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Mon beau-père et moi

Chapitre 2

Hétéro
Après notre étreinte nocturne, l’ambiance fut assez pesante entre mon beau-père et moi, le sentiment d’avoir fait quelque chose de répréhensible de son côté et la peur que ma mère apprenne quelque chose du mien prédominait. Je cherchai à l’éviter tandis que dans ses paroles se dégageait un sentiment de crispation.Un mois plus tard, tout semblait être redevenu comme avant, comme si ce qui s’était passé pendant cette fameuse nuit n’était plus qu’un souvenir qui ne se reproduira plus. Plusieurs mois passèrent sans aucune ambiguité de notre part. Mais les vacances arrivent... avec tout ce que cela implique.
Cette année ma mère et mon beau-père ont loué une petite maison au bord de la mer et à cinquantes kilomètres de chez nous pour la dernière quinzaine de juillet alors que je me suis dégoté un job d’été de serveuse dans un bar tout pourri à Rennes. Il n’y aura donc pas de vacances pour moi cette année à mon grand regret. Ma mère m’a bien proposé de venir passer le Week-end dans la maison de vacances mais je n’en suis pas vraiment très enthousiasmé, je pense avoir en effet passer l’âge d’aller en vacances avec eux et je sens que je vais plus m’y ennuyer qu’autre chose. Seulement voilà, les semaines passent, mon job est éreintant, je commence à en avoir plus qu’assez d’être enfermée en pleine ville et j’ai vraiment envie de me prélasser sur la plage. J’appelle donc maman pour lui demander si ça ne la dérange pas que je vienne y passer le Week-end avec ma meilleure copine Géraldine, il n’y a pas de problème, ils nous recevront avec grand plaisir.
Nous arrivons le vendredi soir vêtue de petites robes d’été aux couleurs vives. Après avoir défait nos bagages et prit possession de la chambre que nous allons partager pendant deux jours, nous passons à table. L’ambiance est détendue, nous parlons de tout et de rien, de nos boulots, des vacances, des projets à venir, le tout en dégustant une bonne salade mozzarella. J’ai fait le vide dans ma tête, ma relation avec mon beau-père n’est plus qu’un lointain souvenir, je n’ai plus envie d’y penser, ou plutôt j’essaie... Je dine à côté de mon beau-père et face à ma mère alors que Géraldine se trouve face à mon beau père et à côté de ma mère.
Le diner se passe normalement, nous rions, Géraldine est d’ailleurs très joviale ce soir, un peu trop même. Laissez-moi d’abord vous la présenter ! C’est une grande blonde très fine avec de magnifiques yeux bleus aussi clairs que l’océan, elle est typée néerlandaise. C’est une fille aussi douce et charmante que redoutable lorsqu’elle désire quelque chose, c’est d’ailleurs cette option de sa personnalité qui est en veille pendant ce diner. Je remarque qu’elle échange des regards complices avec mon beau-père et qu’elle ne le laisse pas indifférent, je n’y prête pas vraiment attention car je sais que mon beau-père aime séduire constamment mais sans forcément chercher à concrétiser, un peu à l’image d’un homme politique qui cherche à être constamment en représentation et à sonder ses interlocuteurs. Seulement voilà, à mon plus grand étonnement le problème n’est pas mon beau-père ! Géraldine le dévore des yeux depuis plusieurs minutes d’un regard on ne peut plus explicite en les plissant comme une midinette en chaleur et en dégustant son verre de vin de façon on ne peut plus lascive. Cette allumeuse est en train de léchouiller les rebords du verre ! Non mais pour qui elle se prend cette pétasse ? Elle ose allumer mon propre beau-père là comme ça devant moi ? Elle pense que je vais me laisser faire et lui laisser me le voler ?
