donnaient envie de les lécher, de les mordre. Je lui tétais les seins à grand coup de langue, ses tétons pointaient. Je suçais ses pointes, lui mordillant juste ce qu’il faut pour la faire vibrer.
— Hummmmm !!!! C’est bon, ma belle, j’aime quand tu me mords mes pointes.— Vas-y !!! Arrête pas, c’est trop hummm ..... Bon.
Sous ses injonctions, mes caresses buccales furent plus appuyées, plus soutenues, je sentais Nathalie vaciller sous ma langue.
En guise de représailles, Nath prit possession de mon vagin avec deux de ses doigts, je la sentais me fouiller, elle me limait avec ses doigts, elle imprimait un va-et-vient soutenu dans mon intimité. Ma cyprine lui coulait sur les doigts.
— Oh ..... Oui, fouille-moi bien, j’aime ... Encore plus vite, plus fort, bredouillais-je.
Sous les effets de sa fouille vaginale, je me liquéfiais encore davantage. Je me pinçais les lèvres pour ne pas crier le plaisir qui naissait dans mon bas-ventre.
La tête en arrière, la bouche grande ouverte, je savourais ses doigts, j’en devenais folle, mon souffle était court, je haletais. Mon corps, mon ventre, mes reins, mes seins furent pris de spasmes violents, rien, aucun son ne sortait de ma bouche tant le plaisir me venait. Mes tétons pointaient à me faire mal, mon sexe coulait, j’inondais les doigts, la main de ma tendre amie.
— Oh !!!! Oui !!!!!! C’est bon... N’arrête pas hummmm ... Ahhh !!!!!
Dans un dernier sursaut de lucidité et afin de ne pas réveiller toute la maison, je me suis dégagée des doigts experts de Nath non sans un certain regret.
J’allongeai Nathalie sur le canapé, et entrepris un massage de ses lèvres vaginales avec douceur et délicatesse. Un pied en appui sur le sol, l’autre jambe en appui sur le dossier du canapé, elle m’offrait dans la plus grande simplicité son intimité. Son sexe parfaitement et intégralement épilé est une invitation.
J’approchais ma bouche de son sexe, titillant de la pointe de ma langue ses lèvres, son clitoris que j’aspirais pour le faire darder. Nathalie se malaxait les seins, elle se titillait les pointes avec sa langue, les faisant durcir à souhait.
Je léchais à présent l’intimité de Nathalie avec gourmandise, ma langue passant de son clitoris à ses lèvres par alternance. Elle se mit à onduler du bassin pour accentuer la caresse de ma bouche sur son sexe. Un frisson parcourut son corps de la tête aux pieds. Mes doigts se faufilaient dans son intimité, la pénétrant aussi loin et profondément que possible, lui titillant, lui massant la paroi interne de son vagin à la recherche de ce petit corps spongieux.
— Hummm....... Oui...... c’est trop bon, ahhhh ta façon de me sonder, dit-elle.
La tête en arrière, elle se cambra naturellement pour aller au-devant et approfondir la pénétration de mes doigts dans son vagin. Nathalie abandonna ses seins pour agripper ma tête et l’enfouir encore plus sur son sexe. Elle se saisit également d’un coussin qu’elle plaqua sur sa bouche pour étouffer ses gémissements naissants.
— Vas-y ma chérie, plus fort..... ahhhhh oui, comme ça. Hummmmm.— Ne - T’arrête pas OUIIIIIII. C’est trop bon ta langue, tes doigts. ENCORE !!!!!!— J’ai envie de ......... OUIIIIIIIIIII.
Je la fouillais sauvagement, son bassin légèrement surélevé me permit d’accéder à ses fesses, je me mis à lui malaxer, les pétrir, passant une main sur son fondement.
Les soubresauts de son corps, son souffle, sa respiration bruyante étaient les témoins du plaisir que Nathalie prenait.
Nous fûmes interrompues par un bruit venant d’une des chambres, quelqu’un avait-il entendu ? Nous avons décidé d’attendre avant de regagner nos chambres.,tout en se rhabillant.
— Waouhh ma Jenn, quel pied j’ai pris ! Tu es douée, ma belle. — Merci ma Nath, mais tu es pas mal non plus, tu sais.— Nous sommes vraiment deux coquines, me dit-elle.— Oui, je confirme, lui-dis-je.
Nous avons regagné nos chambres en nous embrassant une dernière fois. C’est la tête pleine de désir, un sexe trempé et une très grande émotion que nous nous sommes couchées auprès de nos conjoints respectifs.
A suivre.
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