Lundi 23 mars L’ambiance est beaucoup moins lourde que les autres jours, mais la journée ressemble aux précédentes. En allant visiter la chambre de ma tante et passant devant celle de ma mère, je remarque que son lit est déjà fait alors que les autres jours, il est toujours en désordre.Mardi 24 marsLe lit de ma mère est toujours fait, aussi je dépose un post-it sur la taie d’oreiller avec un mot de bonne nuit, comme je le fais parfois à Paris quand ma mère rentre tard.Mercredi 25 mars Le post-it est toujours présent, je suis maintenant certain que les deux femmes dorment ensemble. Le reste de la semaine reste comme ces jours sans fin, j’attends avec impatience dimanche.Vendredi 27 marsCette fois, c’est le Premier Ministre qui annonce que le confinement est prolongé jusqu’au 15 avril. Étrangement, nous prenons cette nouvelle avec un presque soulagement, ma tante dit qu’elle est heureuse de nous garder encore un peu. Ma mère, qui est écrivain, dit que les vacances sont terminées et que demain, elle reprend le clavier, peu lui importe d’écrire ici ou à Paris du moment qu’elle écrit à son heure de prédilection, le soir tard. Pour ma part, je ne suis pas chagriné non plus de ma vie en pleine campagne, entouré de mes deux femmes, j’attends juste la fin de la semaine. Samedi 28 marsComme la météo passe au beau fixe, ma tante me demande si je veux bien installer le SPA gonflable dans la véranda qui donne sur ma chambre. Je fais cela tranquillement dans la journée et mets l’eau en chauffe. Une fois les femmes couchées, je me glisse dans l’eau, c’est un pur bonheur d’être à poil dans l’eau chaude sous les étoiles. Je sors de ma somnolence en sentant une présence, en ouvrant les yeux, je vois ma tante souriante entrer dans l’eau, elle est en maillot de bain. Nous profitons tous les deux du moment puis ma tante m’annonce aller se coucher, comme à son habitude, elle prend ma tête dans ses mains, pose sa bouche sur la mienne en étant un peu plus appuyée cette fois, je n’ose rien tenter. En se retirant, elle frôle mon sexe nu et dressé. « oh pardon je ne savais pas » elle sort de l’eau et disparaît. Dimanche 29 mars Dès le petit-déjeuner, ma tante rappelle que ce soir, nous sommes de gala. Même scénario que la semaine passée après avoir fait ensemble la cuisine, nous montons dans la chambre de la tante pour le choix des vêtements. Cette semaine, je choisis pour la mère une jupe plissée juste au-dessus du genou et un pull léger et brillant et pour ma tante une robe longue à fleurs boutonnée devant sur toute la hauteur. Je n’ose rappeler pour le choix des dessous, c’est ma tante qui me lance en souriant « tu devais aussi choisir notre lingerie, je suppose que tu sais où je la range ». Je regarde ma tante en souriant, vais vers la commode et ouvre directement le second tiroir là où sont les dessous plus sexy. Je sors une guêpière en tulle bleu, le string assorti et une parure soutien-gorge, shorty et porte-jarretelles en satin crème. Je pose les deux ensembles sur le lit et disant « vous choisirez, mais n’oubliez pas les bas ». Je sors de la chambre et ferme la porte derrière moi. Je vais dans ma chambre me changer et attends au salon. Cela dure un petit bout de temps et mes femmes descendent en ensemble. Pas mal de boutons de la robe de ma tante sont restés ouverts, aussi je vois bien le haut de la guêpière sur sa poitrine ainsi que ses jarretelles quand elle marche. Arrivée dans le salon, ma mère tourne sur elle-même en riant, sa jupe se soulève, me laissant voir jusqu’à son shorty. Assises devant moi dans les fauteuils du salon, c’est un festival de jarretelles et de culottes, je peux même voir la toison brune de ma tante sous son string. Cette fois, c’est ouvertement que je fais des photos avec mon téléphone. Je bande toute la soirée, de l’apéritif à la danse, mais n’ose rien demander ni rien faire de déplacé, vers minuit, les femmes vont se coucher et de mon côté, je vais me branler copieusement avant d’aller dans le SPA. L’eau me fait du bien, je me touche en pensant à cette soirée et rebande vite. La tante apparaît dans la lumière, elle est toujours habillée avec un verre à la main « tu m’attends ? je vais mettre un maillot et j’arrive ». Je souris à ma tante « non, retire juste ta robe et viens comme cela ». Ma tante termine son verre, retire un à un ses boutons et ôte sa robe. Avec l’obscurité, j’ai du mal à la voir juste en guêpière, string et bas. Elle entre dans l’eau, vient contre moi et cette fois-ci, nos langues se mélangent lors de notre baiser. Je sors ses seins des balconnets, les caresse. Très vite, ma tante m’enjambe, je la sens écarter son string et venir sur ma queue, ma tante est déchaînée, elle pleure en allant et venant très vite sur moi, elle se penche sur moi et me glisse à l’oreille « viens, viens en moi chéri, j’ai besoin de sentir ton jus dans mon ventre » je bouge alors à mon tour en elle, nos mouvements se synchronisent « oui chéri, oui viens viens, remplis-moi » je jouis alors en elle, ma tante explose d’orgasme. J’ai joui, mais suis toujours dur en elle. Elle m’embrasse comme une furie « oh chéri, chéri c’est si bon de te retrouver » tout en s’embrassant, je serre ma tante fort contre moi. Mes doigts caressent son dos à travers la guêpière, descendent sur ses fesses, passent dans sa raie et se posent sur son petit trou. Une main vient me stopper « non chéri je n’aime pas » me remonte mes mains dans son dos et la caresse en l’embrassant. Toujours dur en elle, je recommence à aller et venir, cette fois, nous prenons notre temps jusqu’à une jouissance commune. Lundi 30 marsCe matin, ma tante est radieuse, elle chantonne. Ma mère de son côté sourit et je suis certain qu’elle continue de dormir avec ma tante et qu’elle sait tout, mais cela m’est égal. Lors de ma visite dans la chambre, je mets en évidence dans le tiroir une culotte et un soutien-gorge rouge hyper-transparent et sans démarcation et des dim-up. Le soir quand je suis dans le SPA, ma tante arrive en peignoir, allume une lumière sur le côté, ouvre son peignoir me dit « c’est ça que tu voulais aujourd’hui ». Je vois tout en transparence avant qu’elle n’entre dans l’eau et nous faisons encore l’amour comme elle l’aime, une fois très vite et une fois en prenant le temps. C’est devenu notre rituel, rien n’a changé dans la journée, mais le soir pendant que ma mère écrit dans sa chambre, ma tante enfile les dessous choisis dans la journée et viens me rejoindre dans le SPA pour notre séance d’amour. En revanche, toujours une fin de non-recevoir dès qu’un doigt approche trop près de sa rondelle.
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