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Mon cadeau d'anniv'

Chapitre 4

Le bouquet final

Inceste
Suite et faim !
Il fallait maintenant que je trouve une solution pour assouvir mon fantasme ultime: pouvoir réunir ma petite sœur et ma mère dans une même chambre et les exciter suffisamment pour pouvoir envisager quelque chose d’extraordinaire. Moi qui ai commencé cette histoire en reniflant discrètement quelques sous-vêtements, je vais me retrouver, si je m’y prends bien, au milieu d’un rêve. Tout ça à cause de pulsions issues de ces effluves intimes qui sont devenus pour moi quasiment une drogue.La moitié du chemin est déjà fait, ma sœur est déjà envoutée par les odeurs cachées de ma mère. Lorsqu’elle a eu l’occasion de les respirer devant moi, elle ne s’en est pas privée. Maintenant qu’elle m’a avoué vouloir goûter à son jus, elle est ma complice.Et puis il y a ma mère aussi. Elle a également senti les culottes de Nina, en tout cas devant moi, elle ne s’est pas gênée. Elle sait qu’avec ma sœur nous entretenons une relation plus que rapprochée, cela doit l’exciter sérieusement de nous imaginer faire certaines choses. Bref a priori, toutes les conditions sont réunies pour que ça se passe bien, reste à trouver l’opportunité.Le lendemain matin, nous étions tous les trois au petit déjeuner. Ma mère en nuisette, ma sœur en T-shirt long et culotte et moi un t-shirt et un caleçon :
— Alors maman, tu as passé une bonne soirée hier soir ? Demanda Nina.— Oui c’était pas mal, on est restées bien tard, mais surtout à papoter entre copines sur la fin. Et vous deux, vous avez passé une bonne soirée? J’espère que vous n’avez pas trop fait de bêtises au moins.
Comment dire… Ma sœur et moi avons esquissé un semblant de réponse:
— Ben on s’est bien amusé avec Nina, on a regardé la télé un peu et puis voilà, on est allés se coucher
Je ne pouvais décemment pas avouer à ma mère que j’avais pénétré sa fille et éjaculé sur son visage en guise d’orgasme.
— Mouais, fit-elle, pas convaincu du tout de mon histoire.
Je pense qu’elle aurait bien aimé avoir les détails, mais c’était compliqué d’avoir ce type de conversation tous les trois en même temps. Il y avait un cap à ne pas franchir…pour le momentJe finis de ranger la table et j’alpaguais ma sœur:
— Nina, pour ce que tu m’as demandé hier soir— C’est-à-dire?— Tu veux toujours goûter …maman ?— Ah oui carrément.
— Écoute j’ai peut-être une idée. Essaye de rester en petite tenue toute la matinée, mets un string bien sexy et montre-toi un peu devant maman. Je sais qu’elle ne déteste pas mettre un peu son nez dans tes culottes. On va essayer de la chauffer un peu. Cet après-midi elle ira faire une petite sieste, j’irai la voir et toi tu resteras à proximité, je te ferai rentrer dans la chambre au bon moment— Mais tu crois que ça va marcher ?— Je n’en sais rien, mais le but c’est de l’émoustiller un peu ce matin et moi j’essaierai de la stimuler un peu plus. On verra bien mais je pense que ça peut fonctionner.— OK ça marche.
Nina enfila un de ses strings les plus coquins et se trémoussa toute la matinée dans la maison, elle poussa l’expérience jusque devant la télé ou elle s’amusa à passer négligemment sa main dans son entrejambe en effectuant quelques petites caresses innocentes devant maman.Puis vinrent le repas et enfin l’heure de la sieste. Maman ne dort généralement qu’une vingtaine de minutes, je savais à peu près quand rentrer dans sa chambre à son réveil.Jugeant le moment opportun, je fis signe à Nina de me suivre et l’invita à patienter un peu derrière la porte. Je rentrais dans la chambre et laissa la porte entrouverte de manière à ce que Nina puisse écouter.
— Maman? T’es réveillée? Lui fis-je tout doucement.— Mmm oui, tout juste. Qu’est-ce qu’il y a mon chéri ?— Oh rien je venais te faire un câlin, c’est tout.— Mmm c’est gentil. Viens dans mes bras mon chéri.
