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Mon beau-père fait mon éducation sexuelle.

Chapitre 15

Mon instrument de vengeance, Claude et sa formidable bite!

Hétéro
Beau-papa
Chapitre 15
Je me venge de ma belle-sœur. 2

— OK, c’est une belle poutre, reconnait Brigitte, je dois reconnaître que moi non plus, je n’en ai jamais vu d’aussi grosse, mais comme dit le proverbe, « il vaut mieux en avoir une petite courageuse qu’une grosse paresseuse ».
Décidément, elle ne peut s’empêcher de vouloir rabaisser Claude, mais elle ne sait pas à qui elle a affaire... Elle n’aurait jamais dû dire ça...
— Toujours à lâcher ton fiel, hein ? grommèle Claude en remarquant avec satisfaction l’effet que sa bite fait sur Brigitte. Eh bien, tu l’auras voulu, t’as jamais vu ça avec tes Jules, hein salope !

Claude prend la tête de Brigitte par les cheveux, la tire et pose sa trique sur son visage, les couilles pendantes cachant sa bouche et le gland dépassant sa chevelure.
— Suce, salope !

Suite :Brigitte se débat pour échapper à l’emprise, mais ne peut se dégager et finit par abdiquer. Elle prend ce sexe monstrueux dans ses petites mains qui n’en font pas le tour et entrouvre les lèvres, comme hypnotisée devant la chose.
— Suce-moi, Salope ! insiste-t-il en pointant sa teub vers la bouche de Brigitte et la tirant une nouvelle fois par les cheveux.
Brigitte se penche un peu et tente de prendre du bout des lèvres le champignon énorme et violacé... Lentement, elle le décalotte et commence de petits mouvements de va-et-vient pour que sa bouche prenne la mesure de la dimension du gourdin. Elle réussit à avaler le gland tout entier dans sa bouche et absorbe la grosse prune violette. Il me semble que ça doit plaire à Claude, car son mandrin grossit encore sous cette succion. Le gland vient de franchir les lèvres, elle en a plein la bouche. Brigitte réussit à faire ressortir de sa bouche le pal enduit de sa salive en appuyant fortement ses mains sur les cuisses de Claude.
— Putain de merde ! Ta queue est si grosse que je n’ai pu en goûter que la gueule !

Claude profite qu’elle a les mâchoires entrouvertes pour réintroduire sa queue qui déforme la bouche de Brigitte, croyant s’étouffer, car il pousse lentement, mais inexorablement, son sexe en avant en lui tenant l’arrière de la tête. Le gland bute enfin au fond de la gorge. Brigitte a un haut-le-cœur.

La fellation dure de longues minutes, Brigitte serre ses deux mains sur la hampe magnifique pour que Claude ne puisse pousser trop loin quand il enfonce son membre dans la bouche avant de le retirer pour en frapper le visage de Claude en prononçant quelques insanités. A chaque fois, Brigitte reprend courageusement en bouche l’obélisque, une main sur la hampe pour en limiter l’introduction et massant les testicules de l’autre. La langue glisse lentement le long de cette magistrale hampe, n’en épargnant aucun millimètre, même les burnes sont passées en revue pour le plus grand plaisir de Claude, renforcé par une branlette lente des deux mains. Au bout de quelques minutes, Brigitte cesse sa caresse. Ses yeux brillent d’un éclat de défi d’une femme sûre d’elle :
— T’es résistant putain, j’ai ton gourdin dans ma bouche et je vais bien réussir à te vider les couilles, bordel ! Je vais te pomper à fond jusqu’à ce que tu craches !
Claude en profite pour lui demander de se mettre à poil et malgré ses pics, Brigitte se désape à vitesse grand V. Il malaxe sa poitrine menue, prenant à pleine main les petits seins tout en commentant :
— Un beau petit cul, mais pas beaucoup de monde au balcon, remarque Claude, tu vas dérouiller... Putain !... t’arrête pas de sucer !
Elle lève les yeux, la joue droite déformée, ses yeux larmoyants par les assauts de la teub.
— Je vais jouir salope... et ne t’avise pas de recracher ! grogne-t-il en se branlant en laissant son gland énorme dans la bouche de Brigitte.

