Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 163 J'aime
  • 6 Commentaires

Mon colloc m'initie (1)

Chapitre 1

Gay
Tout commença lorsque, une fois, je vis le sexe de mon colloc en vrai. Il avait pris une douche et, pour se rendre dans sa chambre, il traversa le salon tout nu. Normalement, il portait toujours une serviette. Assez pudique dans son habitude alors que, là, sans gêne, il me dit juste :
— Oups ! Désolé de me promener nu, je ne savais pas que tu étais là. Ma serviette est trempée, elle est tombée dans l’eau et je n’ai pas pris de caleçon.
Je le vis gêné et même son visage devenir rouge. Il partit vite dans sa chambre. J’avais eu le temps de voir son sexe. Il était beau. Il devait faire treize centimètres au repos et était épais. Ses couilles bien grosses et rondes mettaient son sexe en avant. Je n’avais jamais vu une autre queue que la mienne mais j’aurais bien voulu la toucher, sentir une autre bite que la mienne en main. Je n’étais pas gay ou bi mais de voir cette queue ne m’avait pas laissé de glace ou rebuté.
Le fait d’y repenser me faisait avoir un début d’érection. Qu’aurais-je dû faire ? Lui en parler ou tout oublier ? Faire comme si de rien n’était ? Il s’appelait Raphaël mais je l’appelais Raph. Il avait 22 ans, tout comme moi. Nous avions fait connaissance au collège et nos travaux respectifs avaient fait en sorte que nous habitâmes ensemble. Nous travaillions dans la même société mais dans des services différents. Raph revint de sa chambre, habillé d’un short et d’un t-shirt, cette fois-ci, presque à mon grand regret.
— Tu veux quelque chose à boire, Seb ? — Oui, Raph, volontiers une bière, s’il t’en reste. — Oui, je t’apporte ça et des trucs à grignoter aussi.
Il m’apporta la bière. Lui aussi en avait pris une. Nous parlâmes de tout et de rien, du travail, de nos occupations, mais rien sur l’épisode précédent. J’aurais voulu qu’il m’en reparlât afin que je pusse rebondir dessus mais rien, jusqu’à qu’il remît la scène en avant.
— Je ne t’ai pas gêné, avant ? — On dira que tu étais plus gêné que moi, à voir ton visage devenir rouge soudainement. — Je pensais t’avoir choqué en fait et ne savais pas comment tu allais réagir, si tu allais m’insulter parce que je me promène nu sous tes yeux. — On, est des hommes, entre nous, et habitons ensemble en plus. Je ne vois pas où est le problème.
J’aurais bien voulu lui dire que cela ne m’avait pas gêné, au contraire, et que j’aurais voulu en voir plus et plus longtemps.
— Je ne pensais pas que tu étais assez ouvert sur le sujet, Seb. Toi qui ne parle que très rarement de sexe, je pensais que ce n’était pas ton truc. — Effectivement, j’en parle rarement car je ne voulais pas te saouler avec des histoires de cul, comme en général les mecs le font en se retrouvant ensemble. Mais, oui, j’aime le sexe. — Heureux de l’apprendre pour toi et moi, du coup, comme quoi les préjugés nous font porter de mauvais jugements.

Nous ouvrîmes nos quatrièmes bières, elles descendirent bien. Notre discussion du coup fut plus chaude qu’au début, vu que les barrières étaient ouvertes. Il me demanda si je n’avais eu que des femmes comme relations. Je lui dis oui sans oser lui dire que son sexe ne m’avais pas laissé indifférent. Je lui demandai si lui avait déjà eu des expériences bi. Il me dit que oui et avait déjà regardé du porno gay. Il m’expliqua ce qu’il avait déjà fait en grande ligne avec des filles, des garçons et pourquoi il avait regardé du porno gay.
Les bières et notre discussion assez chaude me firent grossir le sexe. Je ne savais pas si je pouvais lui dire quelque chose ou avouer mais, vu qu’il était assez ouvert, je pensais qu’il comprendrait.