Je m’allongeais contre elle, elle avait un petit haut un peu lâche qui laisser sa poitrine relativement libre de tout mouvement, j’imaginais juste une culotte en bas sous les draps. Sentant ses jambes contre les miennes, il était simple de deviner qu’elle ne portait pas de pyjama.
— En fait, lui dis-je, je venais aussi pour autre chose mais j’ose pas trop demander— Qu’est-ce que tu veux mon garçon ?— Ben en fait, lui avouais-je timidement, t’as fait une lessive ce matin et y a plus de culottes. Alors j’aurais aimé que tu m’en prêtes une si tu es d’accord. Celle que tu portes en ce moment par exemple.— Ah ?! Ben c’est un peu direct mais bon si tu en as besoin, je te la donne, attends bouge pas.— Euh oui mais tu sais j’aime bien quand t’as …enfin tu sais, quoi ...quand tu t’es un peu caressé dedans.— Oui je vois, mais tu sais ça se fait pas vraiment sur commande.— Je sais bien, mais tu ne pourrais pas faire ça…maintenant? S’il te plait maman.— Maintenant devant toi mon chéri ? Mais …euh… je sais pas.— Si tu veux, pour t’aider ….je peux te raconter ce qu’on a fait avec Nina hier
Je commençais doucement à caresser sa cuisse sous le drap et remontais petit à petit sur ses fesses
— Mais comment ça ce que vous avez fait hier toi et ta petite sœur ?— Tu sais, avec Nina, devant la télé, on a commencé un peu à se caresser… Elle m’a montré sa poitrine, que j’ai embrassée. Je lui ai léché ses deux petits seins et ensuite j’ai également sucé ses tétons.— Maais ...enfin... Luc me fit-elle dans un état mitigé entre l’excitation et la peur du tabou.
Je remontais ma main sur ses seins et continua mon exposé de la soirée incestueuse de la veille
— Nina se frottait tout contre moi, elle bougeait lentement son bassin sur mon entrejambe pendant que je m’occupais de ses seins, j’étais tout dur…comme maintenant. Elle se mit à mouiller, je sentais sa culotte toute chaude sous mes doigts…
Maman fermait les yeux à l’écoute de mon récit, je pris sa main et la plaça entre ses cuisses
— Caresse-toi maman. Imagine tes deux enfants ensemble en train de prendre du plaisir. J’ai envie de sentir ta culotte, remplit de ta mouille toute fraîche.— Oh Luc…tu veux vraiment ma culotte ?— Oui maman— Parce qu’elle va être toute trempée si tu continues comme ça— Alors je continue… J’attrapais Nina et la bascula en arrière, je n’avais qu’une idée en tête, plonger mon visage entre ses cuisses et respirer à même son sexe, son parfum le plus intime.— Oh mon chéri…continue.— Si tu veux, mais sinon, ça te dirait d’avoir la culotte de ta fille sous ton nez ?— Mmmm, j’adorerais la sentir, mais tu m’as dit qu’il n’y en avait plus.— Il y en a une. Celle que tu as vue toute la matinée. Ne bouge pas.
Je me levais du lit, ouvrit la porte et constata que Nina s’était assise par terre, les jambes écartées en train de se masturber. Je l’aidais à se relever et la fit entrer
— Tu vois maman, j’ai quelqu’un ici qui va te donner sa petite culotte. Elle vient juste de se faire plaisir dedans. Et je crois qu’elle voudrait bien goûter à toi ensuite.— Mais Luc ! Nina ?! S’exclamait-elle toujours dans l’hésitation entre l’excitation qui monte d’un côté et la peur de franchir la ligne rouge.
Nina grimpa sur lit et descendit sa culotte sous les yeux de maman qui ne ratait rien du spectacle.
