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Mon cher maître

Chapitre 1

Voyeur / Exhibition
Ces trois derniers mois, je me retrouvais pratiquement bien seule à cause de la préparation des examens scolaires. Mon copain Charles préférait se consacrer entièrement à ses études et me délaissait malheureusement un peu trop. Même si de mon côté je trouvais suffisamment de temps pour me détendre un peu, je ne pouvais pas trop lui en vouloir, car pour avoir un meilleur avenir professionnel, il faut avoir de bonnes études. Nos petits rendez-vous au parc me manquaient beaucoup, dont le seul endroit où on se retrouvait librement pour faire l’amour. Pourtant j’ai toujours l’appartement que me louent mes parents pour mes études et que je partage avec une autre étudiante, on pouvait bien se voir en douce, mais Charles avait peur que mes parents découvrent qu’il couchait avec moi. Il est vrai que mes parents sont très au petit soin avec moi, et de plus très stricts sur mes fréquentations avec les garçons.
Bien qu’ils aient toléré les rapports sexuels qu’à partir de dix-huit ans pour mes frères et moi, et que j’avais respecté leur choix, je préfère encore leur cacher que j’ai offert ma virginité à mon copain Charles précisément depuis cet âge.

L’absence trop prolongée de Charles me dérangeait énormément. Déjà que je ne me trouvais pas très normale par ma gourmandise de sexe, je me retrouvais d’un coup sans activité sexuelle que je ressentais un véritable manque de plaisir dans tout mon corps. Je devais combler un peu ce manque, alors je décidai de discuter de sexe sur le Net. Cela me calmait un peu, mais il me manquait toujours quelque chose, rien ne pouvait remplacer de vraies caresses et un vrai rapport sexuel.
Quoi qu’il en soit, un internaute, que je surnomme Panpan, m’avait particulièrement séduite par sa douceur et sa grande patience, et surtout, il me comprenait. On parlait beaucoup de moi, de mes désirs, et bien sûr de mes fantasmes. Tout doucement, Panpan devenait mon guide, et plus particulièrement mon maître. Je me laissais construire un petit jeu bien excitant, un petit jeu de soumission qui me faisait drôlement frissonner de plaisir, et malgré la distance entre nous deux, il arrivait à me faire jouir comme une folle.
Notre petit jeu dérivait peu à peu, mais j’aimais bien cela. Un soir, comme je le faisais une ou deux fois par semaine, j’avais commandé une pizza à livrer à domicile, mais ce soir-là, le livreur était très en retard à cause d’une panne d’électricité dans le quartier. C’était à ce moment que je discutais plus en détail du livreur avec mon cher Panpan. Le livreur, qui était toujours le même, grand, juste musclé, châtain foncé aux yeux d’un gris très clair, très gentil et bien beau. Je fantasmais sur mon beau livreur pour la première fois en jouant avec Panpan qui me disait :
— Pense très fort à ton livreur, et imagine que tu le reçois en petite tenue sexy.
Des images assez osées de moi en sous-vêtements des plus sexy défilaient peu à peu dans mes pensées. Elles m’étaient très gênantes, mais bizarrement de plus en plus excitantes au fur à mesure que je lisais la petite mise en scène de Panpan sur mon écran. J’étais particulièrement plus excitée que d’habitude, et je me caressais tout naturellement pour savourer au maximum ce bon plaisir tout en racontant dans les moindres détails tous mes gestes à Panpan. Je portais une petite robe toute simple, légère et très courte, mais suffisamment sexy qui épousait parfaitement les courbes de mon corps. Je rapprochai donc les bretelles pour sortir mes seins libres que je caressais d’une main, et directement à mon entrejambe, mon autre main que j’enfouis sans même soulever la jupe si courte pour caresser mon sexe. Panpan continuait de m’alimenter en plaisir en rajoutant :
— ton livreur sera tellement trop excité de te voir presque nue qu’il te sautera dessus sans hésiter, et te prendre direct contre la porte d’entrée.
Je mouillais tellement ma petite culotte que je l’ôtai complètement pour mieux me masturber en répondant à Panpan :
— Oh oui maître ! Tu m’excites beaucoup trop là !
J’enfonçais fièrement mes doigts dans mon vagin inondé de mon jus d’amour à la recherche de la jouissance quand soudain mon cher Panpan m’ordonna de tout arrêter et me dit :
— Tu devras attendre le passage de ton cher livreur pour finir de te soulager. Tu le recevras exactement dans la tenue que tu te trouves à l’instant. Je t’autorise d’enlever des vêtements, mais pas d’en rajouter.
