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Mon beau-père fait mon éducation sexuelle.

Chapitre 17

Je me venge de ma belle-mère

Hétéro
Mon beau-père fait mon éducation sexuelle. 17
Ma belle-mère, dernière vengeance.
Pour comprendre ce qui va suivre, il faut lire, (ou relire) les premiers épisodes de : Mon beau-père fait mon éducation sexuelle.
Un petit résumé succinct : Bruno, mon ex-mari, me trompait comme pas permis. Au lieu de me soutenir, ma belle-famille me rabaissait plus bas que terre, surtout ma belle-sœur Brigitte, et ma belle-mère Léonie, avec des arguments assez hypocrites pour rejeter la faute sur moi, critiquant ma façon de m’habiller et assurant que si un homme va voir ailleurs, c’est que sa femme ne sait pas s’y prendre pour le retenir.Jean, mon beau-père, a été le seul à me soutenir, allant même plus loin. Il a fait mon éducation sexuelle et m’a fait découvrir ce qu’est « le sexe ». Ce que n’a jamais réussi à faire son fils Bruno.Avec lui, puis avec d’autres hommes qu’il m’a présentés, je connais enfin l’orgasme et le plaisir d’être bien baisée.Je me suis déjà vengée de ma belle-sœur Brigitte. L’idéal, maintenant, ce serait de faire de même avec ma belle-mère (ex), Léonie.
Ma belle-mère est une splendide femme dans la cinquantaine flamboyante avec une chevelure de lionne. Je sais qu’elle va régulièrement chez une amie esthéticienne pour raffermir ses traits, enlever quelques rides, des bains de vapeur, le froid, des massages pour essayer de rester une femme désirable.Elle a pris rendez-vous samedi pour des soins esthétiques, je connais bien l’esthéticienne qui me doit un service. C’est là que je vais la piéger.
— Vous avez rajeuni, Léonie, les soins portent leurs fruits, la flatte Sandrine son esthéticienne. Excusez-moi pour ce bruit dérangeant, une consœur s’occupe d’un client dans la pièce d’à côté et je me demande bien ce qu’elle lui fait subir.

Léonie est intriguée par ce bruit inhabituel, des soupirs, des grognements. Elle se rhabille à la fin de ses soins et gagne la porte. En passant dans le couloir, elle jette un œil dans la pièce d’à côté dont la porte est volontairement entrebâillée. Et que découvre-t-elle ? Mon beau-père, Jean en train de me baiser en commentant allègrement.
— Tes grossesses ont eu un bon effet, elles t’ont ouverte, et je sais que le petit Claude a su en profiter sans difficulté (lire les aventures de Claude : « Le nouveau mâle dominant », et ses suites) et t’a fait jouir pendant des heures. Lui au moins, malgré son jeune âge, est un vrai homme monté comme un dieu. Il a su te donner tout ce que tu demandais, ce que n’a jamais réussi à faire mon abruti de fils...

La porte gicle contre le mur quand Léonie entre comme une furie dans la pièce en s’exclamant:
— Mon Dieu Jean ! Oh c’est pas vrai ! Pas toi ! Mais comment peux-tu me tromper ?
Ce n’est qu’à cet instant qu’elle me reconnait et comprend le sens des paroles de son mari.

— Lucie ?!?! Mais... Espèce de salope ! Comment peux-tu me faire ça? Et toi, Jean... Me faire cocu avec la mère de tes petits enfants ! Quelle humiliation !

Je la regarde d’un air méprisant, riant sous cape, pendant que Jean dégage sa bite toujours tendue de mon sexe.Elle s’approche et nous gifle plusieurs fois et au passage me pince violemment les tétons. Je hurle sous le coup de la douleur et lui retourne ses gifles. La méchanceté se lit sur son visage. Elle attrape la ceinture du pantalon de Jean pour nous cingler le corps de coups violents, mais Jean lui saisit le poignet et la force à lâcher la ceinture de cuir. Je peux enfin lui déverser mon fiel :
Si un homme va voir ailleurs, c’est que sa femme ne sait pas s’y prendre pour le retenir. Ce sont bien vos paroles, belle-maman ? Ça fait mal, hein ? Surtout que Jean est un sacré baiseur.
Au moins lui, il a su me faire jouir, pas comme ce connard de Bruno. Je me demande ce que lui trouvent ses conquêtes ? Et vous devriez vous faire baiser aussi par Claude dont il vient de parler, vous sauriez au moins une fois dans votre vie ce que c’est de se faire prendre par un étalon. Je suis même sûre que Jean adorerait vous regarder souffrir sous le joug de cet amant extraordinaire.
Léonie est tellement sur le cul par ma répartie que ça lui coupe le sifflet. Elle se retourne et s’enfuit comme si le diable la poursuivait. Jean, fier que notre piège ait si bien réussi, rigole du comportement de sa femme. Il est bien content pour une fois de lui rabattre le caquet. Sans se démonter, il me « remonte », si je puis dire et termine ce que sa femme avait interrompu.Avant de nous quitter, je lui demande ce qu’il va faire en rentrant chez lui, il me répond du tac au tac :
— Ne crains rien, je sais comment la prendre... Tu m’as donné une idée. Je vais prendre contact avec Claude et organiser une petite partie fine, mais sans le dire à Léonie, elle aura la surprise. Si tu veux, je mettrai des caméras pour que tu ne rates rien.

