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Mon bel étalon

Chapitre 1

Zoophilie
Mon bel étalon

Je m’appelle Michel, je suis ingénieur depuis deux ans dans une société de mécanique à Toulouse. Je suis un homme assez athlétique d’un mètre quatre-vingt-douze, j’ai fait beaucoup de sport quand j’étais jeune. J’ai vingt-six ans, je suis d’origine sénégalaise par mon père et française par ma mère, je suis donc assez tinté. Je suis beau gosse, j’attirais beaucoup les femmes, mais elles, elles ne m’attiraient pas, j’étais gay. J’ai eu des petits flirts avec des femmes dans ma jeunesse, mais je n’ai jamais ressenti autant de plaisir avec des femmes qu’avec des hommes. Je n’avais plus touché à une femme depuis pas mal de temps. J’aimais les hommes, et ils me le rendaient bien. Ils aimaient surtout ma bite de vingt-quatre centimètres sur plus de quatre quand je bande, et surtout mon énorme gland. Pour ma part, je n’ai jamais trouvé d’homme aussi bien monté que moi. J’ai reçu de belles bites dans le cul, mais je suis un peu resté sur ma faim. Je cherche toujours le mec qui saura me satisfaire.

J’ai une sœur de vingt-trois ans, Sophie, grande elle aussi, c’est de famille, très athlétique. Elle est beaucoup moins tintée que moi, ressemble énormément à ma mère, visage doux, belle silhouette, poitrine et fesses attirant les regards, hommes comme femmes, un pubis glabre et bien rebondi et de très belles jambes. Je la connais très bien car, quand nous étions étudiants tous les deux à Toulouse, nous partagions un appartement et notre salle de bain. Je l’ai souvent vu nue, et réciproquement, d’autant que quand il faisait chaud, nous étions à poil. Elle est toujours habillée très féminine, jamais de pantalon, toujours jupes ou robes en général assez courtes. Elle est intéressée autant par les hommes que les femmes, elle est bi et l’assume, bien qu’elle soit plus souvent avec des filles que des mecs. Elle était triste que je sois perdu pour la gente féminine, m’avouant en plaisantant qu’elle trouvait que de perdre un tel engin était très triste et qu’elle aurait bien aimé voir ce que je donnais au lit. Nous avons un rapport très fusionnel, c’est mon double en femme.

J’étais aussi très ami avec une collègue de travail, Céline, ingénieure elle aussi, nous sommes arrivés le même jour dans la boite. C’est une femme de vingt-six ans comme moi, assez grande, un mètre soixante-quinze, ancienne basketteuse au lycée, très jolie, belle poitrine, beau cul, mais toujours habillée comme un garçon, jean et tee-shirt ou sweet. Nous nous entendions d’autant mieux qu’elle était lesbienne bien qu’elle ait connu quelques hommes. Nous parlions souvent de nos problèmes, de notre différence pas toujours acceptée, de nos conquêtes. Il nous arrivait même d’être assez précis dans la description de nos petites aventures. Il nous est arrivé aussi d’aller ensemble dans des sexshops pour elle, elle n’osait pas y aller seule, et y acheter de beaux godes. Nous n’avions ni l’un ni l’autre de compagnon ou compagne attitré. Elle me parlait toujours de la ferme dans laquelle elle a vécu toute son enfance et sa jeunesse. Elle était un peu nostalgique de cette époque, et surtout de la vie à la ferme, des grands espaces. Cette vie lui manquait un peu et elle allait chez ses parents une fois par mois pour se ressourcer comme elle disait. Nous en avons souvent discuté et je lui ai dit que moi aussi j’avais vécu dans une ferme et que ça me manquait un peu.

Je vais vous raconter ce qui a fait que je parle au passé, ça s’est passé il y a deux ans.

Une fois par mois, nous quittons le travail le vendredi à treize heures trente, juste après avoir déjeuner. Un de ces vendredi début juillet, jour de départ à la campagne pour Céline, sa voiture ne démarre pas. Je la vois s’énerver sur la voiture et vais voir ce qui se passe avec des collègues. Après une visite du compartiment moteur, le verdict tombe, personne ne sait ce qu’elle a et la voiture ne démarre toujours pas. Une heure plus tard, un garagiste embarque la voiture sur son camion, la réparation est impossible sur place. Le problème, c’est qu’il ne peut pas lui proposer de voiture de courtoisie, il n’en a plus. Je suis resté avec elle et me propose de la ramener chez elle, ce qu’elle accepte volontiers. Je charge ses sacs dans mon coffre et vais chez elle, je connais le chemin pour y avoir été mangé quelque fois. Sur la route, je la sens triste, elle attendais ces deux jours de repos chez ses parents avec impatience et tout tombe à l’eau.

