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Mon autre fantasme...le petplay...

Chapitre 3

Zoophilie
Une fois arrivées à l’intérieur, Maîtresse Angélique me retire ma laisse et fouille dans son sac. Elle en sort une balle, ou plutôt... une ’’baballe’’.
— Tu as été sage alors tu as le droit de jouer.
Elle jette la baballe à travers la pièce.
— Allez, rapporte-moi-la.
Ni une, ni deux, je me précipite à sa poursuite, la prends dans la gueule et viens la déposer aux pieds de Maîtresse Angélique.
— Bonne chienne, allez, encore.
Elle relance la baballe, cette fois, plus loin que la première. La distance ne m’effraie pas ^^ et je la lui rapporte aussi vite que je peux. Ce jeu dure un petit moment, jusqu’à ce que la baballe aille se loger sous un meuble. Impossible de l’attraper avec ma gueule. Vous m’imaginez, à quatre pattes, les fesses et le reste à l’air, en train d’essayer de choper cette baballe hors de portée.
— Eh bien ma petite Sucrette, on a du mal ? lance Maîtresse Angélique d’un air taquin. J’essaie encore, mais elle est trop loin, même du bout de ma langue, je ne peux qu’à peine l’effleurer...
A ce moment-là, je reçois une claque sur les fesses, une claque douce et tendre, qui me fait redresser la croupe... Une nouvelle claque vient le caresser...
— Allez assez joué pour le moment, je dois quand même préparer le repas... Mais comme tu es bien sage, tiens, un nouveau cadeau.
Et sur ce, Maîtresse Angélique sort encore de son sac, un os en plastique d’une vingtaine de centimètres et le balance à traverse la pièce puis elle s’éclipse dans une pièce adjacente, sans doute la cuisine. Après un moment à mordiller mon ’’nonosse’’, Maîtresse Angélique ressort de la pièce, tenant un plat en fonte fumant, d’où s’échappe une odeur alléchante... Elle le dépose sur la table, dresse son assiette et se sert... je ne sais quoi... De ma position, je ne peux voir ce que son assiette contient, mais l’odeur m’attire, et je viens m’agenouiller devant Maîtresse Angélique dans l’espoir de pouvoir goûter à ce fameux plat.
— Oh, je manque à tous mes devoirs (rire), bien sûr que tu as faim toi aussi. Attends-moi-la.
"
Maîtresse Angélique se lève de table, va se saisir de ma gamelle vide et file en cuisine. Puis, elle revient au-dessus de moi, ma gamelle à la main et la dépose devant moi. Alors que je m’attendais à déguster le même repas qu’elle, je ne peux cacher ma déception lorsque je vois ma gamelle remplie de... mais qu’est-ce que c’est... J’approche ma truffe et l’odeur est totalement différente de celle de tout à l’heure... De la viande, oui, mais elle semble être passée au hachoir encore et encore pour finalement être reconstitué vite fait. En plus, pour faire illusion, ils ont rajouté des bouts de... trucs vert et orange... Peut-être des légumes, mais aussi triste que le reste... Je me dis que les apparences peuvent être trompeuses et j’y dépose mes babines pour goûter... Le goût est encore pire que l’odeur... Acre, amer, insipide et fade en même temps...
" Beh alors ma petite Sucrette, ta pâtée ne te plaît pas ? Pourtant c’est du ’César’, tu devrais aimer." Je lève la tête et regarde Maîtresse Angélique d’un air abattu...
— Ah non, tu m’auras pas avec tes yeux de cocker... Finis ta pâtée et peut-être que je te donnerais du bœuf bourguignon...
Bon, je n’insiste pas et plonge le museau dans ma gamelle... Première bouchée... Horrible, ah non pas de... deuxième bouchée... troisième bouchée... Finalement je m’y habitue et puis, mine de rien, j’avais faim... Je secoue ma gamelle du bout de la truffe pour signifier que j’ai terminé et que j’aimerais bien du bœuf bourguignon moi aussi.
— Eh beh voilà, tu as tout mangé... Je devrais peut-être te resservir de la pâtée (rires)... Tu auras du bœuf quand j’aurai fini de manger...
Maîtresse Angélique se sert un verre de vin, me regarde et regarde ma gamelle vide puis bois une gorgée, l’air satisfaite de m’avoir fait manger ’’ça’’. Une fois rassasiée, Maîtresse Angélique prend son assiette et la pose par terre... Miam... Deux... non trois morceaux de viande avec de la sauce. Je dévore la viande et lape l’assiette pour n’en laisser aucune miette...
— Allez, c’est l’heure d’aller dehors...
Maîtresse Angélique se dirigeait vers la porte de derrière, l’ouvre, et me montre le chemin comme pour m’inviter à y aller. J’obéis et sors...
— Et pas de bêtises !
La porte se referme... Après avoir attendu ma Maîtresse sur le pas de la porte, je perd tout espoir de sa présence. Bon, je suis seule... Je me promène, je ballade... j’erre... comme une âme en peine... Je... Je m’ennuie... Alors je vais ce que je fais souvent quand je m’ennuie... un petit plaisir solitaire, mais chut... Je remarque deux piquet en fer relié par une corde (peut-être le fil d’étendage), je frotte ma croupe sur l’un et le place entre mes fesses en faisant de léger mouvement de bas en haut que j’accélère progressivement...
— MAIS QUE FAIS TU SUCRETTE ?
Oups, prise par mes pulsions, je n’ai ni vu, ni entendu Maîtresse Angélique arrivait... Tête basse, recroquevillé...
— Mais... Mais... Ah c’est pas possible ça ! Mademoiselle à ses chaleurs ?
Je ne bouge plus... Le ton de Maîtresse Angélique semble grave même si elle ne semble pas en colère, mais plutôt interloquée que je puisse avec des ’’chaleurs’’.
— Bon beh, je ne sais pas trop comment faire avec une chienne comme toi... Mais va falloir trouver une solution... Tu ne peux assouvir tes pulsions n’importe où ! Allez, on rentre et tu files direct dans ton panier !
Maîtresse Angélique est autoritaire, mais pas spécialement énervée par la situation... Elle devait sans douter. Une fois à l’intérieur, et sur la couverture qui me sert de panier, je vois Maîtresse Angélique téléphonait... Je ne comprend pas le début de la conversation... mais, lorsque je tend l’oreille... J’entend :
— Oui, c’est ça, la chienne que j’ai recueillit il y a peu à ses chaleurs et j’avoue que n’être pas habituée à la situation... Que dois je faire ?...
Silence...
— D’accord, super, elle ne risque rien, mais il faut que je fasse attention à ses sorties aux cas où il y aurait des chiens en rut dans le quartier....— Euh non désolé... Je ne pense pas que ma chienne puisse faire des portées, mais on pourrait en parler à l’occasion, c’est une chienne un peu spéciale.... — En tout cas, je vous remercie, et à bientôt.
Maîtresse Angélique se tourne vers moi, d’un air amusé voire limite coquin... Mais qu’est-ce qui m’attend...
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