— Raph, je ne suis pas gay ou bi mais le fait d’avoir vu ton sexe m’a bien plu en fait et, quand j’y repense, j’aurais bien voulu le revoir, le toucher. Ça te gêne, ma requête ? — Non, pas du tout, je ne pensais pas qu’en me montrant nu, je te ferais envie d’en voir davantage mais je peux comprendre ta curiosité, on dira ironiquement. — Oui, effectivement, plus par curiosité d’en voir une autre que la mienne.
Je pus apercevoir à travers son short que notre discussion ne le laissait pas indifférent. Sa queue avait grossi, tout comme la mienne. C’était à lui de continuer, j’avais fait le premier pas. Il se leva et me dis qu’enfin, il allait descendre son short mais, non, il alla chercher à boire de nouveau en prenant, bien sûr, une autre bière pour moi. En revenant, il s’assit à mes côtés, cette fois-ci, me tendit la bière et me dit.
— On va boire à notre premier échange de bons procédés, car je veux aussi voir la tienne si je te la montre. — Ok, ça joue pour moi, faisons comme ça et pas de jaloux.
Il se leva et descendit son short, sa queue était déjà bien raide, plus grande que tout à l’heure. Ça devait l’exciter tout autant que moi.
— Belle queue à demi bandée, à ce que je vois, par rapport à tout à l’heure. — Heu oui, je crois bien. C’est peut-être les bières et notre discussion, je pense, mais, toi, tu dois être pareil. Montre-la moi. — Ok. Attend, je descends mon jogging, la voilà. — Je constate que la tienne n’est pas molle non plus, ça t’aurait fait aussi presque bander cette situation. — Oui, effectivement, maintenant que tu me le dis.
Nous étions tous les deux debout, queue à l’air en train de nous les regarder quand, du coup, sa main vint toucher mon sexe. Là, mon sexe ne bandait plus à moitié mais complètement, le contact était très agréable.
— Tu as une belle queue, pas trop petite, mais pas énorme non plus. — Merci, elle fait 18x4,5 cm en réalité, les filles ne s’en sont jamais plaintes, je crois, et la tienne ? — Elle est plus grosse elle fait 21x5 cm vas-y touche-la maintenant que tu l’a vue.
Il lâcha la mienne, je posai ma main sur son sexe et le pris en main. Comme la mienne, elle ne mit pas très longtemps à être au garde-à-vous. Il n’avait pas menti : sa queue était plus grande que la mienne et faisait plus de 20cm. C’était doux au toucher mais différent que de tenir la mienne, la sensation était différente. Je la caressai. Il apprécia et il fit de petits gémissements. Je lui branlais carrément la queue à présent. J’arrêtai pour me mettre à genoux et lui toucher les couilles, les malaxer, les caresser. Sa queue était proche de mon visage. Une fois ses couilles bien touchées, je saisis son sexe avec ma main et approchai ma bouche de son gland. Il avait les yeux fermés, je pouvais l’entendre respirer. Ma langue toucha son gland et le lécha. Au final, ce n’était pas si terrible que ça et ce fut comme si on léchait un clitoris.
Sa respiration se faisait saccadée, à présent. Une de ses mains se posa à l’arrière de ma tête. Je savais ce qu’il voulait faire et ce qui allait arriver. Il poussa son bassin en même temps que sa main me poussa contre lui. J’avais son sexe en bouche à présent, pas facile vu la taille de son engin. Il fit de petits allers-retours, je le suçais aussi, de mon côté. Sentir ce sexe me pénétrer la bouche m’excitait terriblement. Ma queue était bien dure et je la branlais en même temps gentiment, je ne voulais pas me faire jouir, beaucoup trop tôt et je voulais que lui aussi posât sa bouche sur mon sexe.
— Tu te débrouilles très bien pour dire que c’est la première queue que tu suces, essaie de la prendre bien profond c’est encore meilleur, tu verras quand je te sucerai à mon tour. Lèche bien mes couilles aussi suce-les, gobe-les bien.
J’aimai être dirigé, qu’il me donnât des ordres. J’aurais même bien voulu qu’il me traitât plus violemment, qu’il me parlât avec des mots plus salaces. J’aimai qu’il me baisât la bouche, ensuite je passai à ses couilles. Je repris sa bite en bouche tout en continuant de jouer avec ses bourses.
