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Ma sœur, mon amour

Chapitre 9

Confinement

Inceste
Comme pour la majorité des gens de tous pays, 2020 a été marqué par plusieurs périodes de confinement. Et comme de très nombreuses personnes, nous avons été contraints au télétravail.
Quelques jours avant le premier confinement, Laetitia et moi nous reveillâmes dans le même lit, sans le moindre vêtement sur nous. La veille au soir, nous avions fait l’amour comme n’importe quel couple. Ce matin-là, notre fils ne semblant pas être encore réveillé, ma chérie décida de combler une envie matinale. Après nous être embrassés, elle s’empara de mon sexe qui se mit à gonfler rapidement dans sa main. Après quelques mouvements de poignet, elle préféra remplacer sa main par sa bouche. Si je ne la connaissais pas aussi bien, à sa façon de me savourer, j’aurais pu penser qu’elle cherchait à me faire jouir dans sa bouche dès le matin. Je sais que cela ne la dérange absolument pas de m’avaler dès le réveil. Mais parce que je la connaissais bien et qu’elle connaissait parfaitement mes limites, je savais qu’il y avait un seuil qu’elle n’avait pas encore atteint, celui pour lequel Leatitia avait encore le choix entre se redresser et s’empaler sur moi, ou sentir ma semence remplir progressivement sa bouche. Elle choisit finalement la première solution. Elle se releva et vint naturellement s’empaler sur moi. Je me laissais librement aller dans ce vagin qui avait déjà reçu ma semence un nombre de fois incalculable. Nous profitâmes encore quelques instants allongés l’un contre l’autre, ou plutôt, l’un sur l’autre.
Je me levais ensuite et enfilai un boxer, puis je me rendis dans la chambre de notre fils. Il dormait encore paisiblement. Laetitia me rejoint nue et mit ses bras autour de ma taille.— J’ai les deux hommes les plus beaux du monde.— Et moi j’ai la femme la plus belle de l’univers.— Il aura un frère ou une sœur ?— Bien sûr mon amour. Mais pas maintenant.— Quand ?— Je ne sais pas encore. Peut-être quand il sera assez grand pour être à l’école ?— Tu as peur qu’il nous dérange pendant que nous faisons l’amour ?— Non, tu sais très bien qu’on reprend quand ça nous arrive. C’est juste que le faire maintenant serait peut-être un peu trop rapproché.— D’accord. Mais tu sais qu’il ira à l’école dès septembre, donc si on s’y prenait maintenant, il serait déjà rentré avant la naissance du second. Mais sache que quel que soit le moment que tu auras choisi, je serai prête. Tu auras juste à me demander d’arrêter la pilule.— Je pourrais vraiment te demander à n’importe quel moment ?— Oui.— Même demain par exemple ?— Demain ou aujourd’hui.— D’accord mon amour.
Pourtant, quelques jours plus tard, je fus surpris par la réaction de Laetitia. À l’annonce du confinement, elle sembla stressée, mais pas pour la raison à laquelle je pensais.— Ça fait un peu peur d’en arriver là, lui dis-je en voyant qu’elle semblait anxieuse.— Tu vas rester avec moi pendant les deux semaines ? (pour rappel, c’était la durée initialement annoncée)— Bien sûr. On prétextera que c’est pour ne pas rester seuls et ne pas déprimer pendant le confinement.— Mais toi et moi devrons télétravailler.— Oui, et alors ?— Alors ça veut dire qu’on va rester vingt-quatre heures sur vingt-quatre ensemble. Et si tu ne me supportais plus ?— Tu es vraiment sérieuse ?— Oui. Je t’aime comme je n’ai jamais aimé un homme auparavant, mais j’ai peur que ce confinement nous rende différents.— Tu as vraiment ce genre de doutes après quatre ans et demi ? Moi c’est tout le contraire. J’ai hâte d’être à mardi midi pour passer toutes mes journées avec vous deux, la rassurais-je. Et tu sais, même si en Espagne on pouvait aller dehors, on était déjà vingt-quatre heures sur vingt-quatre ensemble et ça nous énormément rapprochés. Et regarde Cyril et Anaïs. Ils travaillent ensemble, ils passent donc toutes leurs journées ensemble et ça fait quinze ans qu’ils sont très heureux. — Tu as raison. J’espère que tu ne trompes pas sur notre avenir après ce confinement. — Je n’ai aucune intention de te quitter. Efface définitivement cette idée de ta tête, cela n’arrivera jamais.
Durant les premiers jours de confinement, Laetitia eut très souvent besoin d’être rassurée. Pendant le télétravail, nous prenions des pauses durant lesquelles je la prenais dans mes bras et nous nous embrassions. Je reconnais aussi que certaines de ces "pauses câlins" ont été plus loin et il nous arrivait quelques fois de faire l’amour.
Je pensais que les dix premiers jours de confinement avaient été suffisants pour lui prouver que si les choses devaient changer entre nous, cela n’aurait été que pour solidifier davantage notre couple, mais elle fut de nouveau anxieuse lors de l’annonce du prolongement du confinement.— Ne t’en fait pas mon amour, les deux prochaines semaines seront comme celles que nous venons de passer, lui dis-je.— Le pire dans tout ça, c’est que j’en suis persuadée, tu me l’as bien prouvé. Mais il m’arrive parfois d’avoir des réactions qui ne s’expliquent pas. Je te promets d’essayer d’essayer de ne plus m’inquiéter pour ça.— Après, ça ne me dérange pas que tu t’inquiètes. J’aime t’avoir dans mes bras pour te rassurer.— Coquin, dit-elle en me regardant. Tu aimes surtout la façon dont ça se termine la plupart du temps.— On ne peut rien te cacher, plaisantais-je.
Alors qu’elle se blotissait contre moi, je la caressais pour la réconforter. Puis progressivement, ma main plongea sous son pull et caressa sa hanche. Puis mes caresses remontèrent de plus en plus pour aller jusque dans son dos. Après quelques minutes, ses premiers vêtements au-dessus de la ceinture disparurent. Elle retira alors les miens situés au même niveau. Mes caresses s’étendirent de plus en plus pour aller maintenant de ses épaules jusqu’à ses fesses. Laetitia retira alors le reste de mes vêtements, puis ce fut à mon tour de la débarrasser de ce qui est était superflu à cet instant. Ma chérie me prit dans sa bouche et entama une lente fellation pendant que je caressais ses seins. Après quelques minutes, elle arrêta son doux traitement de relaxation et je m’occupais dorénavant de son fruit succulent jusqu’à ce qu’elle atteigne son apogée. Elle me fit ensuite m’allonger sur le lit et vint s’empaler sur moi. Elle allait et venait jusqu’à ce que cette fois, ce soit moi qui atteigne l’orgasme que je laissais se répandre au plus profond d’elle.
Il fallut environ trois semaines et demi à Laetitia pour ne plus être angoissée par une éventuelle rupture liée à la façon de vivre que le confinement nous contraignait. Toutefois, il nous fut impossible de mettre en route le second bébé. Les sorties étant très limitées et surveillées, une grossesse durant cette période aurait forcément amené à une déduction simple. Bien sûr, notre autre sœur n’aurait pas eu besoin d’effectuer un calcul assez simple pour savoir qui était le père du second bébé de Laetitia, mais le reste de la famille l’aurait deviné en quelques secondes.
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