–Merde, juste le jour où je vais à Mirepoix, ça fait chier.
–Dans l’Ariège ?
–Non, pas loin, Mirepoix sur Tarn, c’est à côté de Bessières.
–Tu iras la semaine prochaine, ta voiture sera réparée.

–Le problème, c’est que mes parents vont une fois par mois chez mes grands-parents à Tanus passer le week-end, je dois rester à la ferme pour m’occuper des deux chevaux que garde mon père et nourrir les poules et les lapins.
–C’est ou Tanus ?
–Juste avant le viaduc du Viaur sur la 88 en direction de rodez, c’est à la limite du Tarn et de l’Aveyron.
–Ok, donc, ils ne peuvent pas partir si tu ne viens pas.
–Exact.
–Il ne reste plus qu’une solution, il faut que je t’emmène.
–Tu es sérieux ?
–On ne peux plus, à condition que tu m’héberge le week-end, un petit séjour à la campagne me fera le plus grand bien.

Elle a une drôle de réaction, comme si ça la gênait. Elle me regarde perplexe. Je vois qu’elle cogite à fond, comme si quelque chose la gênait de me faire venir chez ses parents.

–Ce n’est pas la peine de me faire passer pour ton mec, je pense qu’ils n’y croiraient pas.
–Ce n’est pas le problème.
–Alors, c’est quoi le problème ?
–Il n’y a pas de problème, ok, tu m’amènes.
–Je passe chez moi prendre deux ou trois fringues et on y va. Il faut combien de temps ?
–C’est à vingt kilomètres.
–Ok, on y sera vers seize heures trente, c’est bon pour tes parents ?
–Je leur téléphone.

Les parents sont d’accord, ils ne nous attendent pas, leur route est beaucoup plus longue. Céline sait où est la clé de la maison. La route se passe très bien jusqu’aux derniers kilomètres super étroits ou les six mètres de ma Cadillac 65 ne sont pas très à l’aise. Pendant la route, elle m’explique que ses parents exploitent une ferme d’une trentaine d’hectares, mais ils ne font pas de lait ou de viande, il n’y a pas de bêtes à cornes, juste de la vigne pour le vin. Mais je sens Céline un peu tendue, j’ai l’impression qu’elle est un peu gênée, qu’elle gamberge. Nous arrivons chez elle, à côté de Mirepoix sur Tarn, devant une grande bâtisse. Le bâtiment principal qui doit avoir deux ou trois siècles, énorme avec une maison annexe de style très moderne. Un grand parc entoure les maisons d’habitation. Je gare ma voiture sous un arbre, devant une grande terrasse. Un chien vient vers moi en aboyant, c’est un malinois, et je dois dire que je ne suis pas très à l’aise. Céline sort la première, le chien vient vers elle et lui fait la fête.

–Tu peux sortir, il ne te fera rien, il a compris que tu étais avec moi. Je te présente Farouk, il a six ans.

Je sors, Farouk vient vers moi pour faire ma connaissance, il n’a pas l’air très méchant, c’est sa taille et son allure qui impressionne. Je décharge la voiture, nous allons dans la maison pour nous installer. Je dispose d’une belle chambre de plein pied sur une terrasse donnant sur les bâtiments agricoles derrière la maison. Céline a la chambre d’à côté. Dix minutes plus tard, nous sommes tous les deux dans la grande salle principale. Céline s’est changé, je l’ai toujours vu en sweet et jean, là, elle est en corsage et en short. Je remarque pour la première fois ses magnifiques jambes.

–Ouah, je n’avais jamais remarqué que tu avais de si belles jambes.
–Bien sûr, je ne les montrais pas.
–Et tu avais tort.
–Tu veux visiter la ferme ?
–Volontiers.