— Tiens maman, tu peux sentir mon jus, lui fit-elle en tendant la précieuse étoffe
Ma mère attrapa le tissu humide et le porta à ses narines tout en continuant de se caresser. Je me délectais de la scène qui se passait sous mes yeux, je sortis ma queue pour me caresser également et m’asseyais à côté de ma mère. Nina enleva son haut et vint se placer entre les jambes de notre mère. Elle commençait à lui caresser les jambes et embrassa l’intérieur de ses cuisses. Elle remontait petit à petit, tout doucement, pour s’approcher de son objectif.Elle finit par arriver devant cette culotte qui la faisait saliver depuis quelque temps maintenant et vint approcher son nez afin de respirer cet arôme spécial
— Oh maman, comme tu sens bon ! Ta culotte est déjà toute trempée dis-moi.
Maman appuya sur la tête de Nina pour coller son nez dans sa fente à travers le fin sous-vêtement
— Oh Nina, sens-moi bien ma fille !
Je ne perdais pas une miette du spectacle, ma mère était en transe, elle offrait à sa fille toute son intimité et prenait du plaisir à ça. Nina continuait de faire des petits bisous et de lécher la culotte mouillée
— Retire ma culotte ma chérie, j’ai envie de sentir ta langue sur moi
Nina ne perdit pas une seule seconde et enleva le dessous pour le porter à ses narines. Elle prit plusieurs respirations et me donna ensuite le précieux morceau de tissu. Elle se replongea entre les jambes de sa génitrice pour à nouveau respirer son intimité et continua en appliquant quelques coups de langues sur sa vulve. Maman se caressait le clito tandis que Nina lui léchait ses lèvres tout doucement.Moi, j’étais tendu au max. Je voyais ma sœur cambrée entre les cuisses de ma mère, je me plaçais alors derrière elle pour apprécier le spectacle d’un autre angle. J’admirais alors le cul de ma sœur, tendu vers moi, réclamant qu’on puisse l’honorer. Je passais ma main sur ces fesses toutes douces et glissais mon doigt dans sa raie. Elle m’exposait son anus et sa chatte ouverte et mouillée. Je commençais à lui caresser le minou ainsi que son petit trou, j’étalais sa cyprine au maximum et glissait mon doigt dans son vagin tout chaud. Avec le pouce, je titillais sa rondelle et parfois enfonçait légèrement une phalange, afin de la faire réagir. Cela fonctionnait, un gémissement un peu plus prononcé sortait de sa bouche à chaque intrusion par derrière.Nina, de son côté, continuait sa besogne entre les cuisses de maman, qui gémissait de plus en plus fort.Moi, toujours excité, je profitais de ce postérieur magnifique. Je lâchais ma queue pour attraper cette paire de fesses et les écarter doucement, Nina se laissant faire, j’approchais mon visage de cette raie offerte à mes sens pour goûter de nouveau à ma sœur. Je léchais son petit trou et respirait cette odeur qui finalement ne m’était pas totalement inconnue.
— Ninaa, ton cul ! Il sent trop bon.— Continue de le lécher frangin, n’oublie pas mon petit minou aussi, il est trempé, il dégouline de tout mon jus
Je replaçais ma langue dans le vagin de ma petite sœur pour lui donner un cunni langoureux et sensuel. Je me glissais entre ses petites lèvres, écartais son sexe pour insérer ma langue à l’intérieur, au plus profond de son antre, et dégustais sa cyprine.J’aspirais ses grandes lèvres et suçais son clito. Nina continuait son affaire entre les cuisses de notre mère et soupirait de plus en plus.Moi je remontais mon visage en léchant son périnée et revint poser ma langue entre ses fesses. Je fouillais son anus et tentais d’insérer ma langue afin d’apprécier ce nouveau goût qui me faisait bander comme pas possible. Après avoir dégusté les fesses de ma sœur je me relevais pour doigter sa petite chatte. Ça a dû lui plaire car elle reproduisait la même chose sur notre mère qui n’en demandait pas tant. Maman poussait des petits cris de jouissance, elle appréciait les caresses de sa petite fille.Personnellement je ne tenais plus et je le fis savoir à Nina :