Je la regarde avec des éclairs dans les yeux, je voudrais lui crever les yeux si je le pouvais. Elle le remarque mais n’y prête même pas attention. Mes nerfs bouillonnent, j’ai tellement envie de lui dire ce que je pense d’elle mais ne vais-je pas risquer de déclencher un scandale avec ma mère ?Je décide de prendre alors sur moi et d’attendre la fin du repas pour lui dire tout le bien que je pense de son comportement de nymphette en chaleur. Mais j’ai comme une impression bizarre, je remarque Géraldine se raidir sur son siège et mon beau-père la déchirer du regard. Quelque chose se passe sous la table, oui ça ne fait aucun doute ! Et ma mère qui ne voit rien....Je fais alors tomber ma fourchette délibérément et que vois-je ? Géraldine qui a retiré ses sandales caressant la jambe de mon beau-père qui lui semble se laisser faire avec plaisir....Je ne peux plus rester sans rien faire, je vais montrer à cette radasse de quel bois je me chauffe, je ne vais pas la laisser me piquer mon beau-père devant moi sans réagir ! Je prends une grande respiration et me relève l’air déterminé.
— Tout va bien Louise ? Me demande ma mère.— Ça va très bien maman.
Je lui réponds en posant discrètement ma main sur la cuisse de mon beau-père, heureusement que la nappe permet de masquer en grande partie ce que je vais faire. Ma main caresse en effet le bas de la cuisse de mon beau-père qui tourne instantanément mais discrètement son regard vers moi. Il ravale sa salive, nos sièges sont très rapprochés de la table, ce qui permet de ne pas se faire griller par ma mère. Je ne sais pas si Géraldine continue son petit manège mais peu m’importe, ma main remonte doucement sur la cuisse de mon beau-père qui vient poser également sa main sur la mienne pour me faire comprendre qu’il apprécie et m’encourager à continuer.
Mes nerfs se sont calmés, je n’en veux même plus à cette catin de Géraldine, ce petit jeu m’excite énormément et réveille en moi toutes les sensations éprouvés durant cette fameuse nuit où mon beau-père est venu me baiser dans ma chambre. Je remonte doucement sur son entrejambe pour venir palper son sexe à travers son pantalon en velours, il est déjà bien dur le cochon ! Sentir cette bonne bite qui m’a déjà pénétrée et remplie la chatte me provoque une boule de chaleur dans le bas ventre. A voir le regard de Géraldine elle semble continuer à jouer avec sa jambe mais qu’importe, je suis persuadée qu’il bande pour moi et pas pour cette blondasse ingénue. J’entame des mouvements circulaires sur son sexe et le palpe pour le garder dur sous ma main. Son pouce caresse tendrement ma main, je sais qu’il a toujours envie de moi et savoir que je peux séduire un homme d’une quarantaine d’années provoque en moi une sensation de toute puissance indescriptible.
Le repas se termine, maman demande si nous pouvons l’aider à faire la vaisselle, avec Géraldine nous partons l’aider alors que mon beau-père dit qu’il nous rejoindra dans 2 minutes après avoir passé un coup de téléphone ? Tu parles ! Il attend juste de ne plus bander avant de pouvoir se lever le cochon !Je ne dis pas un mot à Géraldine durant la vaisselle qui part se coucher avant moi alors que je partage un café avec ma mère et mon beau-père. Je prends ensuite congé d’eux et entre dans la chambre, Géraldine me regarde souriante avec son air de petite lolita innocente, ce qu’elle m’agace !
— C’était très bon, ta mère cuisine très bien Lou.— Ta gueule Géraldine, je ne suis pas d’humeur!— Hein ? Mais ça va pas, qu’est-ce qui te prend ? — Oh fais pas ton innocente, tu crois que je t’ai pas vu sous la table avec mon beau-père ?— Heu...— Et ne tente pas de nier, je déteste le mensonge.— Oui, c’est vrai, j’ai joué un peu avec lui mais il n’y avait rien de méchant, j’ai juste caressé sa jambe avec la mienne et puis tu sais que toi et moi avons toujours aimé les hommes murs. — Oui enfin là il s’agit de mon beau-père espèce d’idiote, et si ma mère t’avais vu ? T’imagines le scandale ? Ben non tu t’en fiches, c’est pas ta famille.— Bon excuse moi, j’aurai pas du faire ça c’est vrai, tu me pardonnes ?— Non, c’est trop facile.— Et puis tu m’as dit plusieurs fois toi même que le risque t’excitait, je vais finir par croire que t’es jalouse ! — La ferme Géraldine, tais toi et dors au lieu de dire des conneries.
