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Ma sœur, mon amour

Chapitre 6

Le mariage de notre grande sœur

Inceste
Un peu plus d’un an après le début de notre relation, cela faisait maintenant quelques mois que nous avions retrouvé le plaisir de partager nos nuits ensemble. Même si parfois j’avais la visite d’amis ou que Laetitia recevait des copines, nous allions toujours chez l’autre une fois que tout le monde était parti. Même si cela signifiait qu’il faille attendre qu’il soit deux heures du matin ou plus tard encore. Depuis que Laetitia avait quitté la maison des parents et emménagé dans son appartement, nous passions toutes nos nuits ensemble. Parfois j’allais chez elle, mais la plupart du temps, c’est elle qui venait chez moi. Pourtant, mon appartement sans décoration ne payait pas de mine, il était assez basique. Mais Laetitia préférait mon appartement au sien.
À vingt-six ans et après un an d’amour aussi fort, moi aussi je pensais à avoir des enfants avec Laetitia. J’avais le modèle de nos amis dont leur enfant était totalement sain, ce qui me laissa de l’espoir. J’avais souvent entendu parler de risques accrus, mais même si Cyril et Anaïs n’étaient que le seul couple que je connaissais partageant le même lien que celui que je partage avec Laetitia et que leur cas n’était donc pas une généralité, je ne pouvais que constater qu’il était également possible d’avoir des enfants totalement sains, contrairement aux rumeurs.
Je décidai de contacter nos amis pour leur faire part de mes envies, mais également de mes doutes. Malgré leur parentalité récente et la joie que leur bébé leur apportait, à aucun moment ils ne m’ont poussé à franchir le cap de la paternité, mais ils m’apportèrent des conseils avisés. C’était à moi de prendre la décision (car concernant celle de Laetitia, je la connaissais déjà). Je n’ai pas été choqué qu’ils me laissent prendre la décision. Ils ne sont pas comme certains lecteurs qui fantasment sur l’inceste, ils ne demandent pas aux autres de suivre leur exemple (oui, cette phrase est réellement ciblée). Je pris donc encore quelques jours de réflexion, ayant maintenant plus d’informations pour m’aider à mieux réfléchir. Certes l’envie d’avoir un bébé a toujours été un projet pour moi bien avant d’être avec Laetitia. Avant elle, j’avais surtout envie de poursuivre notre lignée en ayant une descendance, peut-être avec une seule femme, ou peut-être que j’aurais connu le divorce et que j’aurais eu des enfants avec plusieurs femmes. Mais c’est vrai que pour moi, les enfants représentaient plus la poursuite d’une lignée qu’un réel désir de faire fructifier une relation amoureuse. Avec Laetitia, c’était devenu différent. Je n’avais pas envie d’avoir des enfants pour simplement avoir une descendance, j’en voulais pour lui prouver tout l’amour que je lui portais et que je lui portes toujours aujourd’hui.
Un soir, alors que Leatitia vint chez moi, je me comportais comme les autres jours. Mais au moment où je l’ai vu sortir sa pilule quotidienne, je lui fis une annonce.— Si tu veux tu n’es pas obligée de la prendre, lui dis-je.Mais trop tard, elle venait de l’ingérer.— Quoi donc ? me demanda-t-elle.— La pilule, mais c’est trop tard, tu viens de la prendre.— Est-ce que je comprends bien le message que tu veux me faire passer ?— À ton avis, ça serait quel message.— Je ne sais pas, dis-le-moi plus directement.— J’ai bien réfléchi et j’ai envie d’avoir un enfant avec toi.Je crois que je n’avais jamais vu ma sœur aussi heureuse. Elle me sauta au cou et m’emmena dans la chambre. Cela n’allait pas être efficace pour cette nuit, mais nous fîmes quand même l’amour en sachant qu’elle venait de prendre son dernier contraceptif avant de nombreux mois. Ou peut-être son dernier contraceptif tout court. Mais ça, je n’allais le savoir, au mieux, que quelques mois plus tard.
Environ trois semaines plus tard, les premiers essais ne furent pas fructueux vu que Laetitia avait eu ses règles au cours du mois. Mais cela ne nous empêcha pas de persévérer. Nous étions prêts à être parents ensemble.Nous nous réveillâmes l’un à côté de l’autre après une nuit assez courte. Aujourd’hui, notre sœur allait se marier. Il ne fallait donc pas être en retard par rapport aux autres invités. Habillés tous les deux de façon élégante, Laetitia était encore plus belle ainsi.— Je vais avoir du mal à te résister en te voyant dans cette tenue toute la journée.— Je pourrais en dire autant pour toi.
Comme si la tension n’était pas suffisamment forte, ma sœur retira son string et me l’envoya au visage. Nous partîmes donc de chez moi plus tard que prévu et Laetitia dû s’assurer que sa robe n’était pas tachée par mon sperme. Cette fois, c’est moi qui lui demandai de ne pas remettre son string. J’avais bien l’intention de pouvoir encore profiter de son corps dans la journée, pendant que tout le monde allait être occupé par les festivités. Et je n’eus pas besoin de lui demander plusieurs fois pour qu’elle ne porte rien sous sa robe.