Sa semence ne tarde pas à monter et Brigitte est surprise par les jets qui envahissent sa bouche et se succèdent à la hauteur de la bête, la quantité est telle qu’elle ne peut tout avaler, elle est prise d’un haut-le-cœur et recrache autour du gland en toussant, mais il continue de tenir la tête de Brigitte. Son sperme épais a laissé de longues traînées sur sa main et sa hampe toujours raide.
— Même pas capable de tout avaler, t’es moins fière maintenant, nettoie proprement, petite salope !
Brigitte ne se fait pas prier et le fait avec grand plaisir après lui avoir montré qu’elle avait tout avalé en ouvrant sa bouche en grand. Elle lèche minutieusement chaque goutte du foutre qui macule la verge de Claude, mais il veut déjà passer à la suite. Brigitte a le regard fixé sur cette verge qui n’a rien perdu de sa superbe.
— Un point pour toi, petit morveux, ton outil est courageux.— Je suis bien content que tu le remarques. Parfait, mais maintenant, passons aux choses sérieuses. Viens par ici.
Claude prend Brigitte par les épaules pour la relever, la collant contre son corps pour que son sexe, oh divine caresse, frotte sur la peau dénudée de Brigitte, explore la vallée entre les seins aux tétons dressés et durs au milieu de petites aréoles roses et de la blancheur laiteuse du reste des globes mammaires. La queue dressée est maintenant pressée sur le nombril de Brigitte.Il la mène ensuite au patio et la jette sur le divan, toute flageolante, la complimentant par un :
— J’ai déjà connu quelques salopes dans ma vie et sans aucun doute, tu en fais partie. Quand j’en aurais fini avec toi, tu en seras la reine.
Il lui pelote les seins puis lui introduit un Plug au fond de sa croupe sous les cris de protestation de Brigitte.
— Eh ! Mais tu te prends pour qui ?

Mais Claude ne cherche même plus à prendre des gants avec elle. Il s’approche d’elle, écarte les lèvres intimes de son gland qui repousse les chairs, passe un premier obstacle puis pénètre doucement. Gros comme il est, il sait qu’il faut de la douceur, voire de la prudence, elle doit ressentir l’empalement sur ce pieu dantesque. Ses grandes lèvres à peine dessinées sont entraînées par ce bélier et forment une dépression sous la poussée inexorable de cette matraque aux dimensions colossales. Je me rapproche à moins de vingt centimètres de cet incroyable spectacle.Brigitte essaie à la force des bras de se soulever de peur qu’il ne la déchire. La peau tendre de sa vulve épouse sur plus de deux centimètres le chibre si épais. Il se retire un peu pour que son coquillage passe de cratère profond à volcan à la chambre magmatique complètement obstruée par le braquemart de Claude.
— Aaaaaaaaaaaah !!! Putain quelle queue !— Tu n’en as goûté que l’avant-garde, salope, maintenant tu vas voir défiler le reste de la troupe.

La bite énorme la remplit totalement, elle ne peut se retenir de crier son plaisir (ou sa douleur), une main serrée sur la formidable verge pour en contrôler autant que faire se peut la pénétration. Claude maîtrise parfaitement sa queue. Des insultes pleuvent, accompagnées de formidables claques sur le fessier de Brigitte, et surtout de puissants coups de bélier dans la petite chatte déjà noyée de cyprine.
— Dis-moi que t’aimes ça !— Ouiii j’aime ...ça, mmmpppfff... Doucement bordel !!! Je n’aurais jamais cru accepter une telle matraque.— C’est moi qui commande ! Comme t’es vraiment une grosse cochonne, je vais te faire couiner comme une truie ! Tu es béante, mais je rencontre un peu de résistance !

Elle essaie d’être la plus réceptive possible. Claude agrippe les jambes de Brigitte et les pose sur ses épaules, s’offrant une voie royale dans la chatte luisante de cyprine. Il soulève le bassin de Brigitte pour mieux faciliter l’envahissement et pousse toujours. Brigitte est comblée, remplie au-delà du possible, mais pourtant sa main, toujours agrippée au pénis, elle constate qu’une grande partie du membre n’est pas entrée.
— Baise-moi ! Oui, baise-moi comme une salope !!!
C’est sorti tout seul, la sueur commence à couler sur son visage, ses seins tandis que Claude pilonne sa chatte.
A suivre...
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