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Mon autre fantasme...le petplay...

Chapitre 2

Zoophilie
(J’écris la suite de mon histoire dans cette ’catégorie’, car je ne sais pas très bien où cela va me mener encore ^^... Bref... Voici la suite...)
Toujours attachée à la rampe d’escalier, j’entends le verrou de la porte tourner. Je trépigne à l’idée de revoir Angélique, mais... est-ce elle qui pousse la porte... Ouf, oui, c’est bien elle... Une sueur froide m’a parcouru le corps, mais je gesticule sur place en voyant Angélique.
— Incroyable, il y avait un monde pas possible... Mais j’ai tout trouvé.
A qui parle-t-elle ? A moi ? Seule ? Est-elle accompagnée ? La réponse à la dernière question est non... La porte se referme. Angélique porte deux sacs de courses jusque sur la table. Je l’aurais volontiers aidée, mais je suis toujours attachée.
— Alors Sucrette, t’as pas fait de bêtises en mon absence au moins !
Je ne mets à genoux, sur mes deux pattes, ayant l’air fière, pour lui signifier que non, je n’ai pas fait de bêtises.
— Tu sais, j’ai pensé à toi en faisant les courses !
Angélique sort de l’un des sacs deux gamelles...
— Oh c’est du bas de gamme, mais si tu veux plus ’luxueux’, il faudra le mériter ! (rires)
Quoi ? Non... pensais-je, je les adore. L’un est blanc et l’autre rose, mais les deux ont des motifs en forme d’os et de pattes de chiennes comme déco... J’en suis déjà fan ^^.
— Oh et c’est pas tout...
Angélique s’approche de moi, elle tient quelque chose dans la main, mais je n’arrive pas à savoir quoi. Elle me défait le nœud de la corde, libérant mon cou... Mais pour un court moment.
— Regarde ce que j’ai encore pour toi...

Dit-elle en me montrant un collier pour chienne... Rose bonbon, avec des genres de lanières en imitation cuir. Au bout du collier, un médaillon métallique en forme d’os où est gravé ’Sucrette’... J’adore ^^... mais sur l’autre côté du médaillon, je n’arrive pas à lire...
— Voilà pour toi, ’Sucrette’. Propriété de Maîtresse Angélique... J’ai même mis mon adresse dessus... Au moins comme ça, tu ne pourras pas te perdre... Alors ça te plaît ma Sucrette ? Elle est gentille ta Maîtresse Angélique...
Première fois qu’elle se présente sous cet aspect : Maîtresse... Ma Maîtresse... Je baisse la tête et cherche sa main pour la frotter en signe de remerciement... Elle se laisse faire puis tapote sur le sommet de mon crâne...
— Bonne chienne Sucrette... Bon c’est pas tout ça, mais j’ai des courses à ranger moi...
Maîtresse Angélique sort une laisse d’un sac et, pour la première fois, l’accroche au fermoir de mon collier... Le ’clic’ de la fermeture résonne comme une délivrance alors que, paradoxalement, c’est tout le contraire, puis elle accroche la laisse à la rampe. Certes, je suis encore attaché à cette rambarde, mais j’ai compris que je lui appartenais et qu’elle prendrait soin... A moi de faire que ça dure le plus longtemps possible, alors je me fais discrète le temps que Maîtresse Angélique finisse de ranger ses commissions...
— Bon, il est bientôt 10 heures, l’heure de ta promenade.
Maîtresse Angélique détache la laisse de la rampe et m’entraîne avec elle vers l’arrière de la maison. Arrivée sur le bord de la terrasse, elle s’arrête et, d’une voix calme et posée, me dit :
— Sucrette... Assise...
Je m’exécute.
— Donne la patte !
A genoux devant elle, je lève la patte droite.
— Bonne chienne !
Maîtresse Angélique sort de sa poche un petit paquet. Elle l’ouvre et le pose sur la table.
— Pas bougé !
Elle pose une sorte de friandise sur le bout de mon museau... Malheureusement, il tombe, et pris dans mon élan, je le mange aussitôt. A peine englouti, Maîtresse Angélique tire sur ma laisse, me faisant relever la tête brusquement. Je ne l’avais pas vu, mais sur la table se trouve aussi le magazine roulé. Maîtresse Angélique s’en saisit et me frappe le museau avec.
— C’est quoi ces manières ? J’ai dit : pas bougé !
Elle récidive avec une nouvelle friandise... Une pour vrai chien... Celle sans trop de goût et désagréable à manger... Mais de quoi je me plains, je suis nourri non ? La friandise tombe de nouveau, et, par réflexe, j’en approche la truffe.
— Attention !
Certes Maîtresse Angélique est adorable, mais mon côté animal prend le dessus. Non pas pour manger, mais j’ai besoin de savoir quelles sont les limites... Hop, un petit coup de langue sur la friandise... La réaction ne sait pas attendre... Je reçois un nouveau coup de magazine, mais cette fois, plus fort et dirigé sur ma croupe.
— Oh la vilaine !
J’ai aimé ça... Alors pour en recevoir un nouveau coup, je dirige ma tête vers la friandise... L’attitude de Maîtresse Angélique change soudainement. Elle tire fortement sur la laisse, et, alors que je m’attends à recevoir un nouveau coup de magazine, je reçois, à la place, une... gifle... Pas une grosse gifle, mais assez ferme pour en avoir la tête qui vacille.
— Tu te prends pour qui Sucrette ? Ici, c’est moi qui commande ! Quand je dis non, c’est non !
Maîtresse Angélique détache ma laisse.
— Allez, finis les friandises, va faire tes besoins et rappelle-toi bien ou sinon... Puis profite un peu pour te dégourdir les pattes.
Je file vers ’mon’ arbre, la tête et la queue basse (sans mauvais jeux de mots ^^), puis fais ce que j’ai à faire, non sans jeter quelques coups d’œil à Maîtresse Angélique... assise sur la terrasse, en train de regarder son téléphone portable. Je la remarque également me suivre du regard, mais je détourne la tête à chaque fois... Encore un peu honteuse de la gifle reçue... Non pas de la gifle en elle-même, mais du fait d’avoir déçu Maîtresse Angélique. Puis je pars à la découverte de ce parc qui semble immense... en tout cas, de mon point de vue...
— Allez, ça suffit, au pied !
A quatre pattes, j’accours vers Maîtresse Angélique en espérant qu’elle ait oublié l’incident de la friandise...
— Que penses-tu de ça ?
Maîtresse Angélique me montre l’écran de son téléphone... Sur celui se trouve un déguisement ou plutôt un costume... Celui d’un zentai (un genre de combinaison moulante de tout le corps) au motif dalmatien.
— Sinon il y a celui-ci aussi...
Elle fait glisser son doigt sur l’écran pour changer de zentai. Celui-ci est couleur chair. Mais les deux recouvrent entièrement le corps des modèles, des mollets jusqu’aux poignets et s’arrêtant au-dessus de la gorge.
— Alors lequel tu préfères ? Autrement dit : Tu préfères être une dalmatienne ou une labrador ?
Sans hésiter, je regarde la couleur chair sur l’écran et hoche la tête.
— Oh tu veux être une petite labrador ? Si c’est oui... Aboie !
Prise au dépourvu, je laisse échapper un petit aboiement venu du fond de la gorge.
— Bonne chienne !
Maîtresse Angélique me caresse la tête et me donne une friandise dans sa main.
— Tu peux y aller, mange Sucrette.
Je lape la friandise et la gobe. Entre temps, Maîtresse Angélique me remet ma laisse et nous retournons à l’intérieur de la maison...
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