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Mon beau patron

Chapitre 1

J'ai aimé son charisme

Erotique
Bonjour, je m’appelle Cécile, j’ai 31 ans et je vais vous raconter un secret.Je travaille dans le marketing, dans une petite structure où nous sommes 28 salariés dirigés par le très sérieux patron, Florian, assez strict, à cheval sur le règlement et qui est mon supérieur direct, car je suis sa secrétaire.
Je suis plutôt petite, brune, assez classique, mais avec un corps parfaitement entretenu par le sport, les yeux verts et les cheveux mi-longs touchant mes épaules.Cette histoire commence en été 2019, ça fait maintenant 10 ans que je travaille pour cette boîte et je m’y sens bien, le patron est rigoureux, mais très sympa, il passe bien auprès de ses collaborateurs. J’ai commencé à la relation clientèle, en fais du démarchage pour trouver de nouveaux débouchés, et depuis 1 an, j’ai remplacé la secrétaire du patron qui a quitté la société.
Après un début de collaboration un peu difficile avec le patron, il a fallu que je me forme, je dois dire que maintenant nous avons une relation très professionnelle et très efficace. Il a su se montrer patient avec moi pour m’expliquer tous les rouages de cette profession. Je ne lui serais jamais assez reconnaissante du temps qu’il a passé pour m’expliquer les choses. Il y est bien parvenu et maintenant, nous avons une parfaite collaboration, souvent en un regard, nous nous comprenons et ça facilite bien les choses.
Donc cet été-là, j’ai eu un passage difficile, car mon fiancé du moment m’a quittée. En fait, il n’est pas parti de lui-même, je l’ai un peu poussé vers la sortie : j’ai appris qu’il en voyait une autre, étant tombé sur un site de rencontres où il était inscrit. C’est sans regret qu’il est parti, préférant sans doute son autre « conquête » à celle qu’il avait promis d’épouser. Pour moi, ce fut plus dur à avaler.
Ça coïncidait avec mon nouveau job au sein de la boîte et ça ne tombait franchement pas au bon moment. Heureusement, Florian a été là, sans rien savoir de ma rupture, il a été prévenant et d’un grand réconfort pour moi.
Au fil des mois, je me suis aperçue que son contact m’était des plus agréables et je dois dire que je passais de plus en plus de temps à la boîte sans compter mes heures. Au début, j’ai pensé que c’était une « échappatoire », pour noyer mon désespoir dans le travail, mais je me suis vite rendu compte que c’était plus la compagnie de Florian qui me devenait indispensable.
Lui, 28 ans, grand brun, corps svelte, fin et élancé, les épaules assez larges et les traits fins, une barbe entretenue, il était assez séduisant, mais ne s’en rendait pas compte. Avec lui, c’était très pro, très carré et sérieux. Il ne donnait pas l’impression de s’intéresser aux choses de la séduction, même si son charme naturel opérait, lui ne semblait pas s’en rendre compte. Bon nombre de femmes à la boîte se retournaient sur son passage ou recherchaient sa présence, mais lui restait indifférent.
Avec moi pareil, toujours très pro et je me désespérai de ne pas trouver une porte d’entrée. Comme je vous l’ai dit, j’ai un style un peu classique qui ne me met pas trop en valeur, aussi un jour, j’ai décidé de faire bouger un peu les choses. J’ai commencé par la coiffeuse, et refait ma coiffure pour voir si Florian remarquait quelque chose.
Au bureau, ça a donné :
— Bonjour Cécile, comment allez-vous ce matin ?— Bonjour Florian, bien, très bien même et vous-même ?— Oui ça va, avez-vous terminé le dossier Airbus ?— Oui il est sur le réseau, vous pouvez le consulter.— Très bien, vous avez dû rester tard pour le finir ?
— Oui je suis partie à 20h30. (Il n’a même pas remarqué ma nouvelle coiffure, quelle déception).— Très bien, vous ne devriez pas rester si tard le soir, vous n’oublierez pas de me donner vos heures, pour que je vous paye.— Oh vous savez, ça ne gêne pas, de toute façon, je n’ai rien de mieux à faire à la maison.— Ah si tout le monde était serviable comme vous, le monde se porterait bien mieux. Bien à 8h45, vous viendrez dans mon bureau pour que je vous dicte un courrier. Au fait, jolie votre nouvelle coiffure, j’aime beaucoup.
