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Mon bel étalon

Chapitre 7

Zoophilie
–Je suppose que Céline vous a mise au courant de certaines pratiques.
–Effectivement.
–Vous en pensez quoi ?
–Je dois vous dire que j’ai été initié et que j’aime beaucoup.
–Avec Sirroco ?
–Farouk, Sirroco et Alphonse.
–Et bien, elle ne perd pas de temps la petite, elle vous a présenté toute la famille, et Tonnerre ?
–Elle pense qu’il est trop violent.
–Il suffit simplement de lui faire comprendre qui est le chef, c’est pour ça que je ne pratique pas avec mes animaux, je veux rester leur patron.
–Je comprends, moi, j’aimerais bien essayer Tonnerre, j’ai l’impression qu’il est mieux monté que Sirroco.
–Effectivement, il est un peu plus grand mais bien mieux monté, sa bite est plus épaisse, et l’extrémité est plus large.
–Quelqu’un l’a déjà essayé ?
–Oui, Gabrielle, mais juste se faire sodomiser, comme Céline, elle a peur que sa bite soit trop longue pour son vagin, et vu sa brutalité, elle préfère s’abstenir. Elle préfère tout de même Sirroco.

–Je la comprends, mais moi, je n’ai qu’un orifice à proposer, néanmoins, je préfère m’abstenir pour l’instant.

Je suis complètement abasourdi par les propos que je tiens avec un homme que je ne connaissais pas il y a à peine une heure. Ça me parait naturel alors que c’est complètement hallucinant. J’aide Paul à arranger les boxes, il est très maniaque, chaque chose doit être à sa place. Au bout d’un peu plus d’une demi-heure, nous retournons à la ferme.
Les femmes ont tout préparé, un apéritif nous attend sous les arbres du parc. L’ambiance est sympa, tout le monde est détendu, pas de malaise entre nous. Après avoir mangé, Céline me dit vouloir faire une sieste d’une petite demi-heure, je la laisse aller dans sa chambre. Elle me jette un dernier regard en entrant dans sa chambre. Je vais dans le mienne, mais au bout de cinq minutes, je n’en peux plus, je me rends compte que j’ai envie d’être avec elle. C’est bien ça, je suis en train de virer de bord !!
Je me lève et vais dans la chambre de Céline en passant par les portes fenêtres.

–Enfin, te voilà.
–Tu m’attendais ?
–Je t’espérais.

Elle est sur le dos et me tend les bras. Je viens m’allonger sur elle, nos corps s’épousent, ma bite, encore molle, se glisse entre ses cuisses. Je ne veux pas lui faire l’amour tout de suite, je veux sentir son corps vivre sous le mien. Ses mains se promènent sur mon dos et mes fesses, j’ai mis ma tête à côté de la sienne, mais au bout de très peu de temps, je la redresse et la positionne au-dessus de la sienne. Nos lèvres se rencontrent à nouveau et nos langues entament une sarabande endiablée. Je sens ma bite gonfler entre ses cuisses, elle devient raide et a du mal à se développer. Céline fait un mouvement des hanches et ma bite vient juste se positionner entre ses petites lèvres. J’avance un peu mon bassin pour introduire doucement mon vit dans cette grotte chaude et accueillante. Je suis submergé par un sentiment que je ne connaissais pas, une sorte de béatitude, d’accomplissement. Je suis heureux de ce qui se passe, heureux d’introduire mon sexe dans le sexe de cette femme qui m’aime, heureux de voir que ça la rend heureuse. Le visage de Céline resplendi de bonheur, elle me sert dans ses bras de toutes ses forces.

–Oh oui mon chéri, oui, aimes moi, je t’aime.

Je lui fais l’amour doucement, je veux la laisser savourer à son rythme, prendre l’initiative. En fait, elle n’en fait rien, elle se laisse prendre à mon rythme, elle me laisse l’aimer doucement. Petit à petit je sens son corps réagir plus nettement, son sexe se contracte un peu, ses ongles se plantent sur mon dos, son pubis vient à la rencontre de mon pubis, elle écarte les jambes pour les passer autour de mes cuisses.

–Oh oui, oui, oh oui je viens, oui tu vas me faire jouir, oui, oui, ooooohhhhh oui.

J’accélère un tout petit peu mon rythme, moi aussi je suis au bord de la jouissance, je veux qu’elle ait un super orgasme et me donne à fond.

–Oui, oui, ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii

Elle se cabre, son corps est raide, ses jambes m’écrasent les cuisses, ses mains appuient sur mes fesses, elle donne des coups de bassin pour que je m’enfonce encore plus en elle.

–Oui, oui, viens mon chéri, viens.

De sentir ce corps se donner sans retenue, cette femme me prouver son amour me submerge, mon corps se raidi et un énorme feu d’artifice le parcourt. Jamais je n’ai joui comme ça, jamais je n’ai été transporté de la sorte, jamais je n’ai ressenti un tel bonheur partagé.

–Oui, oui, joui, joui, oh je t’aime.

Son corps se relâche, elle se détend, me prend la tête, l’attire à elle et pose ses lèvres sur les miennes, s’ensuit un long baiser passionné. Je suis pris par l’ambiance et me donne à fond. Moi aussi je suis heureux de ce qui vient de se passer, je ressens un énorme sentiment pour cette fille qui me laissait indifférent il y a à peine deux jours. Je réalise que je tombe amoureux de Céline, que cette fille vient de prendre une place considérable dans mon cœur, que j’ai du mal à me détacher d’elle. Elle me libère et je m’allonge à côté d’elle.