Il lui a fallu quelque temps pour rentrer dans les bonnes grâces de sa femme, mais c’est un homme assez persuasif. J’en sais quelque chose, car, il y a quelque temps, en quelques phrases, il a réussi à me désinhiber au point que j’ai fait avec lui, puis avec d’autres amants, ce que je n’ai jamais autorisé à mon ex-mari.Un jour, je reçois un SMS, Jean me dit de venir et de rester cachée dans son atelier. Je m’y rends à l’heure dite et tombe sur un ordi où je peux visionner en direct les caméras qu’il a installées.Je découvre leur chambre, Jean est en train de pousser Léonie sur le lit, elle s’y oppose un moment, mais je vois bien que c’est un baroud d’honneur. Elle cède très vite.
— Tu es quand même un sacré salaud de rendre cocu ton fils, même s’ils ne sont plus ensemble, et moi dans la foulée. Je n’aurais jamais cru que Lucie puisse se comporter comme une vraie petite pute, elle cachait bien son jeu, celle-là !— Ferme-la ! La coupe Jean, Bruno n’est qu’un petit con, et Brigitte ne vaut guère mieux, ils pètent plus haut que leur cul, tes enfants. Et toi qui ne veux que des relations vaginales, aucune fantaisie. Pas de relations buccales ni anales, tu veux dans toutes les circonstances dominer la situation, tu crois que c’est mieux ? Il faudrait que tu te lâches, que tu te libères, vivre tes envies les plus tordues, ou accepter celles des autres, le sexe est un exutoire. Les femmes sont faites pour aimer et vivre les désirs inassouvis.— Comment peux-tu dire des choses pareilles ? Tu veux dire que je suis trop rigide ? Mais je ne sais pas si j’accepterais la moitié du quart de ce que je fantasme ou de ce que tu désires. Il y a une grande différence entre y penser et passer à l’acte. Lui rétorque Léonie.— Si tu l’acceptes pour une fois, je vais te libérer de ta morale de bonne-sœur pour ton plus grand plaisir, je vais te démontrer que ce que tu estimes impur est ce qui est le meilleur dans le sexe. Lucie en est la preuve. En un rien de temps, cette fille effacée et innocente est devenue une femme libérée et épanouie.

Je regarde sur l’écran Jean dans la mi-pénombre de la chambre qui a fait les premiers pas pour la mettre en confiance, il commence à déshabiller Léonie. Elle a des formes agréables, des seins encore faits pour l’amour. Arrivé à ce point, il sent qu’elle est à sa disposition et qu’il peut tout exiger d’elle.Jean lui baisse sa culotte pour dévoiler des fesses charnues. Il plaque une main sur sa chatte couverte de longs poils et avec l’autre main, commence à la fesser légèrement. Elle se laisse faire et je vois sa chatte commencer à mouiller. Il continue la fessée, montant crescendo en faisant attention à ce que le désir de Léonie monte lui aussi.
— Oh, oui, prends-moi... Donne-moi ce plaisir que je n’ai jamais voulu connaître, fais de moi ton amante, ta salope préférée... Donne-moi des orgasmes, fais-moi découvrir le véritable amour, découvrir LE sexe ! Pour aujourd’hui, je te laisse carte blanche.

A cette réponse, Jean sait qu’il a maintenant l’avantage et peut lui demander presque n’importe quoi. Il a sorti sa bite dure comme un roc et Léonie l’a remarquée.
— Jean, tu as une si belle bite. Je ne te l’ai jamais dit, mais j’aime les hommes bien montés, comme toi.

A suivre...Ps : A la fin du quatrième épisode de cette nouvelle histoire, vous aurez le choix entre continuer de fantasmer sur mes textes ou alors de voir sur quoi je me base pour écrire mes histoires.
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