Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 180 J'aime
  • 3 Commentaires

Mon beau-père fait mon éducation sexuelle.

Chapitre 13

Sodomie douloureuse

Hétéro
Beau-papa
Chapitre 13
Vous vous souvenez ?
Ps : Cette histoire date de quelques années. Quelle n’a pas été ma surprise quand mon gynéco a dû prendre un successeur et que je suis tombé sur Claude. Son physique s’était bien amélioré. Le jeune homme que j’avais connu s’était bien étoffé.J’ai eu droit à une visite médicale très « poussée » et je me demande si là aussi, il n’y avait pas eu du changement. Les souvenirs sont si trompeurs... Mais quand il a voulu me sodomiser, je n’ai pas pu l’accepter. Il va falloir que je m’entraîne avant mon prochain rendez-vous pour renouveler l’exploit réalisé chez Monsieur Paul...
— Ha ! Oh ! Han ! Arrête... Je n’en peux plus ! Ta belle grosse queue me fait tellement mouiller.

Mais il continue de me pilonner, ses coups sont puissants. J’ai l’impression qu’il va déchirer ma chatte. Sa bite est si grosse qu’elle me fait mal, mais c’est la meilleure douleur que je n’ai jamais ressentie alors, je m’empale à nouveau dessus.Ses coups de queue et mes mouvements de bassin me font exploser de plaisir. J’arrive à me caresser le clito, restant un moment immobile, sa queue au fond de moi. Je réalise qu’il n’a toujours pas joui. Ça c’est un étalon !
Suite :Je fatigue, mes jambes faiblissent, il est décidément trop long à décharger. Je sens enfin sa teub grossir, se raidir si c’était encore possible. Je contracte les muscles intimes de mon vagin comme si je voulais traire le pis d’une vache. J’en frissonne, mon cœur s’emballe à nouveau, je décolle encore une fois, criant ma jouissance. Sa fougue me rend folle. Je l’entends gémir, grogner, son sexe prisonnier de ma chatte se contracte, effectuant quelques soubresauts. Ses doigts s’enfoncent dans mes hanches, sa semence ne tarde pas à monte et je sens mon ventre se remplir de son sperme. Il râle et gémit très fort, des jets à hauteur de la bête inondent ma chatte d’une quantité telle que chaque poussée de son rostre fait gicler le surplus.
— Tu es une sacrée coquine. Tu sens l’effet que tu as sur moi ?

Claude se retire et plonge sa tête entre mes cuisses pour me lécher la minette, s’abreuvant de toute ma mouille mêlée à son foutre. Il me titille la pastille comme un mort de faim et j’adore !Je peine à relever la tête pour voir la langue râpeuse démon bel étalon me laper la chatte, tant en surface qu’en profondeur. Son appétit pour mon fruit d’amour semble intarissable. Il se tourne. J’avance ma tête jusqu’à frôler sa queue pour que ma langue glisse lentement le long de cette magistrale hampe toujours dressée dont je n’épargne aucun millimètre, même ses couilles sont passées en revue pour son plus grand plaisir. Son sperme épais, bien blanc a laissé de longues traînées sur sa hampe à peine moins raide. Je lèche minutieusement chaque goutte de son foutre.
J’ai envie de le reprendre en bouche, il m’excite trop et cette queue a comme un goût de « revenez-y ». Je m’appliquais à le lécher sur toute la longueur de sa tige, je lui bouffe les couilles, passant ma langue sur les bourses, puis en prenant un testicule à pleine bouche, je le fais aller et venir entre mes lèvres en produisant des bruits de succion délicieusement dégueulasses. Quand la couille est bien calée dans ma bouche, je reprends les léchouilles très chaudes en branlant le mât de misaine.Je sais que les mecs adorent. Il râle de plaisir.
Je le branle lentement de mes deux mains, faisant tourner ma langue autour de son gland dans ma bouche. Il a un soubresaut, j’ai touché un point sensible, je continue sans m’arrêter de le pomper et de le branler. Ma tête va-et-vient très vite sur sa colonne de chair brûlante que je ne peux tout avaler et que par un haut-le-cœur, je recrache en toussant.
— Tu es très douée comme branleuse, ça te plaît hein de faire juter les mecs ? Putain tu mouilles encore ! Tes seins sont tous tendus, tes tétons sont tous durs, ils pointent à mort.

Ma chatte projette une quantité de mouille directement dans sa bouche. Mais je ne veux plus me contenter de sa bouche sur ma fente, je réclame plus. Alors je pivote sur moi-même, enjambant le bel étalon. Sa belle queue darde à la verticale entre mes cuisses. Je me laisse descendre lentement en écartant et cambrant les fesses, je me saisis de son dard tout en même temps, jusqu’à ce que son gland heurte ma vulve. Nous échangeons alors un regard complice quand je sens le bout de son membre dur et épais glisser en moi, écartelant mes chairs.
— Oh Claude, punaise, ta queue est énorme ! Oh oui, mon beau, défonce-moi encore la chatte !
Comblée et remplie alors que je n’ai que la moitié de sa verge en moi, je recommence à monter et descendre tout doucement sur ce membre de bête de foire.
— Baise-moi ! Je veux sentir ta belle queue en moi.