Nous allons voir les poules, il y en a une douzaine, le jardin, elle me détaille les cultures de son père, nous finissons par une balade dans le grand parc. Je remarque que Farouk ne quitte pas Céline d’une semelle, il est littéralement collé à elle. Nous finissons devant les boxes des deux chevaux de son père. Deux magnifiques bêtes pas très grandes mais très élégantes.

–Ils sont magnifiques.
–Oui, je te présente Sirroco et Tonnerre, ce sont deux magnifiques étalons arabes de dix et onze ans. Ce n’est pas leur vrai nom, mais tu sais, les chevaux de course ont tous un nom style « Bidule du Machin de la chose », ça énerve mon père et il les a rebaptisés. Mon père les garde pour les monter, c’est un excellent cavalier, il a gagné des concours quand il était jeune, mais il a dû abandonner quand ses parents n’ont plus pu tenir la ferme suite à un grave accident de la route de mon grand-père. Il a un arrangement avec un éleveur qui lui laisse certains de ses chevaux de course quand ils ne peuvent plus courir.
–Ils ont eu un accident ?
–Non, mais les chevaux de course ne peuvent plus courir après dix ans, c’est la règle. Les champions deviennent des étalons. Papa s’occupe des saillies quand on lui amène une jument.
–Je ne connaissais pas ce détail. La retraite à dix ans.
–On peu dire ça.
–Et quelle retraite, payé pour baiser.
–Si l’on veut.

Je remarque tout de même que la bite de Sirroco pend sous son ventre, elle doit bien faire dans les soixante centimètres de long sur cinq ou six de large. Je me prends à rêver de l’avoir dans le fion, ça devrait être génial. Là au moins, j’aurais du lourd, ce dont je rêve depuis longtemps.
Nous nous baladons pendant plus de deux heures, je dois dire que de voir les fesses de Céline danser devant moi quand elle me précède ne me laisse pas totalement indifférent. La visite se termine par le clapier ou vivent une quinzaine de lapines avec un énorme mâle. Nous retournons dans la maison. Céline s’occupe de nous faire à manger.

La soirée se passe très bien sur la terrasse devant la maison, Céline est une fille très agréable, sans tabous, qui ne se gêne pas et vit sa vie sans rien demander à personne. Farouk ne l’a pas quitté de la soirée, je remarque qu’il a tendance à poser sa tête sur ses cuisses, le museau en direction de son bas ventre.
Il commence à se faire tard, je suis fatigué et vais me coucher. Il fait chaud, je laisse la porte fenêtre entrouverte pour laisser entrer un peu d’air. Je m’endors rapidement. Vers onze heures, je suis réveillé par le hennissement d’un des deux chevaux. Je me retourne dans mon lit, c’est à ce moment que j’entends un drôle de bruit, comme un soupir.

–MMMMMMM

Je tends l’oreille, de nouveau ce bruit. Je me lève sans bruit, sans m’habiller, j’ouvre la porte-fenêtre, avance un peu et écoute. De nouveau ce soupir, il semble venir de la chambre de Céline, c’est un soupir de bonheur, elle doit se masturber. Je ne veux pas être indiscret et retourne dans ma chambre, mais soudain, j’entends sa voix.

–Oui mon chéri, fait plaisir à maman.

Je réalise que quelque chose de bizarre se passe, j’avance doucement vers la porte-fenêtre de Céline et me penche pour jeter un œil dans sa chambre. Je vois Céline à quatre pattes, une serviette sur le dos et Farouk sur elle qui la besogne. Elle se fait baiser par son chien !! Il lui donne de grands coups de rein, ses seins ballottent sous elle, elle a les bras repliés, la tête sur le sol.

–Oui mon chéri, encore, encore.

Farouk donne toujours ses coups de reins, mais il ralenti, donne plusieurs coups plus importants et s’arrête.

–Oh oui, je sens ta boule, tu me possède, rempli moi, vide toi en moi, encore, je suis ta chienne, je vais jouir, je jouis. AAAAAAAHHHHHHH oui, oui, ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii.

Il se vide en elle, elle est secouée par un violent orgasme. Je ne veux pas qu’elle me voit et retourne dans ma chambre. Je me recouche en bandant comme un âne, je mets énormément de temps à essayer de me rendormir. Une heure après cet évènement, on frappe à ma porte.…/…
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