Je fus soudain choquée par sa demande et m’exclamai :
— Mais !... Maître !
Panpan me rassura gentiment et souligna :
— Tu peux encore tout arrêter si tu veux. C’est ce que tu veux ?
Bizarrement, je réfléchissais encore. Il me restait que ma petite robe comme seul vêtement pour couvrir mon corps. Et déjà qu’elle était très courte, elle était en plus presque transparente dû à l’étirement du fin tissu par mes courbes, mes hanches accentuées et surtout mes seins si généreux en avant. Bizarrement, des images créant cette situation restaient bloquées dans mes pensées, et je me surprenais moi-même de ressentir un certain plaisir de pouvoir m’exhiber. L’excitation semblait me guider à son tour que je m’encourageais en me disant que ce n’était qu’un simple petit jeu sans grand danger.
Le temps parut s’accélérer que le livreur sonna déjà à ma porte me faisant drôlement sursauter. J’avais très peur de ce que j’allais faire, je frissonnais d’inquiétude, mais j’étais bien trop excitée pour refaire marche arrière. J’ouvrais donc la porte, très doucement, et suffisamment juste pour présenter mon corps à mon beau livreur. Il était encore plus surpris que moi en me voyant aussi peu vêtue. Il avait en face de lui mes gros seins bien ronds qui se balançaient à chacun de mes mouvements et dont mes pointes dressées par l’excitation semblaient vouloir percer le tissu si fin qui ne cachait vraiment rien de mes aréoles plus sombres.
Ses yeux grand ouverts s’attardaient audacieusement sur ma poitrine, descendaient de temps en temps sur mes hanches, certainement pour trouver une emprunte ou un pli confirmant le port d’une petite culotte, mais en vain, puis se terminait sur mes jambes entièrement dénudées que je croisais et décroisais sans cesse comme pour essayer de les cacher à tour de rôle.
Comme par hasard, il resta bien assez longtemps au seuil de ma porte pour s’excuser de son retard, et gentiment m’offrit la prochaine commande de pizza gratuite. Une fois qu’il était parti, je ne pouvais engloutir de suite ma pizza tellement j’étais excitée de vivre ce petit moment effectivement bien excitant. Je gagnai sans attendre ma chambre pour tout raconter à mon adorable Panpan, et finir en même temps de me masturber et de jouir comme une folle en pesant à mon charmant livreur qui devait être terriblement excité pour moi et à cause de moi.
Ce Petit jeu de soumission et d’exhibition me plaisait beaucoup malgré moi. Je n’avais plus recommandé de pizza depuis cette petite aventure, mais quelques semaines plus tard, Panpan me demanda de commander à nouveau pour me faire revivre ce moment si excitant. Cette fois-ci, je devais juste enrouler une serviette de bain autour de moi pour recevoir mon cher livreur. J’avais donc eu ma pizza gratuite comme prévu, mais il avait aussi ramené une bouteille vide pour que je lui remplisse d’eau fraîche. Je comprenais que c’était juste un prétexte pour rentrer chez moi, mais comme je le trouvais aussi beau et gentil, je lui fis donc rentrer un moment. Je désirais aussi continuer jouer de mon charme. Il ne pouvait pas voir grand-chose de mon corps, mais il pouvait deviner que j’étais nue sous la serviette. On discutait un peu, et je lui servis un jus de fruit bien frais. Mon cher livreur se prénommait Carl, il avait 28 ans et pourtant je lui donnais beaucoup moins pour son âge.
Il n’eut aucun mot et aucun geste déplacé.
Il était très poli et assez timide même s’il avait trouvé un moyen de rentrer chez moi. Il ne resta pas longtemps, et au moment qu’il franchissait la porte pour partir, je laissai exprès tomber ma serviette à mes pieds pour lui dévoiler mon corps entièrement nu, en m’exclamant :
— Oups !!! Désolée !
Et je me pressai de ramasser la serviette pour me couvrir en refermant la porte. J’attendais d’entendre ses pas s’éloigner pour enfin gagner ma chambre et tout raconter à mon maître en me masturbant.Et enfin, cette troisième commande que je ne m’attendais pas du tout, du fait que j’avais décidé d’une petite soirée très spéciale pour mon adorable Panpan. Je m’étais coquinement habillée rien que pour lui d’une petite nuisette blanche très transparente à dentelles qui se fermait avec qu’un seul petit nœud en dessous de la poitrine, et d’une petite culotte brésilienne assortie blanche à dentelles. Cette tenue était superbement très sexy, mais me parut soudainement très provocante quand mon cher maître osa me demander de commander une pizza, et bien sûr, je devais le recevoir dans cette nouvelle tenue. Je pouvais encore tout arrêter de ce petit jeu, mais j’étais encore une fois naturellement emportée par cette excitation d’exhibition. Je me disais tout simplement que c’était la dernière fois avec mon livreur avant que cela aille trop loin.
