Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Histoire vraie
  • Publiée le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 179 J'aime
  • 10 Commentaires

Ma sœur, mon amour

Chapitre 5

Le retour à la maison

Inceste
Le train parti de la gare de Tarragone, l’enthousiasme redescendit. Nous savions que dans quelques heures, nous retournerions à la réalité. Nous allions devoir nous cacher pour vivre notre amour naissant. Assise sur mes genoux, ma sœur fut la première à ouvrir la bouche. — Ça va devenir quoi maintenant nous deux ? me demanda-t-elle.— Comment ça ?— Une fois que nous serons rentrés, comment ça va se passer entre nous ?— Je ne sais pas trop. Tu m’aimes ?— Bien sûr, quelle question, me répondit-elle.— Alors il n’y a pas de raison pour que les choses changent. Nous devrons simplement être prudents, sauf si tu es prête à assumer notre relation face à la famille.— Non, je n’ai pas encore de travail et le tien est trop précaire et tu devras peut-être bientôt revenir vivre chez les parents si tu n’as plus de quoi payer ton loyer pour l’appartement. Ce serait trop risqué en cas de rejet de leur part.— C’est ce que je pense aussi. Et on va devoir faire super attention en attendant. Il se peut que nous ne puissions pas être ensemble pendant plusieurs jours.
Durant toute la durée du trajet en train, nous parlâmes de la façon dont nous allions pouvoir faire pour essayer d’être ensemble le plus souvent possible sans risquer de nous faire surprendre. Bien sûr, ma sœur pouvait toujours sortir pour aller déposer des CV, mais même si elle prétextait en avoir déposé jusque tard, cela ne nous laisserait que quelques heures ensemble le soir quand je rentrerais du travail. Et cela n’allait pas pouvoir durer pendant des mois. Cela ne pouvait pas non plus se reproduire tous les jours.— Tu voudras te trouver quelqu’un pour ne pas que les parents finissent par s’interroger sur ton célibat ? lui demandais-je également. — Non, me répondit-elle de façon catégorique. Je ne pourrai pas me laisser toucher par un autre homme que toi. Avant, je l’aurais fait pour essayer d’oublier mes sentiments pour toi, mais maintenant c’est impossible. Et toi ? — Je pense que même si je voulais me mettre avec une autre, je n’arriverais plus à avoir envie d’une autre femme que toi. Donc moi non plus je ne veux pas chercher quelqu’un.
Sans doute que le simple fait que Laetitia prétende avoir quelqu’un et partir le retrouver le soir nous aurait permis de nous voir plus souvent, mais elle ne voulait pas que les parents et notre sœur demandent à ce qu’elle leur présente son chéri. Donc là encore, nous accentuions la difficulté de nous retrouver.Lorsque nous ne discutions pas ou lorsque nous constations encore une difficulté qui s’ajoutait et qui rendrait encore moins fréquent le nombre de nos retrouvailles, ma sœur et moi passions notre temps à nous embrasser, comme pour nous rassurer sur le fait que nous parviendrions à surmonter toutes ces difficultés.
Alors que nous avions convenu de passer quelques heures ensemble chez moi à notre retour en France, au moment de notre entrée en gare, je demandai à ma chérie de quitter mes genoux, comme si je pressentais que notre moment ensemble risquait d’être écourté. Et finalement, en descendant du train, notre sœur nous attendait, accompagnée de celui qui est aujourd’hui son mari.Déçu, je fis semblant d’être heureux de les voir et Laetitia fit la même chose. Une dernière main discrètement posée sur le postérieur de ma sœur et je repris douloureusement le rôle du simple frère.
À la maison des parents, tout le monde y alla de ses questions pour en apprendre plus sur ce que nous avions fait, savoir également comment allaient nos amis, etc... Nous n’hésitions pas à parler de nos visites de la ville, de notre journée à la plage et de la grossesse d’Anaïs. Mais pour tout le reste, nous préférions garder notre relation secrète, tout comme celle de nos amis. Pour notre famille, Anaïs était tombée enceinte d’un homme qui n’avait pas eu envie d’assumer sa paternité et qui était parti, exactement ce qu’elle avait raconté à notre arrivée.
