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Mon assistante, Isabelle

Chapitre 1

Lesbienne
Je travaille dans une société de produits cosmétiques depuis 15 ans. Mon caractère et mon autorité naturelle m’ont permis d’évoluer rapidement au poste de directrice logistique.
Mon ancienne assistante étant partie en retraite, j’ai recruté Isabelle il y a maintenant 8 mois de cela.
Une jeune femme très professionnelle, discrète et d’un physique agréable sans être une gravure de mode. Elle a du charme.
J’ai appris lors d’une réunion qu’Isabelle avait rompu avec son ami quelques semaines auparavant mais n’ai jusqu’ alors pas vu de changement dans son travail ou dans son attitude si ce n’est ses absences chaque jour un peu plus longues aux toilettes.
Mon bureau est positionné perpendiculairement au sien, de sorte qu’elle puisse me voir mais que je sois obligée de me tourner quand je veux lui demander quelque chose. De ce fait, je n’ai remarqué que dernièrement ses absences prolongées.
Je me surpris à l’observer dans le reflet de mon écran. Elle s’asseyait, ouvrait le courrier, décrochait le téléphone, rédigeait un mémo, mais par moments, son regard se fixait longuement sur l’écran sans qu’elle ne touche son clavier.
Alors, je voyais ses longues jambes se croiser et se décroiser, son corps se dandiner sur son siège et, dès que je tournais la tête, Isabelle reprenait le clavier ou le téléphone comme si son reflet n’était que celui de mon imagination.
Je mis donc son comportement et ses tortillements sur le coup d’une quelconque gêne d’ordre médical.
Les jours passaient et Isabelle ne portait plus que des jupes ou des robes qui soulignaient sa féminité et ses courbes généreuses et me confortait dans l’idée d’un problème urinaire.
Un après-midi, alors que nous devions travailler ensemble sur un appel d’offre, elle rentre dans mon bureau, les joues roses et le souffle un peu court. Je lui tends ma carafe d’eau. Elle me remercie et m’explique juste qu’elle a dû courir pour remettre un pli au coursier à l’accueil, mais mon regard est fixé sur son chemisier au travers duquel je vois pointer ses seins. Elle rougit mais ne dit mot.
Ayant un rendez vous suivi d’un repas d’affaires, je n’arrivai au bureau qu’en début d’après-midi. Je déposai donc mes affaires dans mon bureau pour allez me soulager. Je ne remarquai même pas l’absence d’Isabelle à son poste, trop pressée par mon envie.
Je me rendis au WC puis, une fois rhabillée, je m’aperçus que la cabine d’à côté était occupée et qu’un souffle lent mais appuyé se faisait entendre. Je tirai la chasse d’eau, me lavai les mains, le tout en tendant l’oreille. Plus aucun bruit.
J’ouvris la porte et la refermai sans sortir du local. Après quelques instants, la respiration reprit puis de faibles gémissements. Je commençai à me douter de qui se trouvait à l’intérieur. Dès lors, je sentis mon sexe commencer à s’échauffer, se contracter et, inconsciemment, je mordillai ma lèvre.

