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Mon collègue Romain

Chapitre 1

Hétéro
La conférence tenue par un de mes collègues dans la grande salle de mon entreprise se termine dans les applaudissements. Je lui lance un regard complice. Depuis mon arrivée dans ce service, Romain a toujours été mon repère, mon soutien, mon ami. Après plusieurs jours à travailler cette présentation avec lui, je suis fière en le regardant remercier son audience, sûr de lui. Les corps engourdis se délassent, et une armée d’hommes d’âge moyen à l’embonpoint marqué se lève pour rejoindre le buffet post-conférence qui leur sert de récompense pour le déplacement. Tous s’entrechoquent pour un demi-petit four bon marché et une coupe de champagne. Il m’en faudrait une bouteille pour me faire oublier la nécessité d’à mon tour aller serrer ces mains moites, et glisser quelques cartes de visite.
Je parcours la salle du regard et tombe sur le conférencier qui a tenu en haleine cette foule en délire. En plein dans une séance de questions-réponses improvisée, il me lance un appel au secours visuel. Je réajuste ma jupe, et dans mon slalom agile entre les participants, je le dévisage. Romain est grand, souriant, lumineux. On le sent apaisé par sa performance. Il rit et passe sa main dans sa barbe.
— Romain, je chuchote, désolée de t’interrompre, il faut que je te présente quelqu’un qui part dans un instant ! Je vous prie de m’excuser messieurs, je vous le rends dans un court moment !
D’un geste sûr, j’attrape sa main et le tire vers moi. Mes talons raisonnent dans les escaliers, quand il se détache de moi et disparaît. Je me retourne et je vois réapparaitre, une bouteille et deux coupes à la main, avec un air malicieux.
— Pour m’avoir sauvé, tu mérites bien un petit verre ! me dit-il.

Nous rions ensemble et montons dans les étages. Je fais sauter le bouchon de liège.
— A toi ! Et à de nombreux contrats signés grâce à toi aujourd’hui, je dis joyeusement.

D’une traite, nous finissons un premier verre, que je ressers aussitôt. Le brouhaha fait par nos invités au rez-de-chaussée nous incite à nous rapprocher. Je m’assois sur un bureau en verre, et à chaque mot, je sens son corps se rapprocher du mien.Pour la première fois, il n’est plus Romain, mon collègue. Il se passe autre chose. Sa main m’effleure pour saisir la bouteille posée à côté de moi et je sens un frisson me parcourir.Notre discussion s’interrompt un instant et nos regards se croisent. Je sens alors ses doigts changer de direction et se poser délicatement sur ma taille. Il fait un dernier pas en avant, et se retrouve entre mes jambes. Je sens son souffle sur mon visage. Ses lèvres sont à quelques millimètres des miennes. Mes mains passent sous sa chemise pour le tirer, plus près de moi.

— Morgane, regarde derrière toi, me chuchote-t-il.
Alors que sa voix mélangée aux quelques coupes me fait tourner la tête, mes yeux se posent sur la caméra de surveillance juste derrière moi.
— Si tu ne bouges pas, me dit-il, on aura juste l’air de discuter.
Je ne dis pas un mot quand je sens ses doigts passer de ma taille à mes cuisses nues sous ma jupe. Il m’effleure et je sens déjà ma culotte s’humidifier.

Inquiète et excitée par le moment, et la possibilité à n’importe quel instant que quelqu’un vienne perturber cette scène, je le regarde intensément. Son index remonte doucement, de mon genou à l’intérieur de ma cuisse, à la dentelle de la lisière mes sous-vêtements. Je soupire, mais il me maintient en place. C’est le deal, pas un mot, pas un geste.
Il me fixe toujours intensément dans les yeux, exigeant que je soutienne ce jeu du regard. Ses doigts experts viennent maintenant effleurer mon sexe à travers ma culotte pour finalement s’y aventurer. Il me caresse doucement, et je sens monter en moi cette électricité du plaisir et du danger.
Je passe ma main dans ses cheveux que je tire légèrement. Des gémissements sortent de moi malgré mon bon vouloir, et mon souffle s’accélère. Il sourit. Je le vois, il cherche à me pousser à bout. Mes yeux se ferment finalement un instant et je sens son visage plus proche. Sans m’embrasser, je sens sa langue goûter mes lèvres, puis passer le long de mon cou. Il revient à mon visage et me mord la lèvre inférieure.
Je rêve d’un baiser, d’un vrai. Je l’imagine me prendre sur ce bureau de verre, et ses doigts continuent à s’agiter en moi. Mon orgasme monte et je finis par jouir entre ses mains. Mes jambes atour de lui, je le sens dur, excité par sa performance.
Ma main glisse le long de son torse. Je défais sa ceinture, je veux le sentir, le toucher. Je veux le goûter. Je sors son pénis de son caleçon emprisonnant, et commence quelques va-et-vient.
— Romain, j’ai envie de toi, et j’ai envie de toi ici et maintenant.

Il me soulève de ce bureau déjà souillé par nos aventures et me mène dans un coin plus tranquille, loin des caméras.
Romain me plaque contre un mur de ce couloir isolé, et m’embrasse sauvagement. Il emprisonne mes poignets et je sens sa langue dans ma bouche. C’est un combat sexuel. La tension est si forte, que ce premier vrai baiser est violent. On se mord, on se goûte, on se lèche. Nos mains se parcourent, son corps se colle contre le mien. Mes lèvres parcourent son cou quand mes mains ouvrent les boutons de sa chemise, un à un. Elles descendent le long de ce torse fort avant d’arriver à son sexe dressé. Gourmande assumée, je rêve de le prendre en bouche. Les yeux dans les yeux, à ses genoux, je le lèche sur toute la longueur avant de poser mes lèvres sur le bout de ce long pénis. Je glisse jusqu’à avoir mon nez contre ses poils pubiens, et vois sa tête tomber en arrière de plaisir. Je fais quelques va-et-vient et le sens trembler contre moi.
— Morgane, je peux plus durer très longtemps là.
Je reste et poursuis mon traitement, jusqu’à sentir plusieurs jets de déverser au fond de ma gorge. Sa main dans mes cheveux glisse le long de mon visage. Il s’assoit à mes côtés.On s’embrasse longuement, assis à même le sol, partiellement nus, un étage au-dessus de la soirée d’entreprise regroupant nos 120 collègues et nos plus gros clients.
Je lui lance un regard satisfait lorsqu’il me caresse le bras, paisible.
Mes mots sont crus, mais ma voix est douce quand je lui dis, innocemment : « Romain, tu vas me baiser dans toutes les salles de ce bâtiment ».
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