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Mon beau-père fait mon éducation sexuelle.

Chapitre 20

Ce gosse est un sacré étalon reproducteur

Hétéro
Mon beau-père fait mon éducation sexuelle. 20
Ma belle-mère, dernière vengeance.

Il me présente sa queue à sucer pendant qu’il lui élargit la rondelle avec ses doigts. Quand son défonce-cul est bien lubrifié de ma salive, sa teub quitte ma bouche. Il la présente devant l’anus et la promène le long du sillon des fesses plusieurs fois puis Claude commence à la pénétrer doucement. Lorsque le gland réussit à forcer le passage et que son sexe l’embroche, elle pousse un cri, ne s’attendant pas à ressentir à nouveau une telle douleur.
— Aaarrrgghhh ! Mais qu’est-ce que tu m’enfiles dans le fion ? Comment ta queue peut-elle être encore plus grosse et plus dure ? Oh bordel... Que ça fait mal ! Tu vas me blesser ! Nooonnn !

Suite :Il la laisse s’habituer à la présence de son vit, un peu écorché par l’effort fourni puis commence des mouvements de va-et-vient toujours plus profond. Il faut un long moment à Léonie pour que la douleur laisse lentement place à de petits cris d’aise qui progressivement se transforment en jouissance.
Claude se penche sur elle, met les mains sur ses seins et la force à se redresser. Il aime beaucoup cette position où la femme est entièrement soumise à son bon vouloir, il lui pétrit les seins aux gros tétons qu’il aime travailler et étirer et en pince les bouts durcis sans tenir compte de ses cris de douleurs et de protestation.
Jean s’approche et l’embrasse sur les lèvres. La bouche s’ouvre et sa langue glisse dedans, rencontrant celle de sa femme. Jean descend sa bouche vers un mamelon érigé et commence à le sucer. Elle écrase le visage sur ses seins.
Léonie a découvert ce qu’est un VRAI mâle, elle se fait jouir, ne se souvenant pas d’avoir connu de tels orgasmes comme sur ce membre aussi grosClaude s’est allongé, Léonie le chevauche, les cuisses écartelées, et s’en prend maintenant plein le vagin, le gland appuie un peu plus fort contre l’utérus, la hampe écartèle son conduit comme jamais. Elle ne connaissait pas cette sensation divine d’être perforée à ce point. Ses orgasmes s’enchaînèrent, elle tressaute sur lui, prenant son pied en le chevauchant.
Je ne résiste plus et veux prendre ma part. Je la force à libérer la force virile de cet étalon et redécouvre l’effet de se prendre un tel chibre, encore plus imposant, c’est un véritable feu d’artifice, je m’éclate la chatte sur ce membre dressé si dur, si long, si gros...Je change de posture, me place en levrette, il me prend sans même marquer un arrêt, me portant rapidement à l’orgasme, scandé par mes cordes vocales, rudement mises à l’épreuve, car la violence de ses poussées est monstrueuse.Léonie reprend son souffle en nous regardant, une main dans sa chatte douloureuse, elle se fait du bien... Un véritable pousse-au-crime, un appel au mâle d’une jument en chaleur.
Claude étendu sur le dos la voit offerte, les cuisses grandes ouvertes. Pendant que je m’éclate la chatte sur sa formidable trique. Léonie s’accroupit sur sa tête et il lui dévore maintenant la chatte de sa bouche, la portant très vite au nirvana...
C’est un combat de chattes et d’anus dilatés, nous nous relayons et sa verge change régulièrement d’orifice, glissant langoureusement entre les fesses offertes, d’un trou ridé à une fente trempée de cyprine, et tandis que nous jouissons dans un concert de râles, de gémissements et de plaintes félines, sous des torrents de paroles crues et de gémissements, lui a toujours cette érection qui décidément, ne veut plus cesser, nous remodelant l’anus ou la cramouille.
On est sur les genoux et nous avons beau nous échiner, nous n’arrivons pas à le faire jouir.Nous nous relayons maintenant pour le branler et le sucer. Léonie me cède la place et mes lèvres charnues glissent sur l’engin, mais la taille et surtout la grosseur sont si imposantes que je ne peux que lécher ce gland et cette hampe magnifiques, me partageant la tâche avec Léonie, savourant les caresses multiples de Claude sur nos poitrines pendant qu’entre nos cuisses, des torrents de cyprine s’écoulent abondamment...
Claude se surpasse, calme, les mains sur nos têtes, proche de l’extase, il commence à râler, une véritable mélodie du bonheur...Nos ébats se terminent, on est vannées, mais il faut terminer la tâche. Il nous repousse, le pieu au garde-à-vous et va s’asseoir dans un fauteuil. Il se lâche enfin, emporté dans un troisième orgasme étourdissant, une main sur la tête de chacune de ses prêtresses de l’amour attendant le miracle. Claude nous empêche de tenir sa queue qui s’exprime seule par les contractions de la jouissance.
Sa lance monte et baisse au rythme de ses éjaculas. Il se vide, en jets longs et puissants dont le premier est monstrueux.Jean a pris mon Smartphone depuis un moment et filme en gros plan ce sexe énorme qui nous pistonnait en cadence il y a quelques instants. Jean filme aussi nos chattes entrouvertes puis les mains de Léonie qui caressent maintenant les bourses d’un Claude dont la verge hyper-congestionnée ne veut décidément pas débander. Devant la véritable extase de Léonie devant ce spectacle, je m’exclame :
— Décidément, je suis tombée dans une famille de dégénérés immoraux et lubriques. Bande d’hypocrites, je comprends mieux pourquoi Bruno me trompait. Il suffit de vous faire voir une chatte pour lui, ou une queue pour vous pour que vous ne puissiez pas résister. Léonie, tu es encore pire que ta fille Brigitte, car elle aussi elle a adoré se faire troncher par Claude ! Ça ne l’a pas dérangée longtemps de faire porter des cornes à Anthony.

