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Mon bel étalon

Chapitre 9

Zoophilie
Nous nous arrêtons pour échanger un long baiser. Quand nous arrivons chez elle, il y a un message sur le répondeur. Céline l’écoute.

« Bonjour chérie, c’est maman, pouvez-vous être à la ferme ce week-end, papy est malade et nous devons aller aider mamy demain, il faut une présence à la ferme. Rappelle-moi vite s’il te plait »

Céline me regarde, je fais oui de la tête, elle appelle sa mère pour lui confirmer qu’on arrive, mais plus tard que d’habitude, nous ne sortons qu’à seize heures le vendredi. Elle nous dit qu’ils seront partis à notre arrivée et nous remercie.

–Tu vas pouvoir t’amuser avec Farouk et les autres.
–Toi aussi, j’ai bien vu que tu aimais.
–Effectivement.

Nous préparons à manger, nous sommes pressés d’aller au lit, cette petite séance dans la boutique nous a un peu excité. Après le repas, nous prenons une douche, mais comme d’habitude, ça ne se passe pas calmement. Je commence par savonner son corps, j’insiste un peu sur son pubis et fini par m’agenouiller pour poser mes lèvres sur son clitoris qui la fait réagir immédiatement. Elle pose ses mains sur ma tête, lève une jambe pour me libérer le passage. J’avoue que j’ai pris goût à sa cyprine, je ne peux m’en passer, il faut qu’à chaque fois que nous faisons l’amour, je commence par lui faire une minette, ce qu’elle adore. Elle me fait lever et s’agenouille à son tour pour me gober la bite, mais comme d’habitude, nous n’allons pas jusqu’au bout, nous sortons de la douche, hyper excités, mais sans avoir joui. Nous allons dans sa chambre, pour nous allonger, Céline me monte dessus et s’empale sans hésiter. Commence une longue séance de coït, lente et douce, qui nous amène lentement à l’orgasme. Nous nous remettons à peine de notre émois que mon téléphone sonne. C’est Sophie.

–Allo ?
–Michel, mais que fais-tu, je t’attends depuis presque une heure chez toi, c’est le bordel, il n’y a rien dans le frigo, il a fallu que je fasse des courses, j’ai mangé toute seule, tu as oublié que je passais aujourd’hui et que je restais le week-end ?
–Totalement, excuses moi Sophie, mais je vis un moment de ma vie extraordinaire, donne-moi quelques minutes, je te rappelle.
–Ok

Céline a compris, elle me regarde un peu triste.

–Je dois y aller, c’est Sophie, elle m’attend chez moi et tu connais nos rapports, mais je ne suis pas obligé d’y aller tout seul, bien sûr ça ne pourra pas être la même chose, mais on sera ensemble.

Son visage s’éclaire.

–Ok, je prends des affaires.
–Je dois te dire que je lui avais promis de passer le week-end avec elle, ça compromet un peu notre séjour à Mirepoix.
–Ta sœur n’aime pas la campagne ?
–Céline, tu sais très bien ce qu’on va faire là-bas, je ne vois pas Sophie dans ce trip.
–Qu’en sais-tu ?
–Ça me paraitrais bizarre.
–Laisse nous quelques instant seules, je vais la sonder.
–Ok.

Elle sort du lit prestement et va préparer quelques affaires pour demain. Je rappelle Sophie pour lui dire que j’arrive. Un quart d’heure plus tard, nous sommes chez moi. Sophie nous ouvre la porte et apparait simplement vêtue d’un de mes tee-shirts qui lui laisse le bas des fesses découvertes et lui couvre tout juste le sexe. Elle ouvre de grands yeux quand elle me voit tenant Céline par les épaules et elle par la taille. Elle me saute dessus pour m’embrasser, se tourne vers Céline, la prend dans ses bras et l’embrasse. Elle la fait reculer, tourner sur elle-même. Céline se laisse faire, j’ai l’impression qu’elle ne comprend pas bien ce qui lui arrive. Mais sa jupe s’envole un peu dévoilant le bas de ses fesses. Sophie se recule.

–Superbe, tu es superbe, en plus très sexy, je dirais même plus, bandante, tu as une culotte ?

Céline rougit, elle me regarde.

–Ne t’en fait pas, je pense que Sophie t’adore.
–C’est exact, j’adore les filles comme moi, sans culotte, et plus particulièrement la fille qui est avec mon frère quoi que je ne comprenne pas tout à fait ce qui se passe, tu n’es plus gay ?
–Il faut croire que j’évolue.

Elle se jette une nouvelle fois sur Céline pour l’embrasser.

–Merci Céline, merci d’avoir rendu aux femmes un tel homme.
–Je ne suis pas sûre qu’il soit complètement revenu aux femmes.
–En tout cas, c’est un début, et souviens toi de ce que je t’ai dit une fois mon frère chéri.

Je n’ose penser à ça. Nous rentrons dans le salon, il fait très chaud, Céline se tourne vers moi avec un petit air de défi.

