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Mon colocataire

Chapitre 1

Gay
Ceci est ma toute première histoire, si elle plait peut être que j’en ferais une suite.
Je m’appelle John, j’ai 16 ans, mon physique est plutôt classique, pas moche, pas non plus beau gosse. A la base hétéro, depuis peu de temps je me suis rendu compte d’être également par les hommes, mais uniquement sexuellement, pas sentimentalement. Il m’arrive lorsque je regarde un porno d’admirer la queue du mec et même de m’imaginer à la place de la fille, mes fantasmes sont devenus de plus en plus harcores au fil du temps et je me suis souvent imaginé être l’objet sexuel du mec bien membré. Mais jamais je ne m’étais avant cette année imaginé être capable de sauter le pas et de réaliser mes fantasmes étranges.
C’était la rentrée, je commençais un Bac professionnel en alternance, mais le lycée et mon l’entreprise dans laquelle je devrais travailler se trouvaient trop loin de chez moi, j’ai donc dû prendre un appartement en collocation. Je n’ai rencontré mon nouveau colocataire que quelques jours avant la signature du bail, c’est Jérôme, 21 ans, il fait des études supérieures dans la même ville et cherchait lui aussi un appart. Il était brun et lui aussi était classique physiquement, bien que plus musclé que moi car assez sportif. Je m’entendais plutôt bien avec lui, nous étions bien partis pour être amis.
Peu avant que nous signons le bail, il me prit à parla à part, il dit d’un air très sérieux :— John je voudrais te dire un truc important avant que nous habitions tous les 2.Il parlait comme si il venait annoncer une nouvelle terrible.— Quoi donc ? Répondis-je.— Je ne veux pas te mettre mal à l’aise donc je te le dit assez tôt, en fait je suis bisexuel, beaucoup de gens qui ne comprennent pas aiment me croire juste gay, mais si tu trouves cela gênant d’habiter avec un type qui couche aussi avec des mecs je peux comprendre et je t’en voudrais pas si tu renonce.Je dois avouer que j’ai été assez étonné et un peu gêné, mais il a fait preuve d’honnêteté et visiblement n’a pas l’intention de me draguer.— Ça me dérange pas, je veux pas de discriminer en fonction de tes préférences sexuelles et c’est sympa de prévenir.— Merci mec, ne t’inquiète pas, je ne me comporte pas comme une lopette non plus, mais je cache pas mes préférence sexuelles, je préfère la transparence avec les gens.
C’est donc tout naturellement que nous avons emménagé et commencé nos formations respectives. Mais cette révélation a fait revenir en moi mes fantasmes au fil des jours, et dans ceux-ci, ce n’était plus avec un homme lambda que je m’imaginais mais bien avec Jérôme. Cela me gênait beaucoup au début, car jamais je n’avais fantasmé sur une personne que je connais en vrai, je trouvais ça dégueu et irrespectueux même si la personne n’était pas au courant. Mais les images dans ma tête se multipliaient et lorsqu’il n’était pas à l’appart avec moi, je matais parfois un peu de porno sur mon PC portable, ou je m’imaginais encore être à la place d’une fille avec lui qui m’enfonçait sa grosse queue (que j’aimais imaginer grosse même si je savais pas réellement) dans ma bouche avant de me sodomiser violemment. Mais j’avais toujours horreur des films porno gays. Cette envie de réaliser mon fantasme devenait de plus en plus sérieuse et je n’avais plus que cette idée en tête lorsque je me masturbais. Puis même lorsque le soir il allait se coucher avant moi je me branlait souvent devant un film de cul en m’imaginant qu’il me surprenne tout en souhaitant que ça n’arrive pas, ça me gênerais vachement de me faire surprendre. Puis j’allais me coucher dans notre chambre, nous n’en avons qu’une, avec 2 lits séparée bien sûr, question de budget…
Je matais souvent son entrejambe lorsqu’il ne me regardait pas j’e faisais exprès de me coller furtivement à lui de temps en temps et je parlais à présent sans gêne de sexe avec lui sans pour autant révéler mes fantasmes. Mon comportement lorsque nous n’étions que nous deux devenait de plus en plus flag, et lorsque je prenais ma douche je ne fermais plus la porte à clé. A force de le chauffer en faisant mine de rien, ce qui devait arriver arriva…
C’était à peu près un mois après la rentrée, un soir je prenais ma douche, la porte fermée mais pas à clé comme d’habitude, je venais de faire une sorte de lavement en faisant rentrer tant bien que mal de l’eau dans mon cul pour la faire ressortir en suite, comme assez souvent maintenant, même si je ne pouvais me l’avouer à moi-même, je me tenais prêt au cas ou si un jour il ferait le premier pas. La porte s’ouvrit, je lui dis que c’était occupé, et il répondit :— Je sais.— Oui eh bien attends avant de rentrer alors, et frappe à la porte aussiJ’agissais comme si j’étais un parfait hétéro, sans fantasme envers lui— Si tu laisses la porte ouverte, c’est peut être que tu t’attends à ce que je vienne te voir sous la douche, dit-il d’un ton sérieux.Cette déclaration m’a glacé le sang, j’avais l’impression d’être percé à jour, je réfléchissais à ma réponse lorsque le rideau de douche s’ouvrit brusquement.