Elle prend un air de petite fille venant de se faire gronder et se met sous les draps, quant à moi je ne peux pas dormir comme ça, je veux avoir une explication avec mon beau-père et mettre les choses au clair ! Je ne veux pas qu’il se fasse Géraldine et surtout je le veux pour moi.Je lui envoie alors un SMS clair et concis « Je veux te parler, rendez-vous dans 30 minutes à la cave. », ce à quoi il me répond peu après par un « D’accord, j’y serai. » Je ne parle plus à Géraldine durant ce temps puis me lève et sors de la chambre à l’heure fatidique.
— Je vais prendre ma douche.— Ok, j’espère que ça te calmera.— Ouais, et toi tu devrais en prendre une froide pour calmer le feu que tu as au cul.
Je ferme la porte sans la laisser répondre et m’engouffre dans l’escalier menant à la cave. Je descend tout en bas et m’assied sur le capot de sa voiture en laissant juste une petite lumière entrouverte, mon beau-père arrive quelques minutes plus tard, j’ai un pied sur le capot et l’autre à terre ; il me dévisage avec envie et vient se mettre debout face à moi.
— Tu voulais me parler de quoi Lou ?— De deux choses.— Je t’écoute. — Primo, de Géraldine. J’ai bien vu ce qui s’est passé sous la table et l’effet qu’elle te faisait, pourquoi tu ne l’as pas repoussé ? — Pour ne pas vexer d’une part, ce n’est qu’une gamine de même pas 19 ans encore, elle est comme toi et cherche juste à tester son pouvoir de séduction sur les hommes. D’autre part, elle est très charmante et ce n’était pas déplaisant. Et puis elle n’a rien fait d’extraordinaire, elle m’a juste caressé la jambe, ce n’est vraiment pas grave.— Et si elle voulait faire plus, si elle te demandait de coucher avec elle ?— Je ne pense pas que je le ferai, en tout cas pas ce week-end, le contexte est trop compliqué.— Ok.... elle t’excite plus que moi ?— Franchement... non, j’ai un tel désir pour toi depuis déjà pas mal de temps que je ne vois pas comment ta copine pourrait m’exciter plus que toi.— Bien, me voilà rassurée. — Et la seconde chose dont tu voulais me parler ?— Et bien.... j’ai envie de baiser avec toi là maintenant, sur ta bagnole.— Heu, tu sais je viens de te dire que le contexte était compliqué, entre ta mère et ta copine juste au-dessus.
J’écarte alors ma jambe se trouvant sur le capot de la voiture en remontant un peu ma robe pour lui montrer ma petite culotte rose bonbon tout en passant la main dessus et en lui demandant :
— Et comme ça ? Le contexte est toujours compliqué ?
Il me regarde, s’approche et en guise de réponse s’agenouille en déposant en bisou sur le tissu de ma culotte, je passe ma main sur sa nuque et me laisse aller à ses caresses, sa langue s’affole sur le tissu qu’il humidifie de plus en plus pendant que je gémis au rythme de ses caresses buccales. Le tissu de ma culotte est déjà de trop pour moi, je lui écarte et lui offre ma petite chatte intégralement épilée.
Hmmm, ce qu’elle m’avait manqué ta chatte, je vais prendre le temps de bien m’en occuper cette-fois.J’espère bien, lèche la moi !Sa langue passe de droite à gauche sur mon clitoris encore caché sous le capuchon puis de haut en bas, il crache dessus, je couine. Sa langue explore ensuite mes grandes et petites lèvres fines et les ouvre comme une fleur au printemps. Ma cyprine commence à apparaître et c’est le moment qu’il choisit pour insérer sa langue dans mon vagin et me pénétrer avec. Il me donne un de ses doigts à lécher puis le place à l’entrée de ma fente et l’enfonce de quelques centimètres seulement tout en cherchant à le crocheter vers le haut pour chercher mon point G, je mord ma robe pour ne pas hurler et gémis tant bien que mal pendant qu’il me procure un plaisir indicible, sa langue tournoie en même temps sur mon petit bouton, je sens mon bas ventre se contracter et une sensation divine venir raidir tout les muscles de mon corps. Je jouis ! Je m’accroche à la carrosserie de la voiture et explose de plaisir, le capot s’imbibe de tout mon désir tout comme le visage de mon beau-père. Son doigt continue à me fouiller doucement, je veux lui rendre le plaisir qu’il m’a donner, je l’attrape par le col de sa chemise et le tire vers moi pour l’embrasser à pleine bouche pendant que ma main palpe son sexe dur.