Les gémissements se firent plus appuyés puis le silence, lourd et pesant. Des minutes qui m’ont parue longues. J’hésitais entre rester et fuir et affronter mon assistante. Je n’eus pas le temps de me poser la question bien longtemps.Isabelle se trouvait face à moi, essoufflée, le teint rosi de plaisir et le regard honteux.
Je la détaillai comme pour la première fois. Ses longs cheveux auburn tressés, son visage bien dessiné et ses lèvres fines. Ses yeux habituellement noisette avaient un éclat différent que je pus discerner même s’ils n’osaient s’attarder sur moi. Son cou blanc laissait entrevoir les battements du sang sous sa peau diaphane et sa poitrine dardait fort sous son chemisier noir.
Je mis fin à son calvaire en lui annonçant que nous discuterions de tout ceci dans mon bureau dans l’après-midi après avoir géré les dossiers en attente du matin.
Fait exceptionnel, je m’enfermai dans mon bureau. J’avais besoin de réfléchir mais surtout de me satisfaire. Je sentais mon sexe qui s’était gonflé de désir et savais, avant même d’y glisser ma main, que j’allais me découvrir chaude et humide.
Je relevai donc ma jupe et écartai la dentelle de mon string. Ma main s’écrasa sur mon sexe comme dans un fruit trop mûr. Je commençai par écarter mes lèvres et étaler mon jus sur mon clitoris puis je me massai le clitoris électrisé et érigé. Tout à coup, le téléphone sonna, me coupant net dans mon élan.
Deux heures après la découverte d’Isabelle dans les toilettes, je sonnai cette dernière pour lui demander de venir dans mon bureau. L’excitation qui m’avait submergée était retombée mais, en la voyant ouvrir la porte de mon bureau toute penaude, un pincement dans mon bas ventre me rappela cruellement que je n’avais pu me satisfaire.
Elle allait prendre un siège pour s’asseoir quand je lui dis de rester debout.
« Alors, comme ça vous profitez de votre temps de travail pour aller vous masturber dans les toilettes ? »
— Non, mais…En fait...euh, c’est la première fois…
« Ça suffit! Vous savez que je suis souple mais je ne supporte ni le mensonge ni qu’on me prenne pour une imbécile. Le problème c’est que vous n’êtes pas payée pour vous branler !!
— Oui. Mais mon travail est fait. Il n’en pâtit pas.
— Votre travail peut-être mais moi, oui ! Je ne peux pas laisser de tels agissements impunis dans mon service. Je ne sais pas comment je vais pouvoir vous punir de ceci. Je pense que la DRH...
— Non, s’il vous plaît ! Je ne peux pas, j’aurais trop honte ! »
Je lisais dans ces yeux une vraie terreur, ce qui étrangement fit monter d’un cran mon excitation. Je sentais ma vulve se remplir peu à peu de mouille. Je contractai mon vagin afin d’entretenir mon excitation.
« Que voulez-vous que je fasse? Vous comprenez que je suis lésée dans cette affaire…Vous prenez du plaisir tandis que moi, je suis en train de travailler. Vous êtes tout de même d’accord que vous méritez une punition ? »
— Oui, Madame, je le comprends mais je ne peux me permettre de perdre mon emploi ou de me couvrir de honte auprès de mes collègues. Au final cela serait pire que le chômage.
— Je peux comprendre et, au vu des événements récents de votre vie privée, je veux bien être indulgente mais vous devrez m’accorder des heures de votre temps. J’ai du travail en retard. Vous resterez ici ce soir avec moi. »
Une lueur se ralluma dans ses yeux. Je ne pus me retenir de me mordre la lèvre car il n’y avait pas que son temps que je voulais.
« Bien, Madame. Merci, Madame!»
La journée était déjà bien avancée. J’étais passablement excitée et n’avais aucun moyen de me soulager.
Finalement, 18h arriva plus vite que je ne l’aurais cru. Isabelle se présenta à la porte de mon bureau, le soleil rasant la découpant dans l’encadrement. Les rayons du soleil dessinaient ses cuisses et son entrejambe au travers de sa jupe.
« Madame, j’ai traité tous les dossiers en cours et pris de l’avance sur l’appel d’offre. Je n’ai plus rien à faire.
— Ah…
— J’ai même archivé les dossiers, classé et rangé tout ce qui pouvait l’être…
— D’accord, tu peux donc t’asseoir et, puisque tu as du temps devant toi, tu peux même te toucher si cela te dit ! »
Elle devint rouge écarlate, ne sachant plus que dire.
« Remonte ta jupe et montre-moi comment tu fais !
— Mais Madame...»
« Si tu veux, on peut toujours aller voir la DRH. C’est toi qui choisis. Je ne voudrais pas te forcer.»
Elle hésita encore un instant puis s’assit en remontant sa jupe. Elle baissa les paupières et commença timidement à toucher sa vulve par-dessus le tissu de son string.
« Non! comme dans les toilettes. Ne me dis pas que tu te caresses en sous-vêtements. Enlève-le ! »
Docilement, elle retira sa fine dentelle. Un joli filet de cyprine accrocha la lumière et révéla son excitation.
« Eh bien, Isabelle, tu es toujours trempée comme ceci ou c’est la situation qui t’émoustille ?
— Un peu des deux, Madame.»
Elle se rassit au bord du siège et releva sa jambe sur l’accoudoir. Ses lèvres s’écartèrent, laissant apparaître son puits luisant.
Mes mains, jusque là restées sur le bureau, vinrent s’égarer sur mon sexe. Je sentais ma cyprine prête à déborder. Je commençai à me caresser au même rythme qu’elle, les yeux plongés tour à tour dans les siens et sur ses doigts.
Ceux-ci s’attardaient tantôt sur son bouton, tantôt longeaient ses lèvres, ses yeux à moitié clos.Puis son rythme accéléra. Elle branlait son clitoris à une vitesse inouïe. Je voyais ses seins se tendre, ses reins se creuser. Sa seconde jambe vint s’accrocher sur l’accoudoir. Elle était totalement ouverte et offerte à mon regard. Je devinais son vagin qui se contractait…Puis, d’un coup, sa jouissance. Juste un petit cri, presque un miaulement.
Je n’avais pas arrêté de me caresser sans pour autant trouver la jouissance attendue.
« Approche. viens vers moi. »
Son regard luisait comme dans les toilettes mais je sentis à nouveau sa réticence.
« Je ne te force à rien tu es libre de tes choix. »
Elle passa derrière mon bureau, s’approchant de mon siège. Je pouvais sentir l’odeur suave de son jus titiller mes narines.
« Montre-moi comment tu fais. Caresse-moi. »
Isabelle s’agenouilla devant moi, posa ses doigts sur mes lèvres gonflés puis, son pouce sur mon bouton, une décharge me fit me cambrer de plaisir et je sentis ma mouille glisser et s’insinuer vers mon anus. J’avançai alors mes fesses au plus proche du bord du siège et mis une jambe sur le bureau. Isabelle plongea alors deux doigts en moi et commença par de lents allers-retours.
Je ne contenais plus mon souffle et des gémissements s’échappèrent du fond de ma gorge. Une autre décharge. Son autre main avait rejoint mon bouton et s’agitait dessus. Ses doigts en moi s’agitaient et me fouillaient plus profondément, son regard évitant consciencieusement le mien.
J’étais au bord de la jouissance. Mes mains se posèrent sur ses cheveux et, comme si elle avait lu dans mes pensées, ses lèvres s’approchèrent de mon sexe. Sa langue remplaça ses doigts sur mon clitoris. Je poussai un énorme soupir, sa langue caressant très lentement, trop lentement…
Je me liquéfiais de plaisir. Je ne retenais plus mes gémissements et crus discerner ceux d’Isabelle se mêlant aux miens.
J’aurais juré qu’elle se vengeait sur mon clitoris, l’aspirant, le mordant, ses doigts continuant à me fouiller jusqu’à l’explosion de ma jouissance. Je repoussai sa tête et sa langue loin de mon sexe et refermai mes cuisses.
Elle resta un instant à genoux devant moi sans me regarder.
« Je peux y aller, s’il vous plaît ? »
Essoufflée et pantelante, je réussis à la remercier et à la congédier.
« À demain, Isabelle.
— À demain, Madame. »
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