— Mmmm Nina, tu vas me faire craquer avec tes fesses— Vas-y frangin, profite, elles sont à toi si tu veux
J’approchais mon sexe tendu entre ses lèvres et posais mon gland à l’entrée de sa fente suintant de mouille. Tout doucement je m’insérais à l’intérieur pour profiter de chaque centimètre du vagin ma sœur. Je ne rentrais qu’à moitié afin de faire durer le plaisir. Après quelques allers retours délicats qui faisaient doucement soupirer Nina, j’enfonçais mon chibre d’un coup jusqu’à la garde, ce qui l’a surpris :
— Aaaaaaaahhhhh, Haaaaaannnn !Ouiii
Je besognais ma sœur à grands coups de queue. Elle aimait tellement ça qu’elle s’arrêtait par moment de sucer maman pour profiter de l’instant. Tandis que je m’affairais dans son fourreau, j’appuyais gentiment avec mon pouce sur la rondelle qui me faisait de l’œil depuis un moment. J’introduisais au fur à mesure mon doigt à l’intérieur de son petit cul. De nouveau, Nina était surprise par mon geste :
— Hann, Luc, mais qu’est-ce que tu fais ?— Chhhhhut, ça va aller ma sœur, lui dis-je en enfonçant un peu plus mon doigt.— Mmm ça fait un peu mal mais c’est bon, continue
Je me retirais de sa chatte afin de récupérer un peu de jus avec mon doigt. Je badigeonnais son petit trou avec mon majeur et l’enfonça gentiment à l’intérieur. C’est rentré quasiment tout seul. Nina cria un peu plus fort
— Haaaaaaaaan, Mmmmmm
Maman ne comprenait pas ce qu’il passait, totalement abandonnée aux coups de langue de sa fille.
— Mais qu’est-ce que tu lui fais Luc ?— Je suis en train de la pénétrer par derrière, maman— Mais..Haaaann, oooh ! C’est pas bien ça.— Tu as tort maman. Nina, montre à maman ce que ça fait
Ma sœur ne se fit pas prier et glissa un doigt trempé directement dans le cul de sa mère qui poussa un petit cri d’étonnement. Elle entama un va-et-vient entre ses fesses tout en léchant son clito. Maman n’en pouvait plus.De mon côté, je retirais mon doigt des fesses de ma sœur, pour y approcher ma queue toute dure. Je fis un ou deux aller-retour dans son minou afin de l’enrober de son lubrifiant naturel et plaçait mon gland devant son orifice.J’appuyais fortement afin d’insérer mon frein à l’intérieur. Nina tourna sa tête vers moi et je sentis dans son regard un mélange de peur, de surexcitation et d’envie. Je poussais alors un peu plus fort, Nina ferma les yeux tandis que je voyais mon sexe disparaître lentement entre ses fesses. Elle avait carrément arrêté ses gestes sur Maman, seul son doigt était encore fourré dans son cul.Après quelques minutes de sodomie, Nina finit par s’écrouler sur le ventre. Le visage collé à la chatte de maman, elle subissait mes coups de verge dans son rectum. Ma mère contemplait ce spectacle, subjugué par ce qu’il se passait sous ses yeux. Elle voyait sa fille, les jambes écartées, abandonnée à mes coups de queue. Elle sentait son visage frotter son sexe au rythme des à-coups que je prodiguais.Je finis par stopper mes mouvements et me retirais de ma sœur, la queue toujours raide. Je replongeais mon visage pour appliquer quelques coups de langue sur sa rondelle ouverte, afin de profiter encore un peu de cette fragrance exceptionnelle.
Nina se releva et vint s’allonger à côté de maman pour reprendre ses esprits. Moi je m’approchais de ma tendre mère et lui mit ma queue devant sa bouche.
— Tu as toujours envie de goûter à ta petite fille maman ?— Oh Luc, donne-moi ta queue.
Maman ouvra sa bouche et enfourna ma bite. Elle me suçait tout en imaginant où ma queue était fourrée quelques minutes auparavant. C’était divin. En quelques instants je suis passé du trou serré de ma sœur à la bouche accueillante et chaude de ma mère.J’interrompais ma mère dans sa fellation, j’avais peur de jouir dans sa bouche trop vite, je voulais d’abord la pénétrer.
— Écarte tes cuisses maman…— Mais qu’est-ce que… ?
