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Mon colocataire informaticien

Chapitre 1

En manque.

Hétéro
Je vis en colocation depuis, maintenant, deux ans. Je suis une petite étudiante en lettres d’à peine un mètre soixante. Lui, il travaille dans l’informatique. Physiquement, il est d’une taille respectable pour un homme, mais tout du cliché de l’informaticien. Une légère tendance à l’embonpoint. Casanier au possible. Passant sa vie derrière les écrans. Je dois avouer que cela m’arrange. En deux ans, il n’a jamais essayé de flirter avec moi ou de tenter la moindre chose, trop occupé à parler avec ses amis, ses collègues. Cela m’a toujours laissé l’occasion de réviser en paix. Mais cette fois-ci, cela est différent. Je veux que ça soit différent – le temps d’un soir. Je l’entends rentrer. Je regarde l’heure sur mon portable. Il est près de vingt heures. Il lui arrive souvent de faire des heures supplémentaires ou de travailler sur des projets personnels sur son lieu de travail. Parfois, tout simplement, il commence à travailler plus tard. J’attends une dizaine de minutes. Je connais sa routine en rentrant du travail : il se met à l’aise, retirant son pantalon, avant de s’allonger sur son lit et d’appeler ses amis pour – encore – parler d’informatique. J’attends et je regarde l’heure passer. Les minutes sont longues. Cela fait deux semaines que j’ai horriblement envie de sexe. Pas juste une simple envie. Une de celles qui vous empêchent de vous concentrer. Tous mes amis sont retournés – hélas — dans leur famille, pour les vacances. Moi ? Disons que je préfère rester ici et lui, en fait, c’est son chez-lui. Cela fait des semaines, voire des mois que je n’ai plus dévoré de moments charnels. Cet après-midi, j’ai essayé de me caresser, mais j’ai besoin de plus, bien plus que quelques caresses. Au bout d’une attente interminable, je me lève. Je prends mon sac en bandoulière, posé contre le mur, dans lequel se trouve mon ordinateur portable. Un prétexte pour rentrer dans sa chambre. Je me regarde dans le miroir. Je tire un peu sur mon débardeur blanc. Dessous, je ne porte rien. J’ajuste ma jupe. Je la trouve un peu trop longue, mais c’est la plus présentable. Une bleue, avec quelques motifs de fleurs, arrivant au-dessus de mes genoux. Ce soir, je compte le séduire. Je frappe à sa chambre et rentre. Effectivement, je ne me suis pas trompée. Il est en gilet et boxer, allongé dans son lit. Il parle, au téléphone, de choses qui me sont complètement étrangères. À ma vue, il coupe rapidement la discussion avec ses amis et se lève, me demandant comment je vais. Je réponds que je vais bien. Il prend mon ordinateur dans mon sac en bandoulière avant de s’installer à son bureau. Il me pose une question, je ne l’écoute pas, me demandant si je compte bien faire ce que je pense, le séduire. Mon ordinateur est déverrouillé, je ne mets jamais de mot de passe. Il me regarde et je reprends mes esprits, m’excusant tout en inventant un problème quelconque pour me justifier d’être ici. Après quelques minutes à regarder mon ordinateur, dans les paramètres, et d’autres onglets dont j’ignore l’utilité, il me dit qu’il ne trouve rien d’anormal et que tout fonctionne correctement, selon lui. — Je veux te baiser. Les mots sortent tout seuls. Je ne peux plus d’attendre. Je n’ai même pas la patience de flirter et de le séduire. Je veux du sexe. Là. Tout de suite. Et je ne compte pas attendre une minute de plus. Je sais qu’il me trouve à son goût. J’avais déjà plusieurs fois surpris son regard sur mes fesses ou mon décolleté quand j’en mettais un (et qu’il n’était pas derrière ses écrans). Rien de plus. Alors, il se lève de sa chaise de bureau et s’allonge dans son lit, un simple matelas posé au sol. — D’accord. Viens.Ses mots me surprennent. Je pense que je ne m’attendais pas à ce qu’il accepte et, en tout cas, pas aussi rapidement. Il enlève son gilet et son t-shirt, se retrouvant simplement vêtu de son boxer. Pour le coup, je dois avouer être un peu plus gênée, me retrouvant, pendant quelques instants, pudique alors que, la minute d’avant, j’étais prête à me jeter sur lui. Je m’allonge près de lui, échange une ou deux banalités avant de prendre mon courage à deux mains. J’enlève ma jupe, dévoilant un string noir que j’ai décidé de porter expressément pour ce soir. Je me redresse pour enlever mon débardeur, libérant une petite poitrine