Je descends de la voiture et me met à genoux face à lui en le regardant, je déboutonne son pantalon et le baisse puis c’est au tour de son caleçon, sa queue jaillit fièrement devant mon visage. Je pose ma bouche dessus et l’aspire tout en faisant tournoyer ma langue autour de son gland durcissant inexorablement dans ma bouche. J’engouffre sa virilité dans ma bouche en la serrant bien entre mes lèvres pulpeuses tout en passant une main sur ses couilles légèrement poilus pour les malaxer, mes va et viens sur son sexe sont lents et réguliers, je le défie du regard pendant qu’il gémit à son tour devant le plaisir que je lui procure avec ma bouche juvénile et gourmande. La cadence augmente crescendo et je sens son désir s’amplifier. Je m’amuse parfois à sortir son membre de ma bouche et à baver sur son gland pour ensuite étaler avec la pointe de ma langue. Cette dernière vient ensuite s’égarer sur ses couilles que je gobe l’une après l’autre tout en masturbant son membre. Je le reprend en bouche et le pompe frénétiquement, ses gémissements se font de plus en plus forts. Il m’attrape alors par une mèche de cheveux et me tire vers le haut en m’arrachant un cri de stupeur. Une fois débout, il me tourne aussitôt face à sa voiture en me prenant par les hanches et me pousse de manière brutale sur le capot, je tombe presque dessus, je suis déjà bien cambrée mais mon beau-père saisit mes mains pour les étaler à plat sur le capot, ses gestes sont très brusques et traduisent une excitation sans doute refoulée durant des mois, depuis cette fameuse nuit...Il relève tout aussi brusquement ma robe et baisse ma culotte d’un coup sec jusqu’à mes genoux.
— J’ai envie de te baiser, je vais te coller ma bite dans ta petite chatte.— Oh oui, j’en ai tellement envie, défonce-la moi !— C’est ce que je compte faire petite salope, tu la veux et tu vas l’avoir.
Je sens son gland durcit par le plaisir se placer à l’entrée de ma petite fente étroite, je veux qu’il me pénètre et prenne possession de mon corps. Il s’engouffre dans ma petite chatte lentement, m’attrape par les hanches et commence à coulisser doucement dans ma minette chargée de désir. Je me mords les lèvres pour ne pas crier et pourtant ce n’est pas le désir qui m’en manque. Mon beau-père me met une claque rude sur la fesse gauche puis la droite en augmentant la cadence de ses va et viens, son gland entre profondément en moi et vient chatouiller mon col de l’utérus. Je tourne la tête pour le regarder me prendre en levrette, ses traits sont durs, il ne ressemble en rien à celui que j’ai connu lors de notre première nuit mais j’en suis encore plus ravie, c’est comme ça que je l’aime !Plusieurs autres claques viennent faire rougir mes fesses, ma peau chauffe et me brule, j’adore cette sensation. Il s’amuse à sortir sa queue de ma grotte trempée et à la remettre aussitôt d’un bon coup sec pour me faire gémir. Ses coups de reins se font de plus en plus durs, il me défonce la chatte tout en saisissant mes cheveux et me tirant en arrière tout en me murmurant les pires insanités à l’oreille. J’ai tellement rêvé de ce moment, et dire que je me caressai en pensant à cette scène qui devient réalité. Ma chatte se contracte de désir, mes contractions deviennent plus régulières, je branle la queue de mon beau-père de cette façon en le serrant entre mes lèvres vaginales comme pour le garder en moi.Au moment où il sort sa queue pour venir de nouveau s’amuser à me la remettre, je recule mon bras pour saisir sa queue en main et place le gland à l’entrée de mon anus.