Je reculais mon bassin et mis mon sexe à l’entrée du sien. Je rentrais directement au plus profond d’elle, son vagin étant trempé des masturbations effectuées par Nina. Pas besoin de tergiverser, je pilonne ma mère littéralement. À côté, Nina se caresse devant la scène qu’on lui offre.Mais je vois que maman n’est pas satisfaite, alors je me retire d’entre ses jambes, lui soulève les cuisses et rapprochais ma queue tendue à l’entrée de son postérieur. Maman me regarde et fit un léger mouvement de tête d’approbation, je pénétrais lentement son anus, plus souple que celui de ma petite sœur. Nous nous fixions droit dans les yeux jusqu’à que j’arrive au plus profond de son antre. Arrivés au bout une première fois, nous gémissons en même temps. J’entame des va et viens qui font pousser des petits cris de jouissance à tous les deux.J’accélère mes gestes, je sens progressivement ma mère monter en tension. Je suis également à fond et me concentre pour ne pas me lâcher tout de suite. Alors je ralentis et donne des coups de reins plus lents mais plus profonds et plus intenses.Ma mère n’en peut plus. Je reprends un rythme plus soutenu et je sens ma mère partir :
— oui Luc, vas y plus fort, Hannnn, plus fort !— Oui maman, lâche-toi, jouis pour moi— Mmmm continuuue ! Haaaan Haaaaaaaaaaa !
Ce cri orgasmique m’a rendu fou, je sentais ses parois anales se serrer autour de mon sexe pendant sa jouissance.
— oh mamaaan, tu m’excites tellement, je vais jouir— Vas y mon chéri jouis à l’intérieur de maman— Hhhhhhhannnnn, haaaann, haaan
J’éjaculais au plus profond de ma mère. Pendant cette délivrance, je sentais plusieurs jets envahir son trou, je me retirais et laissait les dernières quelques gouttes dégouliner sur sa rondelle.Nina se releva et je lui laissais la place entre les jambes de maman.
— Tu m’en as laissé un peu frangin ? Me dit ma sœur, toujours une main entre les cuisses et quelques doigts dans sa fente.
Elle approcha son visage du cul de notre mère et lui dit :
— Tu vas tout garder pour toi maman ou tu vas m’en donner un peu ?— Tu vas avoir ta part ma chérie, tu vas boire le jus de ton frère.
Après quelques contractions du périnée, mon sperme coulait de l’orifice de ma mère.
— Termine-moi mon frère, j’ai envie d’avoir un orgasme entre les fesses de Maman
Nina passa sa langue dans la raie afin de récupérer le maximum de semence. Maman passa son doigt pour en collecter et le porter à sa bouche. Le fessier tendu, j’introduisais mes doigts dans le vagin de ma sœur et entrepris un massage prononcé de son vagin. Léchant le cul de sa mère pour se délecter de mon jus, Nina ne mit que quelques instants à trouver l’orgasme
— haaannn ouuiiiii, Luuuc, Mmmmm. Haaaaaaaaaaaaaann ! C’est booonnnn.
Après cet orgasme, Nina se releva vers Maman pour l’embrasser sur la bouche, symbolisant à travers ce geste de tendresse la conclusion de nos ébats incestueux.Mes deux amours allongées sur le dos, je leur embrassais une dernière fois leurs minous repus. Un dernier coup de langue sur leur petit bouton et une dernière inhalation d’effluve venant de leur intimité. Je profite…***Par la suite, il nous arriva de temps en temps de recoucher ensemble tous les 3 en même temps. Même si c’était moins intense que cette 1èref ois, cela était plus spontané. Le tabou a été brisé, pour un certain temps du moins. Je continuais de voir ma sœur ‘’en cachette’’ et ma mère dans sa chambre.Puis le temps passe, les petits copains et petites copines se font plus réguliers, plus sérieux. Ce doux rêve que nous nous sommes construit s’étiole petit à petit. C’est pas grave, c’est comme ça, rien à regretter. Nous ne nous interdisons pas une petite fellation ou un petit cunni, pour le plaisir, comme ça, quand on a une petite envie.
De mon côté, les fouilles dans le bac à linge n’ont jamais réellement cessé, et il m’est arrivé par la suite de les effectuer également chez mes amies, ce qui me procurait de nouvelles excitations. Parfois même je ramenais un de ces trésors à ma petite sœur adorée. C’est qu’elle y a pris goût elle aussi…
****** Merci à tous
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