–Il fait chaud, on fait comme chez moi ?

Je la regarde et commence par faire passer mon tee-shirt par-dessus ma tête pendant que Céline déboutonne son corsage. C’est Sophie qui gagne, elle n’avait qu’un tee-shirt sur la peau qui a valsé en dix secondes.

–Tu croyais me surprendre, Michel, tu sais très bien que je suis tout le temps à poil chez moi, je ne supporte pas les fringues surtout quand il fait chaud.

Quand nous sommes tous nus, je vois le regard de Céline sur Sophie, elle se réservais pour moi, mais ce qui est sûr en la voyant c’est qu’elle aime toujours les femmes et le corps de Sophie ne peut que lui donner des idées. Elle doit apprécier ses seins hauts et fermes, son joli pubis lisse, ses fesses d’enfer, ses jambes longues et la splendide couleur de sa peau. Je vois qu’elle apprécie.

–Elle te plait ?

Céline me regarde, étonnée de la question.

–Ma sœur te plait ?
–Comment un tel corps peut-il ne pas me plaire, ou du moins, à quelqu’un qui aime les beaux corps de femmes, et qui aime les faire vibrer comme moi.
–C’est réciproque, moi aussi j’aime faire vibrer les beaux corps de femmes, et le tien m’inspire, beaucoup même.
–Ok les filles, n’oubliez pas que je suis là.

Elles se regardent et viennent toutes les deux vers moi pour déposer une bise chacune sur une joue. Je sens quatre mains sur moi, quatre mains qui se promènent sur mon dos, mes fesses, et s’attardent même sur mon sexe. Je me dégage pour leur faire face.

–Qu’est-ce qui vous prend ?
–Juste voir jusqu’où on peut aller.
–Ok, vous avez vu, c’est fini, dis donc Céline, je croyais qu’aucune femme ne devait me toucher.
–C’est ta sœur.
–Parce que c’est différent ?
–C’est la famille.

Elle me fait comprendre de les laisser seules un moment. Je prétexte une envie soudaine pour les laisser dans le salon. J’en profite pour arranger un peu ma chambre, je n’y ai pas mis les pieds pour dormir depuis presque deux semaines. Je retourne au salon un quart d’heure plus tard, Sophie me regarde intensément.

–Alors, tu as viré ta cuti ?
–Si l’on veut, disons que ma sexualité a changé grâce à Céline.
–D’après ce qu’elle m’a dit, elle t’a fait découvrir plein de chose, des choses très intéressantes.
–Bon, il y a un problème ?
–Le problème, c’est que tu devais passer le week-end avec moi et que j’apprends que vous devez aller chez les parents de Céline.
–Oui, mais nous venons de l’apprendre, et si tu y tiens, je reste avec toi et je prête ma voiture à Céline, elle n’a toujours pas récupéré la sienne.
–Je vois mal Céline conduire ton monstre de six mètres.
–Comment tu le sais ?
–C’est elle qui me l’a dit, elle m’a dit autre chose aussi, je dois dire que tu m’étonne, mais j’aimerais savoir comment ça se passe. Je ne veux pas rester seule, je viens avec vous, moi aussi je veux m’amuser avec vos petites bêtes.
–Je n’y vois aucun inconvénient, passe au boulot demain à seize heures, nous partirons ensemble, pour l’instant il se fait tard je crois qu’il est temps d’aller se coucher.

Tout le monde va dans sa chambre, Céline et moi dans la mienne, Sophie dans celle qu’elle occupe tout le temps quand elle vient. Evidemment, nous faisons l’amour plusieurs fois, mais nous sommes relativement en forme le lendemain. A seize heures, Sophie nous attend à côté de la voiture. A mon grand étonnement, les filles décident de monter toutes les deux derrière.

–Chauffeur, à Mirepoix.
–Très bien mesdames.

Nous rigolons tous, je prends la route, mais je comprends tout de suite pourquoi elles sont passées derrière, nous sommes à peine sortis de Toulouse qu’elles échangent un baiser allongées sur la banquette en passant leurs mains sous leurs jupes.

–Vous ne pouvez pas attendre d’être à Mirepoix ?
–Non, nous sommes trop pressées de faire connaissance, contentes toi de regarder la route.

Je m’abstiens donc de regarder dans le rétroviseur intérieur et conduis doucement jusqu’à Mirepoix. Arrivés à destination, Farouk vient de mon côté, il m’a reconnu et je sors sans craintes. Les filles sortent, nous allons ranger nos affaires, mais Sophie pose d’autorité ses affaires dans la chambre de Céline. Farouk vient la voir et passe son museau sous sa jupe.

–Et bien, il ne perd pas de temps celui-là.
–Il est toujours à la recherche de nouveaux adeptes.
–Je veux d’abord une démonstration.
–Lui ou moi ?
–Mon frère chéri, je veux le voir en premier, mais après, ce sera toi, d’accord ?
–D’accord, allez, en tenue.

…/…
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