Il était là, face à moi, nu lui aussi ! Je n’avais pas eu le réflexe de cacher mon sexe, il le regarda puis releva la tête et me regarda dans les yeux.— Sort de là.Le ton autoritaire qu’il prit me décida immédiatement à obéir.Il reprit :— Tu crois que je t’ai pas remarqué ? Tu me chauffe depuis qu’on vie ici, tu me matte en croyant que je te vois pas, alors tu devrais pas faire la vierge effarouchée maintenant.— C’est faux, dis-je d’un ton bien peu convaincu, trahissant mon mensonge.— Met toi à genoux !Je m’exécutai, je me soumettais à présent à son autorité sans vraiment comprendre pourquoi, ce que je savais en revanche, c’est que dans mes fantasmes, j’étais également soumis à un autre homme.
Je voyais sa bite devant moi, et je fus impressionné, il ne bandait pas encore pourtant sa queue était déjà plus grosse et longue que la mienne complétement bandée (je ne suis pourtant pas à plaindre avec mes 18 cm), elle était complètement rasée. Nous faisions silence pendant que sa queue durcissait sous mon regard atteignant un taille que je ne croyais existant que dans les films porno (j’apprendrais plus tard qu’elle faisait 24 cm de long et 6 de large).— Suce moi salope ! Ordonna-t-il.Je n’avais jamais fait ça auparavant, mais alors que j’hésitais, il prit ma tête de ses 2 mains et poussa son gland contre ma bouche encore fermée. Mes lèvres s’ouvrirent doucement pour laisser entrer ce gros morceau de chair, cette largeur avait du mal à rentrer et me déboitait presque la mâchoire. Lorsqu’il buta contre ma gorge, j’eu un violent haut-le-cœur, « Heureusement que j’ai pas encore mangé, j’aurai tout dégobillé », me dis-je. Je me rendis compte avec horreur que seul un tiers de sa bite était rentrée, mais il poussait encore. Je me débâti, poussant de mes mains sur ses cuisses pour sortir ce monstre de la bouche afin de ne pas mourir étouffé.Il ressortit et dit :— Je te conseille pas de me résister, écoute bien, je vais rentrer ma bite dans ta gorge de pute, quand je dirais d’avaler ta salive tu le fera, et prends bien ta respiration car je ressors pas tant que je vois pas toute ma bite dans ta bouche, compris ?Je hochais la tête sans oser je regarder dans les yeux, je ne l’avais jamais vu comme ça, lui qui d’habitude est très sympathique et bien peu violent est sur le point de me violer.
Je pris donc bien ma respiration et comme promis il rentra à nouveau son énorme mandrin dans ma petite bouche. Lorsqu’il arriva près de ma glotte il m’ordonna d’avaler à plusieurs reprises, ce que je fis, chaque fois un nouveau haut-le-cœur, mais je ne vomissais pas même si l’envie ne manquait pas. A force d’avaler centimètre par centimètre, mon nez buta contre son pubis rasé. Cette fois-ci j’étouffais vraiment, je n’en pouvais plus, heureusement il ressortit d’un coup, ce qui me fit cracher au sol une grande quantité de salive et probablement de bile, je toussais et reprenais ma respiration.— Tu vois quand tu veux pas, tu peux quand même petite salope, me dit-il.Après quelques secondes de pause, sans me demander mon avis il reprit ma tête et rentra à nouveau son pénis dans ma bouche. Ce fut la même chose que précédemment, il me disait d’avaler, je m’exécutais, sauf que cette fois ça rentra beaucoup plus vite et il fit donc des va et viens de plus en plus rapides. Il continua sont labourage de ma gorge en laissant régulièrement 2-3 secondes seulement pour respirer. J’avais sans cesse des haut-le-cœur et le sol se recouvrait peu à peu de ma salive.
Après un bon quart d’heure (d’après mon estimation) de ce traitement sauvage et douloureux, il se mis à grogner et à crier :— Je vais juter dans ta bouche ma petite pute, oh oui ça vient ! … Il enfonça encore une fois d’un coup sec sa bite dans ma gorge et se déversa, il mis encore quelques coups de plus tout en éjaculant pendant que j’étouffais, il mettait du temps à jouir l’animal ! Je sentais son sperme chaud couler dans mon œsophage. Puis il ressortit et me lâcha la tête, je tomba par terre baignant dans ma salive dans ma salive.— T’as une bonne gorge de salope, nettoies tout ça et rejoins moi au salon.
Il quitta la salle de bain, s’arrêta peu après la porte et dit sans se retourner :— Je vais m’occuper de ton cul tout à l’heurePuis il partit au salon…
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