À la fin de la journée, je rentrai seul chez moi et cela me fit vraiment étrange de ne pas sentir ma sœur dans mes bras. En une semaine, j’étais déjà plus amoureux d’elle que jamais je ne l’avais été en plusieurs mois avec mes ex. Laetitia me manquait terriblement. Je dus rapidement soulager mes désirs non assouvis. Puis, après une seconde masturbation dans les minutes qui suivirent, j’étais soulagé mais attristé. J’allais m’allonger seul sur mon lit et pour la première fois depuis le début de notre histoire, je me mis à réfléchir de façon posée. Il est vrai que je lui avais dit que je l’aimais et que, même s’il ne s’agit que de la deuxième femme à qui j’avais dit ces mots, elle reste la première à qui je l’ai dit en le pensant sincèrement. La première étant ma première petite-copine, pensant qu’en lui disant que je l’aimais, nous pourrions plus rapidement franchir l’étape me faisant perdre ma virginité. Mais cela n’eut pas l’effet escompté puisqu’il fallu attendre encore plusieurs semaines avant de perdre notre virginité ensemble. Laetitia est donc la seule femme à qui j’ai dit ces mots de façon sérieuse.
Toutefois, même si tout me prouvait que j’étais amoureux d’elle, je ne pus m’empêcher de penser que tout cela était trop beau pour être vrai. Je n’avais jamais aimé une femme avec une telle passion, une telle envie et je n’avais jamais été autant aimé par une femme. Pourtant, s’agissant de ma propre sœur, je me créais des doutes inutiles. Je commençais à penser que tout était si parfait simplement parce que nous nous connaissions depuis longtemps. Et au cours de notre voyage, tout était fait pour ne jamais nous séparer, à commencer par nos amis qui nous soutenaient dans cette relation naissante. Cette première journée de retour à la réalité me permis de mettre les choses au clair. J’allais pouvoir profiter de ces quelques jours de solitude pour en apprendre plus sur moi. À la fin de la journée, je reçus un SMS de ma sœur me disant qu’elle m’aime et que je lui manquais déjà. La réponse que je lui envoyais était déjà un signe que je devais interpréter. Je pensais sincèrement chaque mot que je lui envoyais "Je t’aime aussi et ton absence est un grand vide". Puis je me couchais seul.
Le lendemain matin, inconsciemment, je caressais le drap à la recherche d’une présence agréable, à la recherche de Laetitia. C’est en ouvrant les yeux et en réalisant que j’étais chez moi que je compris qu’elle n’était pas là. Aussi stupide que cela puisse être, je me suis alors imaginé que toute la semaine que nous avions vécue n’avait été rien de plus qu’un rêve. Sur le moment, je me souviens de m’être trouvé pervers de rêver que j’avais pris plus de plaisir en couchant avec ma sœur qu’avec une autre. Et que mon cerveau avait été encore plus pervers que je ne le pensais pour imaginer nos amis être en couple et attendre un enfant issu d’un amour entre frère et sœur. Puis en regardant mon téléphone, je réalisais que ce n’était pas un rêve. Ma sœur m’avait bien envoyé un message d’amour et je lui avais bien répondu de la même façon.
Les jours suivants, je ne parvenais pas à oublier Laetitia. Chaque chose que je faisais, aussi futile soit-elle, je voulais la partager avec elle. Je ne voulais pas partager ces moments avec ma sœur. Je voulais les vivre avec la femme que j’aime. Je ne cherchais pas vraiment à penser à elle, mais elle ne quittait jamais mes pensées. C’est surtout de retour en France et en raison de son absence auprès de moi que j’ai vraiment réalisé à quel point j’étais très amoureux d’elle. Je l’ai su dès nos premières relations sexuelles, mais maintenant, j’en avais la confirmation.