— As-tu envie qu’on essaie la gorge profonde et que je te traite comme une chienne. — Oui, vas-y, Raph. Utilise-moi sers-toi de moi. Je veux être ta chose. — Viens ici, petite chienne, couche-toi sur le dos, pose ta tête tout au bord du canapé, qu’elle soit presque dans le vide afin de dégager ta gorge, je vais t’apprendre la gorge profonde.
Je me couchai comme il me l’avait demandé, j’avais déjà vu, dans des films X, des filles le faire. Apparemment c’était la meilleure position pour recevoir une bite en entier, mais il y avait toujours le problème de la gorge pour ne pas vomir à gérer.
— Je vais aller doucement, Seb. T’inquiète, je ne veux pas te faire mal ou te dégoûter du sexe entre hommes. Si tu as mal ou ne veux plus, tu me le dis, d’accord ? — Ok, ça joue, mais j’ai envie d’essayer, savoir ce que cela fait, vas-y juste doucement pour commencer. Je veux voir si ta queue passe dans ma gorge sans douleur et sans problème. — Ouvre ta bouche, sors ta langue, maintenant, on va commencer. Lèche-moi le gland pour bien lubrifier et que ça glisse tout seul.
Il me tapa sur la langue avec sa queue, la fit rouler pour la lubrifier partout. Il mit le gland dans ma bouche et commença à pousser gentiment en faisant des petits allers-retours. Ce n’était pas désagréable mais je sentis quand même des hauts-le-cœur quand la pointe touchait au fond. Je me concentrai pour ne pas tout recracher. Il sentit que j’avais quelques renvois et se retira.
— C’est bien, Seb, tu as toujours envie de continuer notre jeu ? OK, alors continue ainsi, je peux déjà plus l’enfiler qu’avant. Sors ta langue, ouvre bien ta bouche, je vais pousser un peu plus. Comme tu es ma petite chienne, tu vas m’obéir, le temps de la fellation.
Il remit sa queue sur ma langue. Je lui léchai le gland pour bien l’humidifier, il s’accroupit de sorte que son sexe fût à l’horizontale en face de ma bouche. Il la fit rentrer mais ne s’arrêta pas quand le bout vint buter sur ma gorge mais poussa. Je sentis le gland passer cette barrière. Je dus me concentrer pour ne pas recracher ce membre qui avait pris possession de ma gorge. Son pubis touchait ma bouche, ses vingt centimètres étaient complètement en moi. J’avais du mal à ne pas avoir de renvois ou de régurgitations, mais il appréciait, en tous cas d’après ses gémissements. Il se retira. Moi aussi, j’appréciais car ma queue était au garde-à-vous et il me le fit remarquer.
— Tu aimes cela, apparemment, à voir ton sexe comment il bande. Je vais te baiser la bouche, à présent, vu que le mien a pris ses aises dans ta cavité buccale.
Il mit son sexe dans ma bouche d’un coup et entreprit des va-et-vient, gentiment au début, puis de plus en plus vite. Je sentis ma salive couler sur mes joues, le bruit de succion était bien présent. Il attrapa ma tête pour bien la tenir, ses coups étaient réguliers. Je l’entendis gémir et me traiter de chienne, de bouche à pipe et de grosse cochonne. Je sentis qu’il allait bien jouir et j’eus très envie de goûter à cette sensation de se faire remplir la bouche.
Ses mouvements furent plus rapides et courts. Je sentis son gland gonfler et il râlait de plus en plus. Il se stoppa net et cinq jets vinrent s’écraser au fond de ma gorge. Je n’eus pas d’autre choix que d’avaler. Son goût était presque comme le mien. Et, oui, j’avais déjà goûté mon sperme en m’éjaculant dans la bouche.
— Désolé, je ne voulais pas jouir dans ta bouche mais c’était tellement bon que je n’ai pas su me retenir et le faire ailleurs. En tout cas, tu suces très bien, ta gorge est faite pour ça. — Merci, j’en avais envie, que tu me jouisses dans la bouche, j’aurais été frustré si tu t’étais enlevé. J’ai franchement aimé ça, de te sucer et de me faire baiser la bouche. Je ne pensais pas que, pour une première, j’aurais pu la prendre en entier et boire ton sperme ! Maintenant, j’ai envie que tu me suces aussi, sentir la sensation que cela occasionne de se faire sucer par un mec.
Diffuse en direct !
Regarder son live