— Encule-moi maintenant !— Hmmm tu es vraiment une sacrée salope toi dis-donc. Oh oui, je vais bien te ramoner ton petit cul de trainée.— Tu le fais souvent avec ma mère ?— Non jamais ! Je vais bien m’éclater avec le tien, où plutôt devrais-je dire que je vais bien te l’éclater.
Il pousse pour rentrer son gland, le début est toujours le plus difficile et son gland en forme de champignon me procure une petite douleur mais sa bite étant parfaitement lubrifiée par ma cyprine abondante, il finit par passer alors que je me mordille la lèvre inférieure. Il reste un peu sans bouger avec seulement son gland enfoncé dans mon cul puis pousse pour enfoncer le reste en fonctionnant par palier, d’abord la moitié de son membre, puis les trois-quarts et enfin la totalité ; chaque pallier me fait ressentir un plaisir non dissimulé. Je le ressens si bien s’enfonçant dans mon rectum. Je passe une main sous mon ventre pour me stimuler le bourgeon pendant qu’il commence à coulisser dans mon petit trou des fesses.
— Je me suis tellement branlé en pensant que je m’introduisant dans ton petit cul de rêve, hmmm quel pied.— Et tu aimes être dans mon cul ? La réalité est aussi bien que le fantasme ?— Tu n’imagines pas à quel point petite salope.
Ses mouvements de bassin se font de plus en plus insistants et vifs, je sens mon anus se dilater sous ses coups de reins, comme si il s’habituait à la forme de son sexe, il s’enfonce du gland jusqu’aux couilles et vient presque chatouiller mon ventre avec. J’aime le sentir prendre possession de mon cul et me sentir comme sa petite salope. Plusieurs claques viennent encore s’écraser sur mes fesses alors qu’il commence littéralement à me défoncer le cul. Comme pour ma chatte il s’amuse encore à sortir son sexe de mon anus béant et à la remettre juste avant que mon petit trou des fesses ne se referme. Je sens l’air passer dans mon cul ouvert par ses assauts. Le rythme qu’il adopte est parfait et progressif, il reprend ses va et viens toujours avec ce rythme qui me paraît frénétique, n’étant pas une habituée de la sodomie je dois sans doute avoir une vision déformée de la réalité. Toujours est-il qu’aussi bon que cette sodomie l’est, mes parois anales commencent à me picoter un peu, l’anus n’est pas un vagin et ne se lubrifie pas naturellement, je serre les dents jusqu’à la fin et me caresse le clito de plus en plus intensément pour me focaliser sur mon plaisir. C’est à ce moment que je sens un liquide chaud et onctueux venir me lubrifier l’anus et me soulager, j’entends mon beau-père gémir, il vient de gicler sa semence au plus profond de mes fesses, son sexe se contracte en moi et il se vide jusqu’à la dernière goutte pour mon plus grand plaisir, je ne peux cacher mon émotion et pousse un long gémissement qu’il vient étouffer en mettant sa main sur ma bouche pendant qu’il finit de déverser son fluide dans mon rectum. Il se retire ensuite tout doucement, laissant quelques gouttes couler de mon anus défoncé en sortant.
Je remet ma culotte et réajuste ma robe puis tente de me recoiffer comme je peux même si je sais que c’est peine perdue...
— Je vais remonter, attends un peu avant de remonter sinon ça pourrait être suspect.— Tu as raison oui.— Bonne nuit, c’était super.— C’était divin Lou.

je rentre alors dans notre chambre, Géraldine n’est pas encore endormie, elle bouquine, la lampe de chevet est allumé. Elle me regarde d’un air froid et quelque part inquisiteur.
— Bah dis-donc tu en as mis du temps, trente minutes pour prendre une douche !— Je me suis attardée dans la salle de bain, je ne trouvais plus certains fringues.— C’est bizarre, tes cheveux ne sont même pas humides alors que tu sors de la douche, ils sont même décoiffés, tu n’es pas changée non plus.... Tu étais où ?— Nulle part, t’occupes.— Bon, c’est tes affaires après tout !— Oui, ce sont mes affaires.
Il va vraiment falloir que je me méfie de Géraldine.....
À suivre.
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