En préparant notre voyage à Cuba, mon mari m’indique que c’est une population chaude et très sensuelle. Alors je me suis mis à penser que je vais peut-être pouvoir réaliser un fantasme vieux de plus de 30 ans... faire l’amour avec un beau métis... et c’est effectivement ce grand bonheur que je connais. Nous pouvons très vite vérifier ce que mon mari me dit , notamment les tenues sexy des filles : short et brassière moulants, sans complexes et décontractés. Une soirée salsa avec hommes et filles du pays où nous sommes très bien accueillis nous a vite convaincus sur leur grande sensualité et l’aisance avec leurs corps. C’est à Cienfuegos, dans un hôtel près d’une plage de la mer des Caraïbes que mon fantasme prend les traits de Daisvel. Beau métis, une trentaine d’années, grand, élancé, lèvres bien dessinées, souriant, de belles dents blanches, élégamment vêtu d’un pantalon gris et d’une chemisette blanche ouverte. Il s’occupe de l’animation de l’hôtel. Mon mari doit récupérer encore le décalage horaire, va se coucher après le repas. Nous sommes une vingtaine à danser la salsa avec Daisvel et je n’ai d’yeux que pour lui, à sa manière dont il bouge souplement son joli corps. Vétue d’une tenue en rapport avec la température extérieure : petite robe légère et colorée, elle m’arrive à mi-cuisses, et laisse visible un beau tiers de la partie haute de mes seins (du 90 B). Lorsque la danse s’arrête, plusieurs personnes s’en vont, et la salsa fait place à des chansons très langoureuses de Béni Moré, l’enfant du pays. Sur cette musique douce, à ma grande surprise, Daisvel vient m’inviter à danser avec un grand sourire, j’accepte bien évidemment. Excellent danseur, une tête de plus que moi, après plusieurs minutes, il cale doucement ma tête contre son épaule, ses deux grandes mains, les doigts écartés me tiennent serrée contre lui, petit à petit, il m’entraîne tout en dansant vers un endroit plus sombre, et petit à petit, avec une très grande douceur, il écarte ses doigts, quelquefois avec une petite pression. Il me prodigue ainsi dans le dos, plusieurs mini-caresses en même temps, toujours avec douceur, il remonte une main vers le haut de mon dos nu,. Il continue presque imperceptiblement ses toutes petites caresses très sensuelles, il me demande en anglais "Tu aimes ?", et moi "Oui, oh, oui". S’’arrangeant pour ne pas être vu des autres, il passe très délicatement deux doigts sur la partie nue de mes seins, et me dit "Ils sont beaux". Je le pense sincère, alors moi aussi je le caresse doucement dans le dos, il me regarde et me sourit d’une manière complice. A la fin de la danse, nous ne sommes plus que deux, il s’est risqué d’un très doux baiser de plusieurs secondes à la base de mon cou. Il me demande « Tu es seule ? » Oui, « Tu veux bien rester avec moi ? » en caressant doucement mes seins et en me fixant bien dans les yeux. Je lui demande « Tu as un préservatif ? ». Son visage s’ éclaire, et très souriant, il me lance un grand et triomphal « Yessssss !!!!!! ». Il me colle contre un mur, et avec ses deux mains, caresse la partie nue de mes seins. Puis nos lèvres se joignent, je suis sûre maintenant de la réalisation de mon fantasme. Il ferme quelques portes, me prend la main et me dit « Viens », quelques deux cent mètres plus loin, il me fait pénétrer dans sa chambre qu’il ferme à clé. Je vais vivre un moment inoubliable. Il me caresse de la nuque au bas des fesses, de manière progressive et douce, mon corps s’électrise, ses mains s’insinuent entre mes seins et le léger soutien-gorge. Il me dit « Fais-moi voir tes trésors », je dégage alors le soutien-gorge et la petite robe tombe, il enlève sa chemisette, je découvre son torse parfait et cuivré. Ses mains et sa bouche viennent mettre mes seins au garde-à-vous « Merveilleux, ils sont merveilleux, je te veux ». Je lui réponds «Moi aussi », il défait sa ceinture et pose son pantalon, il n’a plus qu’un slip où je devine sans peine une grande tige déjà bien raide qui mène en avant le tissu du slip blanc. En me caressant doucement les hanches, en prenant bien son temps, après avoir caressé mes fesses, dehors et dedans, il baisse ma culotte et me la