avant de finalement, enlever mon string. Je suis complètement nue et je n’ai pas besoin de me retourner pour savoir son regard sur moi. Je me rallonge, les bras croisés sur mon ventre. J’essaie de m’y faire à cette situation. En deux ans, je n’ai jamais imaginé que cela puisse être possible un jour. Et me voilà nue, dans son lit, avec lui, en train d’échanger des banalités sur mes cours et sur la cuisine (ma passion). Ce manège dure de longues minutes. Je sens que lui parler me détend. Ayant trouvé assez de courage, je glisse ma main sous son boxer. Mes doigts attrapent son sexe bandant déjà à moitié. Il n’est pas impressionnant, mais n’est pas si petit. Tout ce que je veux, c’est du sexe, peu importe. Rien que le fait de commencer à le branler m’excite. Je lui pose quelques questions sur sa vie sexuelle. Les questions, tant que les réponses m’excitent davantage. Je glisse mon autre main entre mes cuisses, caressant mon sexe déjà humide alors que ma première main s’active, un peu plus, sur son membre. Je ne peux m’empêcher de lâcher un soupir de plaisir entre deux questions. — Ce n’est qu’un coup, rien de plus, lui dis-je. Marché conclu ?Il me tend sa main pour sceller cet accord. Je retire, instinctivement, celle d’entre mes cuisses avant de me raviser et de sortir ma main de son boxer, scellant cet accord avec cette dernière, dans un petit rire. Tout cela m’a bien échauffé et mes doigts sont bien humides. Je me redresse, ensuite. Il retire son boxer et je viens sur lui, m’allongeant presque dessus. En position de soixante-neuf, je commence à prendre son sexe en bouche, littéralement avide de dévorer ce membre de chair. Je ne tarde pas à sentir sa langue, quelque peu maladroite, sur mon sexe. Malgré tout, cela m’excite et je le suce avec plus d’entrain. Je pose mes mains sur les draps, ne jouant qu’avec les mouvements de ma tête pour lui prodiguer cette fellation. Je le sens un peu plus grossir dans ma bouche. Sa langue devient un peu plus insistante, me procurant un peu plus de plaisir alors qu’il me donne même une petite tape sur les fesses. Surprise, je dois avouer aimer cette petite prise de risque, cette initiative. Sa hampe dressée, je continue de le sucer, le prenant parfois entièrement en bouche avant de décider que ces petits plaisirs ont duré assez longtemps. Dès lors, je me redresse et me positionne au-dessus de lui, les cuisses écartées. Il tient son sexe et je n’attends pas plus longtemps avant de venir m’empaler dessus. Cela fait tellement du bien. Oh, oui, putain, c’est si bon. Je commence directement à monter et descendre sur sa queue. Je sens le plaisir monter dans mon corps. J’avais presque oublié la sensation qu’une pénétration procure. Après une longue minute de ces montées et descentes, il attrape mes seins, les malaxant fortement et avec une certaine rudesse tandis que ses hanches montent et descendent, tapant contre mon pubis, glissant férocement dans mon vagin. D’un coup, il se redresse, en position assise. Cela a pour effet de me faire tomber en arrière, sur les coudes. Mais cela ne m’empêche pas de continuer à aller et venir sur lui. À quatre pattes, j’attends qu’il se mette derrière moi et qu’il me prenne en levrette. Je sens une main sur ma hanche, l’autre main guidant son sexe en moi avant qu’il ne me pénètre d’un coup. Je lâche un petit cri de plaisir et je ne peux m’empêcher de gémir lorsque, ses deux mains sur mes hanches, il va et vient avec passion en moi. Je me cambre un peu plus pour sentir au mieux son sexe me perforer. Mes mains agrippent les draps alors que je peux l’entendre et le sentir buter contre mes fesses à chaque coup de reins. Cela dure de longues minutes. Je prends un plaisir dingue. Tout d’un coup, il s’arrête et me dit qu’il va venir. Je me retourne, face à lui. Je suis assise, alors qu’il se redresse de ton son haut. Je caresse ma poitrine, la lui présentant. Il se branle quelques instants avant de jouir en puissance. Son premier jet arrive sur mes seins, sentant ce liquide chaud tandis que le second jet, plus puissant, m’inonde les lèvres et le cou. Sans le vouloir, j’en avale une petite partie. Je me reprends et regarde mon corps souillé, ce sperme coulant jusqu’à mon intimité. Je lève les yeux vers lui avant de sourire et me redresser. J’ai aimé. Mon appétit est comblé, mais pour combien de temps ?
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