Mon livreur de pizza, Carl, ne travaillait pas ce soir-là, mais comme il m’avait remis son numéro privé, je suis tombée directement sur lui. Gentiment, il accepta de me préparer ma pizza préférée et de me la livrer, tout encore gratuitement.
Carl arriva avec ma pizza et une bouteille de jus de fruit, le même que je lui avais offert la dernière fois. J’avais pourtant prévu de garder une de mes mains libres pour récupérer ma pizza, mais mon autre main tenant le bas de ma petite nuisette fermée sur mon ventre, et essayant de couvrir un peu ma petite culotte qui se voyait quand même, je ne pouvais aussi prendre cette boisson si gentiment offerte. Avant que quelqu’un errant dans le couloir me surprenne dans cette tenue, je fis entrer Carl pour qu’il dépose la bouteille sur la table à manger. Ses yeux toujours aussi maladroits fixaient sans cesse les globes de mes seins à peine recouverts de ma petite nuisette, et ma petite culotte qui dessinait audacieusement mon petit triangle bombé dévoilant mon pubis et la naissance de mon sexe. Je m’étais pourtant un peu préparée à subir d’être autant admirer, mais Carl arrivait quand même à me mettre vraiment mal à l’aise à me regarder si directement.
Curieusement, il était beaucoup moins timide qu’il me disait que j’étais très belle et très sexy, et enfin oser me demander quelle était la raison pour laquelle je l’accueillais en petite tenue ces derniers temps.
Bien sûr je ne pouvais pas lui avouer que c’était un jeu et un fantasme avec un internaute, alors je lui répondis que c’était juste un pari que j’avais tout bêtement fait avec une copine.
Timidement, je cachais mon entrejambe de mes mains croisées sur le haut de mes cuisses, mais bizarrement, cela m’excitait davantage comme si je donnais encore plus d’importance à mon intimité. Une très forte chaleur montait le long de mon corps. Je bégayais en parlant doucement comme une gamine qui se faisait attraper pour une bêtise. Je n’arrivais plus à bouger et quoi décider, raccompagner le livreur à la porte ou bien attendre qu’il parte de lui-même. Je me contentais de me servir un verre de jus et en proposai à Carle qui ôta de suite son blouson de cuir noir et l’accrocher au dos de la chaise. J’admirais discrètement ses épaules larges et musclées parfaitement dessinées dans un tee-shirt collé à sa peau. Carle devait être autant excité que moi, que d’une voix un peu tremblante, il continua de me complimenter :
— Tu as une très jolie poitrine.
Je rougissais de timidité que je baissais ma tête en répondant doucement :
— Merci beaucoup.
Un petit moment de silence traversait la pièce. J’en profitais pour me rafraîchir encore d’une gorgée que je remarquais le regard de Carl toujours plongé sur ma poitrine, puis d’une voix encore plus tremblante, il rajouta :
— Je peux les toucher ?
Je faillis m’étouffer dans ma gorgée tellement je ne m’attendais pas à une telle demande. Je ne savais pas quoi répondre et plus quoi dire pour me sortir de cette situation. Je n’osais plus vraiment croiser son regard. Carl remarquait certainement mon gène qu’il restait à son tour silencieux en terminant d’un trait le reste de son verre. Au moment où il attrapa son blouson, je compris qu’il s’en allait, mais bizarrement, je me retournai face à lui et m’approchai très près de lui en fermant les yeux. J’entendis son blouson retomber sur la chaise, me faisant légèrement sursauter, et aussitôt, ses mains se posèrent sur ma poitrine. Un long frisson parcourait tout mon corps pendant qu’il palpait très doucement mes seins en frottant ses paumes sur mes pointes durcies sous le tissu très fin. Ses lèvres très audacieuses se posèrent sur les miennes, me donnant un autre plus gros frisson, comme une décharge électrique, mais curieusement, je le laissais tranquillement m’embraser.
Je ne pouvais résister à ses baisers si tendres et si chaleureux.