Tiens donc, il a remarqué mon changement de coiffure, c’est très agréable pour moi, ma journée va être bonne c’est sûr, en tout cas elle démarre bien. Moi qui pensais qu’il ne me regardait pas.Aujourd’hui, je porte un pantalon ample et un chemisier bleu marine à col blanc fermé jusqu’en haut. Une tenue stricte et un maquillage plus que discret, mes cheveux sont noués avec une queue-de-cheval. Je n’aime pas trop ces tenues austères, mais pour mon métier c’est mieux.
A 8h45, je vais dans son bureau pour prendre le courrier et une fois ceci fait, il me demande de venir derrière lui pour prendre connaissance d’un dossier. Je me trouve derrière lui à regarder son écran d’ordi et je sens son délicieux parfum me titiller les narines. Cette position à côté de lui est ma préférée, je le vois de près, je peux le sentir et sa voix suave me fait vibrer de partout et en entier. J’aime les journées où j’ai pu avoir cette position, elles me remplissent de bonne humeur. Malheureusement, elles ne sont pas assez fréquentes à mon goût.
Ce jour-là fut mon jour de chance, car j’ai eu le droit de prendre cette position une deuxième fois quand il m’a montré un nouveau dossier à clôturer pour la fin de journée, j’ai pris position derrière son siège de bureau, et en plus que regarder son écran, j’avais souvent les yeux sur sa nuque et ses cheveux, j’avais tellement envie d’y mettre mes mains et lui masser le cuir chevelu, la nuque et ses larges épaules. Cette séance a bien duré une demi-heure. Quel bonheur !
Le soir chez moi, je me suis masturbée en pensant à ce moment unique et j’ai joui comme une folle en me voyant le masser comme imaginé et me frotter le pubis à son siège puis à son bras. Je me suis rendu compte que la chose qui me tenait le plus à cœur était sa présence et je me demandais si je n’étais pas en train de tomber amoureuse de mon patron.
Le lendemain, je décidais de changer de tenue et d’oser un peu plus de maquillage. J’optais pour une jupe droite fendue et un chemisier blanc très légèrement décolleté. Ce n’était pas extravagant, mais seulement un peu plus sexy quand même. Ça me mettait un peu plus à l’aise malgré tout.
Je guettais le moment où j’aurais pu retrouver la position de la veille et ça n’est arrivé qu’en fin de journée. Au début, j’ai pu me pencher un peu et tenté de faire voir à Florian mon mini-décolleté. Nos visages étaient si proches, si j’avais osé ...
Mais non, je suis sûre qu’il ne le prendrait pas bien. Ensuite, j’ai pu me relever et j’ai appuyé mon pubis contre son siège. Lui ne s’est rendu compte de rien, mais moi je peux dire que ce petit massage m’a fait du bien. Ah si j’osais, je pourrais me frotter contre son bras, mais non il ne faut pas.
Le soir, rebelote pour ma séance de masturbation, je rêvais que sa bouche m’embrassait pendant que sa main me caressait le cul. Oh que c’était bon.A cette époque, j’étais persuadée que Florian n’avait pas les mêmes envies que moi. Le lendemain, tenue encore un peu plus osée avec une robe légère remontant à mi-cuisses et léger gilet posé sur mes épaules nues. Mais là, pas de séance de frottage sur son siège (bien qu’il m’ait encore demandé de venir devant son écran, mais il ne s’est rien passé). Donc je retourne à ma place, assez déçue.
De son bureau, quand la porte est ouverte, Florian peut me voir en direct et je décide de jouer un peu avec mes jambes, pour voir si ça détourne son attention. Je croise et décroise à l’envie celle-ci faisant remonter un peu l’ourlet de ma robe sur le haut de mes cuisses. Lui ne semble pas voir, le regard fixé sur son écran bien que dans cette position, il peut voir ce qui se passe sous mon bureau sans bouger la tête. Moi je mouille déjà en m’imaginant plein de choses.
15h00 Comité de direction (codir) avec ses assistants et je me retrouve, en salle de réunion assise à côté de lui, comme d’habitude, mais là nous sommes plus proches l’un de l’autre, ce qui fait que ma jambe entre en contact avec la sienne. Je trouve ce contact agréablement délicieux que j’accentue un peu la pression et ça a le don de m’exciter à nouveau assez vite. Je suis un peu perturbée pour prendre mes notes, mais pas Florian qui reste imperturbable pendant toute la réunion, intervenant avec brio à chaque fois que nécessaire. Quel charisme ! Mais il ne doit pas être intéressé par moi, car il ne donne aucun signe d’attirance.