Mais il me repousse, écarte mes fesses en grand et enfonce sa langue dans mon cul. Je lâche un cri de surprise, puis un long gémissement de plaisir.
— Lucie, je peux te prendre le cul ?— Euh... Oui, mais va doucement tout de même ! Il y a déjà quelques années que ta poutre n’est plus passée par là, et Ben et son copain ne sont pas là pour ouvrir la voie.— Attends !! Je vais te la préparer !!

Je m’étends sur le divan, jambes écartées, il pose sa tête entre mes cuisses et commence un léchage merveilleux. Je sens soudain son pouce enduit de salive glisser dans mon cul. Je me mets à gémir. Il y a quelque temps que je ne me suis pas fait bouffer le cul de la sorte. L’idée de recevoir son énorme queue dans mon œillet me fait peur et m’excite à la fois.Claude me dévore l’entrejambes tout entier, me collant deux ou trois claques sur la fesse droite, histoire de m’exciter un peu plus si cela était encore nécessaire. Je suis offerte...Un dialogue bizarre s’engage :
— Pour ne pas que je te déchire, je te propose que tu t’empales sur ma queue toi même.
Claude s’est étendu sur le sol, je l’enjambe et saisis son monstrueux engin, le positionnant contre mon anus et commence à faire descendre mon corps sur le manche.Je sens son gland toucher ma rondelle, puis essayer de la forcer. C’est terrible, je grimace, mais ne rends pas les armes et insiste en agitant mon bassin. Claude trempe ses doigts dans le sperme expulsé de sa queue et m’en badigeonne la rondelle, il me fouille l’anus et réenfonce ses doigts pour dilater le rectum du mieux qu’il peut.
— Voilà vas-y ! Recommence !
Je replace son défonce-cul contre mon anneau ridé et pousse, mon sphincter s’écarte et cède, la douleur est atroce, je hurle, mais mon temple s’écarte doucement et avale lentement ce boa, l’enfonçant irrémédiablement dans le conduit distendu.
— Ça va ? Tu tiens le choc ?
Je n’ai pas la force de répondre. Son rostre ne cesse de progresser entre mes fesses. Les larmes coulent en abondance sur mes joues, j’ai les yeux exorbités, mon fion distendu à l’extrême enveloppe le morceau de chair qui le remplit. La sensation est terrible, je couine davantage.J’ai le cul en feu, je gémis, Claude en profite pour m’enfoncer deux doigts dans la chatte et à la fouiller profondément et commence à s’agiter.
— Aiiie !! Non pas encore mon chéri, laisse-moi m’habituer à ton engin !!

Je m’immobilise un instant. Apres un bon moment de répit, je commence à bouger très lentement mon bassin. La douleur s’estompe un peu, je prends appui sur mes mains et commence à monter et descendre sur son pieu, la bouche ouverte, la faisant disparaître à moitié en moi, je grimace, je souffre le martyre et serre les dents, mais je veux cette queue en moi, je veux m’empaler plus profond sur la grosse queue de mon jeune étalon. Encore un coup et j’y suis !
Je prends une grande respiration, la bouche grande ouverte jusqu’à ce que je sente son pal en butée sur mes fesses, j’ai les yeux écarquillés, mon anus est au bord de la rupture, je souffle comme une bête. J’ai enfoncé son chibre tout entier dans mon cul jusqu’à des profondeurs que seul son membre a déjà visitées. Maintenant, je me pilonne les entrailles, vacillant à chaque enfoncement.
Son monstre est toujours aussi raide, j’ai le cul en feu, j’augmente la vitesse, Claude me tire par les hanches à chaque pénétration pour que ses couilles bien pleines viennent en contact avec ma fente.
Avec douceur, il me force à m’allonger sur le flanc droit, cuisses serrées, il me laboure le cul, ses doigts toujours dans ma chatte, sentant aisément sa queue à travers la fine paroi.Etre prise par ses deux trous est un immense plaisir, son chibre voyage maintenant plus aisément en moi, j’ai l’impression d’être une véritable chienne et je grogne comme elle.Quel pied de sentir à chaque fois son chibre épais investir mon antre. Il me pilonne désormais à grands coups de queue. J’écarte les cuisses et tire sur une fesse à l’aide de ma main gauche pour qu’il me pénètre à fond, m’offrant à lui.
— Toujours aussi salope... huuummm !!— Ouuuuuuuuuuuuuui ! Putain ce que je déguste !

Il reprend ses va-et-vient, en augmentant le rythme, il me bourre comme une chienne, sa chienne, je geins de plus en plus fort, je me crispe, me cabre et hurle de jouissance. Ma cyprine gicle et tombe sur le sol en formant une petite flaque.Il se bloque enfin et envoie de puissantes décharges au fond de mon rectum, graissant généreusement mes boyaux. Il ne cesse de se vider dans mon cul de son sperme épais et gluant.
Je croyais que la séance était terminée, mais que nenni... Par trois fois, je suis encore passé à la casserole avant que ce « mâle dominant » ne baisse pavillon au propre comme au figuré. Ma chatte et mon cul en garderont longtemps le souvenir...
Fin.
Diffuse en direct !
Regarder son live