Sa langue cherchait la mienne que je finissais par offrir timidement. Carl avait dénoué ma nuisette sans même que je me rende compte que je sentais la douceur de ses mains directement sur la peau de mes seins qu’il massait un peu plus fermement. De temps en temps, il attrapait mes pointes pour les faire rouler entre ses doigts, ce qui me faisait drôlement frissonner et gémir doucement. A ce moment, je me sentis comme prise au piège, car mon corps commençait à s’onduler doucement et naturellement de désir. Carl comprit de suite mon état et s’empara fièrement de mes pointes durcies en les pinçant un peu plus fort tout en continuant de m’embrasser langoureusement. Je gémissais ouvertement dans sa bouche et je m’agrippais à ses épaules pour ne pas perdre équilibre, car mon corps m’abandonnait pour de bon. Une de ses mains descendait librement sur mon ventre et se glissa directement dans ma petite culotte. Aussitôt, ses doigts se promenaient dans ma fente que je devinais bien plus qu’humide.
Effectivement, car deux d’entre eux me pénétraient déjà, tellement ma mouille était abondante.Je tremblais d’inquiétude, je ne me reconnaissais plus, je n’avais jamais laissé un inconnu me toucher, pas même un brin de mes cheveux, mais miraculeusement, celui-là était en train de carrément me peloter et me doigter à sa guise. Je devais être totalement folle d’excitation que je ressentais de plus en plus une terrible sensation de faim de plaisir.
Carl me poussa contre la table en s’aidant de son corps musclé, et profitant de ces quelques mouvements, il fit descendre ma culotte à mes genoux qui continua sa chute directement à mes chevilles. Carl n’avait pas lâché ma bouche qu’il continuait d’embrasser langoureusement. Il me souleva légèrement pour poser mes fesses sur le bord de la table. Il se frottait ensuite contre mon corps et s’aidait de ses genoux pour ouvrir davantage mes jambes, et dans l’action, je perdais ma culotte d’un côté de cheville. J’étais juste en équilibre sur mes pointes de pieds et légèrement renversée en arrière par le poids de son corps sur le mien et entre mes cuisses. Soudain, j’entendis le bruit de métal de son ceinturon qui se dégrafait avec beaucoup d’impatience.
Très vite, mon esprit se mit à travailler pour essayer de comprendre les vraies raisons de mon impardonnable comportement, mais mon corps réagissait bien autrement et frissonna d’un fort désir quand je compris que le sexe bien raide et bien dur de Carl touchait déjà le mien.
Sans même que j’eus le temps de réaliser que j’allais réellement tromper mon copain Charles, ce nouveau pénis se fraya un chemin entre mes lèvres intimes et me pénétra délicieusement de toute sa longueur. Je laissais échapper un long gémissement de surprise, mais surtout de pur bonheur de sentir mon vagin aussi bien rempli par un si gros bon sexe d’homme. Carl ne me ménageait aucunement, il me prenait bien fort et de toute sa longueur en faisant décoller mes pointes de pieds du sol à chaque coup entre mes cuisses qui s’ouvraient plus largement. Même la table se décalait sous ses assauts. Je gémissais plus fort dans sa bouche qui n’avait toujours pas quitté la mienne. Je mordais fort ses lèvres et je griffais ses larges épaules musclées. Carl me retenait par ses bras autour de ma taille pour s’enfoncer encore plus fort et plus vite en moi.
Ses grands coups de reins trop forts me faisaient mal à mon entrejambe, mais dans mon vagin abondamment humide, c’était du vrai bonheur, et enfin une jouissance extrêmement forte.
Tout mon corps vibrait de plaisir. Mes pieds ne touchaient plus le sol, et mes jambes tremblaient encore dans le vide pendant que mon nouvel amant continuait de me tenir embrochée sur son gros pénis qui semblait vouloir me défoncer pour de vrai. L’excitation recommençait à monter dans mon corps, que soudain, Carl me plaqua, complètement allongée sur la table de tout son poids en grognant comme un animal. Ses grosses secousses dans mon vagin me confirmaient qu’il jouissait de tout son plaisir et se vidait fièrement en moi.
Carl me libéra de suite, et réajustant son pantalon qui était à ses genoux, il s’éclipsa un moment aux toilettes. J’en profitais pour enrouler une serviette autour de moi, et nous servir un dernier verre de jus de fruit bien frais. Carl s’en alla aussitôt qu’il avait terminé son verre. C’était peut-être un petit moment très rapide, mais bien très excitant que je racontais ensuite à mon cher maître. Je n’aurais jamais pensé pouvoir tromper mon copain, mais je ne regrette pas du tout d’avoir si bien joui.
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