Il nous fallu une dizaine de jours après notre retour pour avoir quelques heures et pouvoir profiter d’un moment d’intimité pour faire l’amour. C’est en l’ayant dans mes bras après tous ces jours sans pouvoir la toucher que je me sentis vivant. J’ai définitivement arrêté de me poser des questions sur mes sentiments pour elle à partir de cet instant. Et le sexe avec elle me parut si naturel (en plus d’être merveilleux) qu’il aurait été totalement stupide de douter encore dans ces circonstances. Sincèrement, elle m’avait tellement manqué que je ne cherchais même pas à savoir si elle avait repris la pilule depuis notre retour. J’inondais son vagin à la hauteur du manque que j’avais ressenti et de l’amour profond que je lui porte encore aujourd’hui. Il nous fallu pratiquement un mois et demi pour pouvoir passer une nuit complète ensemble. Bien que cette première nuit depuis notre retour fut courte et que nous dûmes nous séparer avant sept heures du matin. Il n’était vraiment pas simple de laisser notre amour s’exprimer. Il n’y avait pas seulement de nos parents et de notre sœur dont nous devions nous méfier, mais de nos amis également. Nous devions nous méfier de tout et de tout le monde partout où nous allions. Des magasins où nous risquions de croiser des personnes que nous connaissions jusqu’au domicile familial où nos parents étaient quasiment toujours présents. Il était quasiment impossible de venir chez eux sans qu’il n’y ait personne d’autre que Laetitia. Il y avait toujours au moins un de nos parents.
Quelques mois plus tard, après l’accouchement d’Anaïs, voyant leur joie commune sur les photos qu’il nous avaient envoyées sur les réseaux sociaux et en apprenant que leur enfant ne souffrait d’aucune maladie, ma sœur n’a pas caché son envie de fonder une famille avec moi plus tard. Ce fut un sujet dont nous parlâmes longuement ce jour-là et durant de nombreuses autres discussions au cours des mois qui suivirent. Ce n’est qu’à ce moment-là que je sus qu’elle prenait la pilule depuis notre retour en France.
En cinq mois depuis notre retour, nous n’avions fait l’amour qu’une vingtaine de fois grand maximum, soit à peine plus que durant toute la semaine que nous avions passée ensemble en Espagne. L’avantage de cette situation, c’est que ma sœur était très motivée pour trouver un emploi et un appartement, ce qui faisait très plaisir à nos parents. Et moi, je fis tout pour parvenir à conserver mon emploi afin de ne pas devoir retourner vivre chez eux. J’étais sûr que nous aurions fini par craquer et nous retrouver dans le même lit malgré la présence des parents, ce qui aurait mis un terme à notre secret avec le risque d’être expulsés de chez eux sans avoir d’endroit où dormir.
Malgré sa mention, ma sœur avait du mal à trouver un travail, ce qui me paraissait étrange car j’imaginais que les portes allaient s’ouvrir plus facilement pour les personnes ayant obtenu une mention. Mais cela ne doit fonctionner que pour les grosses entreprises. Toutefois, après quelques mois de galère, ma sœur trouva un travail et mon implication dans le mien fut récompensée par la signature d’un CDI, mon tout premier emploi de longue durée. Au bout de sa période d’essai, avant même d’avoir reçu sa première paye, Laetitia se mettait déjà à chercher un appartement, son premier logement. Officiellement, elle ne fit pas la difficile et prit le premier appartement qui lui convenait. Mais en réalité, elle prit celui qui était disponible le plus tôt possible pour partir de chez les parents afin que nous puissions nous retrouver tous les jours. Heureusement pour elle, elle a pu trouver un propriétaire qui accepta de louer son appartement alors qu’il ne s’agissait à ce moment-là que d’un CDD de quelques mois.
Les clés lui fûrent remises un week-end et le déménagement se fit dans la foulée. Après avoir rendu le camion de déménagement, nos parents, notre sœur et son futur mari rentrèrent chez eux. De mon côté, je pris le bus me ramenant à mon appartement. Mais après quelques arrêts, je descendis pour me rendre chez Laetitia. Une fois chez elle, il nous fallu moins d’une minute pour nous retrouver nus et être en train de faire l’amour sur son lit dont les draps n’avaient pas encore été mis. Après ce moment, je l’aidais à finir de tout ranger et nous passâmes la nuit ensemble sans avoir à nous soucier de l’heure à laquelle nous devions nous lever le lendemain.
Diffuse en direct !
Regarder son live