fait enlever. Il s’allonge sur le lit et me fait signe de le rejoindre. « Suce mon cigare » en dirigeant ma main sur son slip. Très délicatement, je dégage largement l’élastique, et presque automatiquement, cela dégage son beau cigare qui se redresse. Je lui caresse, mes doigts allant jusqu’ à ses couilles, et je me suis mis à fumer le cigare en dégageant le gland avec ma langue. Oui, il est bien vrai que les cigares cubains sont les meilleurs du monde ! Je m’applique peut-être comme jamais, il me caresse la nuque et me dit qu’il est très heureux. Il se retire de ma bouche, me fait placer sur le lit, couchée sur le dos, un oreiller sous les fesses. Il déroule un préservatif sur sa belle bite colorée, en restant très calme, et tout sourire, il place sa tête face à ma chatte ouverte, et avec une infinie douceur, pendant plusieurs minutes, avec sa langue experte, il me caresse du rectum au clitoris sans oublier le haut de mes cuisses, je le laisse faire, c’est ’un délice que je n’ai peut-être jamais éprouvé, il me demande si j’aime et je lui dis « non j’adore ». Ma chatte déjà bien mouillée, dégouline de cette mouille qu’il lape et répand partout du rectum au clitoris gonflé comme peut-être jamais. Ces instants son très intenses, puis il se positionne en face de moi, place sa verge à l’entrée de mon vagin, et sans s’aider de ses doigts ou des miens, son gland ouvre mes chairs les plus intimes. Avec simplement de longs mouvements de bassin, à chaque fois, sa bite s’enfonce un peu plus en moi, d’une manière très maîtrisée, jusqu’à la pénétration totale, je sens sur mon clitoris le frottement de ce long membre, toujours au rythme langoureux. Ses longs va-et-vient me mènent à la jouissance, je lui caresses et lui pétris ses deux belles fesses bien fermes, je vis un des plus beaux moments de ma vie, et presque dans le même instant, nous atteignons tous les deux les sommets de l’orgasme. Il vient coller son corps contre le mien pendant qu’en longs jets, son sperme s’écoule de cette queue qui vient de me combler. Plusieurs minutes s’écoulent , nous ne bougeons pas . Son beau cigare encore raide me remplit. Je veux prolonger cet instant à l’infini, pour cela, je pose mes mains sur ses fesses pour qu’il reste immobile. Il cherche mes lèvres et les trouve, nos langues jouent, nos lèvres aussi, plusieurs minutes, l’intensité monte. Puis tout doucement, il se retire, malgré moi, il retire le préservatif et va se laver dans la petite salle d’eau. Il revient, je décide de redonner vigueur à ce cigare incomparable. Quelques trois minutes suffisent, je lui demande si je peux le photographier, ce qu’il accepte avec plaisir et fierté. Il me propose une promenade, met soutien-gorge et culotte dans ma pochette, et me demande de remettre ma robe. Il remet son pantalon et met un préservatif dans sa poche. Nous sortons, il n’y a que nous dehors, la température est très douce, il m’entraîne près de la plage vide. La nuit n’est pas noire et nous pouvons nous diriger. Il quitte son pantalon qu’il pose délicatement sur une table de ping-pong en ciment. Il me dit « Fume encore mon cigare », je m’exécute immédiatement, il est bien raide et sa taille est maximum. Il libère mes deux seins pour les mettre à l’air, c’est si bon !!!! Puis il me fait écarter les cuisses, et sa grande main vient me caresser mes grandes lèvres, mes petites lèvres, mon clitoris, l’entrée de mon vagin.Dès qu’il a été bien lubrifié, il m’enfonce doucement son majeur, j’écarte un peu plus les cuisses afin de lui faciliter la pénétration. Puis il enfonce un deuxième doigt et déjà mon corps le ressent en entier. Il me fait alors positionner, accroché à la table de ping-pong. Il met le préservatif, repasse deux doigts pour bien ouvrir ma chatte. Je me cambre, et une nouvelle fois, son beau cigare vient me visiter. Ses doigts s’occupent de mon clitoris, et je ne tarde pas à ressentir une autre jouissance, presque aussi intense que la première. Il agrippe mes hanches pour s’immobiliser au plus profond et éjaculer une nouvelle fois au plus profond de moi. Il me raccompagne à ma chambre, le lendemain matin, nous partons sans que je le revoie.Inoubliable !