Laetitia était la demoiselle d’honneur au mariage de notre grande sœur et moi, j’étais l’un des témoins du mariage. Après la photo regroupant tous les invités, Laetitia et moi trouvâmes un cabanon à quelques centaines de mètres de la mairie où nous pûmes nous éclipser pour un petit moment d’intimité afin de tenter une nouvelle fois de mettre en route le bébé. Pour éviter tout risque de trace à l’extérieur de sa robe, je la prenais en levrette tout en remontant sa robe jusqu’au milieu du dos. Ainsi, elle n’allait pas salir sa robe en s’allongeant et mon sperme avait peu de risques de se retrouver sur sa robe. De plus, nous avions prévu un paquet de mouchoirs en papiers pour qu’elle puisse essuyer rapidement les traces de ma semence qui s’écoulait de son orifice rempli.
Au cours de la soirée, je ne bus pas d’alcool. J’avais peur d’être désinhibé et de poser mes mains partout sur Laetitia, sous le regard des invités. Et elle ne but rien qui contenait de l’alcool également. Mais pour elle, c’est plus par dégoût de l’alcool, Laetitia a toujours détesté ça. La soirée avait débuté depuis un long moment, la nuit était bien présente quand, sous la table, je glissai une main sous la robe de Laetitia, atteignant sa zone à laquelle j’avais déjà rendu visite plus tôt dans la journée. Je glissai un doigt dans cet antre humide et Laetitia me regarda. Discrètement, elle passa sa main sur mon pantalon et sentit la bosse qui le déformait. Un sourire et un hochement de tête et elle quitta la table. J’attendis quelques minutes pour me lever à mon tour et sortir de la salle de réception. Nous prîmes la direction la plus sombre possible et nous nous cachâmes dans des buissons. Même si nous pouvions toujours apercevoir la salle où se tenaient les festivités, nous en étions suffisamment éloignés pour que personne ne vienne nous chercher ici.
Laetitia m’attendait déjà. Je l’embrassai, relevai sa robe, déboutonnai mon pantalon. Elle se mit à quatre pattes et je glissai en elle aussitôt. Même si tout le monde semblait être bien occupé, nous n’avions pas de temps à perdre avec les préliminaires. Laetitia gémissait tout en essayant d’être la plus discrète possible. C’était un réel bonheur de lui faire l’amour. J’accélérai ma cadence en raison de mon orgasme approchant. Puis, alors que je la remplissais, nous fûmes surpris.— Vous deux, vous dégagez de mon mariage. Je ne veux plus vous revoir.— Attends, dis-je en remettant mon pantalon et en laissant Laetitia seule, le vagin rempli de mon sperme qui dégoulinait aussitôt que je venais de quitter ce lieu chaleureux.— Ne me touche pas ! dit mon autre sœur lorsque je parvins à la rattraper.— Tu peux au moins me laisser t’expliquer ?— Tu vas me dire quoi ? Vous avez trébuchés et vous vous êtes retrouvés dans cette position ?— Non. On s’aime.— Je m’en fous ! Allez faire vos saloperies ailleurs mais je ne veux plus jamais vous revoir. Vous me faites ça le jour de mon mariage ? Vous êtes encore plus cons que la moyenne !
Notre sœur était vraiment très en colère contre nous et je n’ai pas su trouver les mots pour la calmer. Je ne tentai pas de continuer la conversation pour ne pas envenimer la situation et je retournai vers Laetitia que, malgré moi, j’avais laissée tomber.— Tu as réussi à la calmer ? me demanda-t-elle.— Non, elle refuse de nous parler et elle ne veut plus nous revoir.— Tu veux que j’essaie d’aller la voir pour essayer d’apaiser les choses ?— Elle est retournée avec les invités, ça pourrait faire un plus gros scandale.— D’accord.
J’avais peur qu’en quelques minutes, tout le monde soit au courant et que nous soyons inondés d’appels. C’est pour cela que nous avions éteint nos téléphones en repartant. Nous n’étions même pas retournés dans la salle pour saluer tout le monde. Nous sommes simplement remontés dans notre voiture et sommes partis. En rallumant nos téléphones le lendemain, il n’y eut rien. Au contraire, j’avais reçu quelques messages me demandant où j’étais, puis d’autres, envoyés un peu plus tard, pour me dire que c’était dommage que je sois parti si tôt. Ce soir-là, nous n’étions plus aussi enthousiastes et nous n’avions rien refait. Et ce mois-ci ne fut toujours pas fructueux.
Nous n’avons jamais réussi à savoir pour quelle raison notre sœur était venu chercher l’un de nous, ou peut-être tous les deux, elle-même au lieu de profiter de son jour de fête et de demander à quelqu’un d’autre d’aller nous chercher.
Les mois suivants, lorsque nous nous retrouvions tous ensemble chez les parents, elle était froide et conservait beaucoup de rancœur contre nous. Mais en dehors de son comportement, elle n’a jamais rien dit à nos parents, sinon eux non plus n’auraient pas voulu nous revoir. Quant à son mari, lui non plus n’a jamais rien dit. Peut-être qu’elle ne lui a rien caché et qu’elle lui a demandé de ne rien dire devant la famille, ou peut-être qu’elle a gardé ce secret pour elle.
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