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Mon amie Pascaline

Chapitre 1

Hétéro
Je me rappelle, c’était il y a bien une quinzaine d’années en arrière, alors que j’étais paisiblement assis dans mon canapé en train de regarder une série télévisée. Quelqu’un vint sonner à ma porte. C’était mon amie Pascaline, une jeune femme que j’avais rencontrée lors d’une soirée chez des amis en commun. C’était une belle femme, la trentaine passée, grande, cheveux châtain foncé, un beau visage, de grands yeux marron pareils à une vitrine, une poitrine pas trop grande et bien proportionnée, une taille de guêpe et de longues jambes bien effilées. Une vraie poupée, comme on en rêve souvent. Pascaline était une fille des îles avec un teint hâlé qui était venue me raconter ses déboires avec les hommes qu’elle avait rencontrés jusqu’à maintenant. Elle était en pleurs et en avait marre des hommes car, disait-elle, "ils ne voulaient que me baiser et, lorsque je leur parle d’une relation sérieuse et de fonder une famille, ils me laissent tomber comme une vieille chaussette ". Et elle pleura de plus belle.Je pris Pascaline dans mes bras, essayant de la consoler comme je pouvais. Je lui fis comprendre qu’heureusement, les hommes n’étaient pas tous pareils et qu’il en restait quand même encore des bons mais qu’ils étaient difficiles à trouver. Je lui proposai de prendre place et qu’on boive tranquillement un verre. Au bout de quelques verres, elle vint se blottir contre moi tout en continuant à me raconter ses déboires. Et puis, d’un coup, Pascaline mit ses deux bras autour de mon cou et vint me rouler une galoche terrible. D’abord surpris par son comportement, je laissai faire puis, le moment passé, je trouvai cela agréable et je lui rendis la pareille. Nous nous embrassâmes longuement et amoureusement. Je dois avouer que, depuis notre rencontre chez les amis, j’avais toujours fantasmé sur cette jeune personne au corps si parfait. On aurait dit un top-modèle, peut-être un peu plus forte, mais tout de même bien faite, mais je n’avais jamais osé franchir le pas et, maintenant que l’occasion se présentait, je n’allais pas cracher dessus.Je la pris alors par la main et je pris la direction de ma chambre à coucher. Là, je l’effeuillai de ses vêtements et, à chaque vêtement enlevé, je lui faisais des bisous, là où sa chair était nue, en commençant par lui retirer son pull puis son soutien-gorge pour descendre plus bas vers son bassin. Pascaline était là, à me regarder faire, en me caressant la tête et en approuvant ce que je lui faisais. Du moins, j’avais cette impression et je continuais à lui retirer son tailleur. Quelle ne fut pas ma surprise en ayant retiré celui-ci : je vis qu’elle avait un porte-jarretelle qui lui maintenait des bas de couleur grise avec quelques motifs assez séduisants. De temps en temps, je remontais pour venir l’embrasser et lui irriter ses petits bourgeons d’une couleur rouge foncé, voire même plutôt brunâtre, et lui presser et caresser ses somptueux seins fièrement dressés vers le ciel. Puis, redescendant à nouveau vers le bas pour lui retirer porte-jarretelle et mini slip, maintenant, Pascaline était presque nue devant moi.
Il ne lui restait plus que ses bas que je décidai de lui laisser. À mon tour, je me dévêtis, et je vous prie de croire que, pour moi, c’était plus rapide. Nous nous embrassâmes encore, et nous nous couchâmes sur le lit. Là, je me mis à lui faire des suçons sur ses seins, prenant de temps à autre ses tétons pour les sucer et légèrement les mordre entre mes dents. Je lui léchai sa peau si douce. On aurait dit une peau de bébé. Je descendis doucement vers son mont de Vénus pour venir titiller son clitoris déjà dressé et tout rouge, impatient d’être trituré et sucé. Pascaline gémissait de plus belle, à force que je descendais vers sa vulve et son clito. Au bout d’un moment, elle m’arrêta et me demanda de changer de position. Elle voulut qu’on se mette en position du 69 de façon à ce que nous puissions en profiter tous les deux. Après quelques longues minutes dans cette position, nous avions tous les deux une envie d’aller plus loin et elle voulut me sentir en elle. Je ne me fis pas prier deux fois. Je me positionnai entre ses cuisses, présentant ma verge à l’entrée de sa grotte d’amour et je m’enfonçai en elle tout doucement de façon à prolonger son plaisir puis je commençai mes allées et venues en elle. La belle ne cessait de miauler et de gémir, tellement elle aimait le sexe. Cela, je ne l’appris que bien plus tard. Elle me disait de continuer à la baiser bien fort et bien profond. Quelques fois, elle me demandait de pousser plus fort, afin de venir titiller son utérus du bout de ma bite. Pascaline mouillait et lubrifiait bien mon sexe, ce qui était pour mon plus grand bonheur, car j’aime qu’une femme mouille, c’est signe qu’elle jouit, qu’elle est heureuse et qu’elle a des orgasmes. J’aime aussi sentir le goût et l’odeur de la cyprine. Nous fîmes ainsi, durant de longues minutes, l’amour. Cette jeune femme, c’était le ciel qui me l’avait envoyée. Cela faisait quelque temps que je n’avais pas eu l’occasion de baiser. Une fois l’acte sexuel terminé, je lui proposai de prendre une douche.
Nous allâmes donc prendre une douche. Durant celle-ci, je savonnai bien ma partenaire sexuelle et, à force de la frotter, ma verge reprit de la vigueur et, comme elle et moi n’étions pas totalement comblés, nous remîmes le couvert et je l’embrochai sur ma bite sous la douche. Je me mis derrière elle, de façon à ce qu’avec mes mains, je pusse venir lui pétrir ses seins si fermes et si bien faits. Après la douche, nous préparâmes un repas avec ce qui me restait dans le frigo. Je lui demandai alors de rester toute nue durant la préparation du repas et lors de celui-ci pour que je pusse, premièrement, me rincer l’œil, comme on dit, mais aussi pour que je pusse enfin admirer cette créature divine que le ciel m’avait envoyée. Je proposai à Pascaline de rester pour la nuit, et peut-être plus, si elle était satisfaite de ma personne, et aussi pour que nous pussions apprendre à mieux nous connaître, et à envisager plus, si compatibilité, ou affinités.
Cette nuit-là fut relativement chaude pour tous les deux. Nous nous fîmes plaisir et pratiquâmes le sexe sans retenue et sans tabou. Cela fait maintenant une quinzaine d’années que nous sommes ensemble et je dois dire que je suis toujours aussi amoureux de ma belle d’un jour.
Au fait, Pascaline est toujours avec moi et nous avons trois beaux enfants.
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