Moi je suis de plus en plus attirée par lui. Je dois dire que je suis sûre maintenant d’être très amoureuse.Il faut que j’en aie le cœur net. Aussi, je me dis de tenter le tout pour le tout.Le lendemain, je m’habille carrément plus sexy avec une jupe fendue derrière et très courte et petit débardeur fines bretelles sans soutif, mais avec une petite veste que je ne tarderai pas à faire tomber une fois au bureau, maquillage prononcé et rouge à lèvres pulpeux. Là, il ne peut pas manquer le changement. A nouveau petite séance de frottage dans son bureau, c’est quand même un peu bizarre que je me retrouve de plus en plus souvent dans cette position, après l’avoir longuement espéré et ne plus y croire. Je constate qu’il me fait me pencher un peu plus que nécessaire pour lire sur l’écran et je remarque un regard ou deux sur la pointe de mes seins qui sont tendus sous mon débardeur.
Oui, je suis très excitée et il pourrait faire ce qu’il veut de moi à cet instant, je serais d’accord. Mais il ne se passe rien même si en partant, je me retourne et je vois que son regard n’est pas orienté vers mes yeux, mais plutôt vers mes fesses. Ainsi, il me mate tout de même !
De retour à mon bureau, je fais des déplacements aussi inutiles que volontaires pour qu’il continue sa séance de matage. Je croise et décroise les jambes, fais tomber mon stylo et fais le tour de mon bureau pour le ramasser en prenant bien soin de dévoiler une partie de ma croupe. Dans le reflet de la vitre, je vois qu’il n’en perd pas une miette et qu’il s’est basculé en arrière sur son siège.
Le soir, ce petit jeu a été l’objet de ma séance de masturbation. J’ai tellement envie que ça aille plus loin. Mais comment m’y prendre ?Le destin va m’aider. Le lendemain, je m’habille toujours aussi sexy, chemisier léger blanc transparent, largement décolleté, soutif push-up blanc, jupe courte en daim, bottines grises. En fin de journée, on se trouve par hasard tous les deux dans le local de la photocopie, il n’y a plus grand monde dans la boîte. Florian est devant la photocopieuse et en rentrant, je reste un moment à le regarder de la tête aux pieds. Qu’est-ce qu’il est sexy dans son pantalon de costume, les manches de chemise retroussées, il a un dos et des fesses parfaites. Il ne m’a pas vue tout de suite arriver, mais il me dit être embêté pour faire l’agrafage des documents.
Je passe alors derrière lui, me collant presque le pubis contre ses fesses, mes seins effleurant son dos et ma main saisit la sienne pour lui montrer la touche agrafage. Cette position m’électrise tout le corps et je sens ma petite culotte se mouiller imperceptiblement. Lui ne bronche pas, mais quand il se retourne, je vois à la belle bosse sur son pantalon que ma proximité ne lui est pas indifférente.
Sa gêne est perceptible et il décide de sortir précipitamment du local. Une fois revenus à nos bureaux que tout le monde a désertés, il est tard, il revient vers moi et dit :
— Cécile, je suis un peu gêné de ce qui vient de se passer. Depuis quelque temps, vous n’êtes plus la même et je dois dire que ce changement me plaît beaucoup. Vous êtes heu... comment dirais-je... heu ... plus attirante. Me permettriez-vous de vous inviter à dîner ce soir, il est tard et ce serait dommage de finir la soirée toute seule.— Mais que va penser votre femme ?— Je ne suis pas marié et vous le savez bien, je sais que tous mes employés en parlent, donc vous êtes aussi au courant.— Oui je le sais, mais pour moi c’est non, j’en suis désolée, car qu’allez-vous dire si on nous voit tous les deux au restaurant ? Les ragots et puis ...— Oui effectivement je comprends votre refus et c’est plus raisonnable, vous avez raison. Je pense que ce ne serait pas raisonnable, même si nous ne ferions rien de mal. Oubliez. Il nous faut rentrer maintenant. Voulez-vous que je vous raccompagne ?— Non j’ai ma voiture merci. A demain Florian.— A demain Cécile, passez une bonne soirée.
Là je ne sais pas ce qui m’a pris, je lui donne un baiser à la commissure des lèvres en guise d’au revoir.Une fois chez moi, je repense à la fin de journée et je me dis quelle conne tu fais, tu viens de refuser une invitation à dîner par le mec qui te fait le plus fantasmer en ce moment, mais pourquoi ? Dans quel état il doit être le pauvre. Moi je ne tarde pas à me branler sous la douche en repensant à la bosse qui déformait son pantalon. J’ai tellement envie de sentir cette queue en moi, si seulement j’avais pu accepter sa proposition, je serais en ce moment dans ses bras et il me prendrait intensément, sensuellement et avec toute sa virilité.
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