Deux minutes plus tard, Anthony déboule dans la pièce, si furieux que si Jean ne l’avait pas retenu, il en serait venu aux mains avec Claude. Il hurle :
— Je suis allé chercher un outil dans l’atelier et j’ai entendu l’ordi. Aux gémissements, j’ai tout de suite réalisé que c’était un porno. J’ai cru que c’était Jean, qui, surpris par mon arrivée, s’était éclipsé en douce. Mais quand j’ai vu les protagonistes, j’étais scotché. Lucie a raison, pas un pour rattraper l’autre ! Mais quand elle a dit que Brigitte avait déjà tâté de la queue de ce petit con, je suis devenu comme fou.

Anthony arrive à se libérer des bras de son beau-père et quitte la pièce. J’espère qu’il se calmera avant de retrouver Brigitte.
Il a fallu à Claude bien vingt minutes pour débander avant que je ne puisse lui retirer l’anneau.Jean nous appelle et nous fait voir la dernière éjaculation de Claude. Ce gamin est extraordinaire, car bien que ce soit la troisième fois qu’il jouisse après les deux premières très abondantes, ce que je vois me rend perplexe et admirative.Jean repasse au ralenti la mini-vidéo, je vois le premier jet de ce jonc massif en pleine liberté s’élever dans les airs et retomber en grosses gouttes à plus de deux mètres. Le deuxième jet est moins puissant, mais c’est un filament de presque quatre-vingts centimètres qui s’envole en une courte parabole, suivi d’autres jets encore nombreux, mais plus faibles. Quand vous voyez certains hommes cracher quelques gouttes qui suintent sur leur gland, ce gosse est un véritable phénomène.
Jean m’a dit plus tard qu’il a posté la vidéo sur le Net en l’intitulant : « Belles éjaculations au ralenti » et qu’elle a été visionnée pratiquement 40 000 fois***. Je suis allé voir sur mon ordi, espérant réussir à la dégoter parmi la myriade de vidéos amateurs, sans même aller sur un site dédié. Quelle n’a pas été ma surprise en la trouvant en numéro un !!! Heureusement que ce n’est pas un plan large, sauvegardant notre anonymat !
—*Comme on dit, une mauvaise photo est plus parlante que la meilleure des descriptions.
Pour les lectrices et lecteurs intéressés, vous pouvez suivre le lien dans le texte qui leur permettra de se rendre compte dans de petites vidéos, ce que j’entends par: une verge d’une épaisseur (regarder les 10 premières secondes de ; compil en slip) peu courante et une éjaculation si puissante que les jets de sperme s’envolent à plus de deux mètres. A vous de voir si vous préférez fantasmer sur mes écrits ou comprendre pourquoi dans pas mal de mes textes, le héros est si « bien monté » et aussi prolixe.—**Vrai ou faux ? La réponse est au bout de vos doigts.
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