–C’était merveilleux mon chéri, merveilleux, tu m’as donné le plus grand bonheur de ma vie.
–Tu n’exagères pas un peu ?
–Pas du tout, maintenant, j’en suis sûre, je t’aime, j’en suis absolument sûre, je t’aime Michel, je t’aime.
–Je ne veux pas te donner de faux espoirs, mais je peux te dire que moi aussi je viens de connaitre la plus grande joie de ma vie, je réalise que j’ai du mal à me détacher de toi.
–Oh mon chéri, viens.

Elle m’enlace et se blotti contre moi. Elle me caresse tendrement, je la caresse tendrement, nous sommes sur un petit nuage, détendus, calmes, heureux. Nous finissons par nous endormir enlacés. Nous dormons pratiquement une heure, Paul est parti pour sa réunion, Gabrielle nous a laissé dormir. Je serre Céline dans mes bras, elle se laisse câliner un sourire aux lèvres.

–Tu m’aimes ?
–Je ne sais pas Céline, je ne sais pas, tout ce que je sais, c’est que j’ai besoin de ta présence, tu t’es rendue indispensable en deux jours, je ne comprends pas.
–Moi si, mais je te laisse le découvrir toi-même.
–En attendant, il est presque seize heures trente, je dois être à dix-huit heures à la gare Matabiau, il faut qu’on se prépare.
–Ok, mais d’abord un câlin.

Elle se blotti contre moi et colle son corps au plus près du mien. Elle veut que nous ne fassions plus qu’un, que nos corps vibrent ensemble. Mais ma bite ne l’entend pas comme ça et manifeste sa présence entre ses cuisses. Elle me monte dessus et s’empale d’un seul coup sur mon vit. Son vagin est chaud et bien lubrifié, elle était déjà bien excitée. Je reste immobile et la laisse faire, je vois ses fesses monter et descendre régulièrement sur toute la longueur de ma bite. Je sens mon plaisir monter doucement, cette sensation que j’ai découvert ce week-end me transcende, je ne suis plus moi-même, je découvre un autre Michel qui est heureux de faire l’amour à une femme. Je l’enveloppe de mes bras en l’embrassant passionnément. Elle me rend mon baiser avec ferveur. Petit à petit elle se raidi, je la sens monter dans son plaisir, ce qui fait monter le mien. Quand elle explose dans un violent orgasme, je me libère moi aussi dans une formidable explosion de plaisir. Je viens de jouir deux fois d’une manière exceptionnelle, et j’ai envie que ça recommence souvent. Une fois calmée, elle se laisse aller sur mon côté, un bras sur mon torse, la tête sur mon épaule.

–Je t’aime Michel, je t’aime.
–Je sais chérie.

Elle recule sa tête, me sourit, et repose sa tête sur mon épaule.

–Chérie, tu as bien dit chérie ?
–Oui chérie, je ne sais pas si je t’aime comme tu le souhaites, mais je sais que tu es ma chérie et que j’ai envie de toi.
–C’est le début de l’amour mon chéri.

Il faut y aller, nous nous levons, prenons une douche, rangeons nos affaires et nous habillons pour faire la route. Elle s’est habillée en femme, corsage et jupe plissée courte. Quand elle arrive vers moi, elle fait un tour sur elle-même. Sa jupe remonte un peu mais sans plus, dégageant juste le milieu de ses cuisses.

–Ça te plait.
–Beaucoup.

Gabrielle vient nous rejoindre.

–Ah, enfin habillée en femme, je ne supporte pas de la voir avec son jean et son tee-shirt ou sweet, je lui ai souvent fait la remarque, mais rien à faire, bravo Michel, vous avez réussi ce que je n’arrivais pas à faire.
–Je ne pense pas y être pour grand-chose.
–Oh que si, je connais ma fille, elle s’est habillée comme ça pour vous, n’est-ce pas Céline ?
–Exactement, pour mon chéri.

Je suis un peu gêné, mais il faut y aller et je presse un peu le mouvement. Farouk vient nous dire au revoir, on voit qu’il a l’habitude des va et vient de Céline. Nous roulons tranquillement dans un silence de plomb au début. Céline est songeuse, elle cogite.

–Tu rentre chez toi tout de suite ?
–Non, je dois récupérer Bruno au train, il était en formation à Paris la semaine dernière, son train arrive à dix-sept heures cinquante-cinq, je dois l’amener chez sa copine.
–Et après ?
–Je rentre chez moi.
–Tu n’aimerais pas diner chez moi ?
–J’adorerais, mais je vois comment ça va se terminer, et il faut aller bosser demain, je dois impérativement me changer.
–Et bien, tu passes chez toi prendre ce dont tu as besoin et on mange chez moi.
–Et plus si affinité ?
–Et plus si affinité.

Nous rigolons ensemble, elle se détend d’un seul coup, je pense qu’elle avait peur que je refuse, mais j’en suis complètement incapable. Je ne veux pas lui dire, mais maintenant j’en suis sûr, je suis tombé amoureux de cette superbe femme en deux jours. Je ne sais comment ça se fait, mais c’est un fait.
Après être passé à la gare, avoir déposé Bruno chez sa copine et être passé prendre des affaires chez moi, nous arrivons chez Céline. C’est un appartement au sixième étage, bizarrement fait, il se compose d’un immense salon salle à manger d’au moins cinquante mètres carrés, d’une petite cuisine, petite salle de bain et petite chambre. Heureusement les WC sont séparés. Le salon salle à manger fait plus de la moitié de la surface totale, mais d’un autre côté, c’est une superbe salle à vivre que Céline a très bien aménagé, d’un côté salle à manger à côté de la cuisine et de l’autre salon à droite et espace télé à gauche avec un grand espace au milieu, au niveau de la baie vitrée. Comme l’immeuble est le plus grand du coin, il n’y a pas de vis-à-vis.

–Tu sais qu’il n’y a qu’une chambre.
–On va devoir dormir dans le même lit ?
–Devine.

…/…
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