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mon copain alex est absente

Chapitre 1

Zoophilie
Alex est parti ce soir. Comme souvent, il me laisse seule ce vendredi, devant répondre aux obligations professionnelles qui me l’enlèvent si fréquemment. Je me retrouve donc seule pour la première soirée d’un week-end qui aurait dû être câlin et amoureux. Et comme souvent dans ces cas-là, ma meilleure amie est la télévision. Vautrée sur le canapé, je zappe jusqu’à me lasser de programmes bien peu distrayants. Et comme c’est souvent le cas, l’ennui me conduit naturellement à glisser ma main dans mon shorty, sans même réfléchir à ce qui va suivre, simplement parce que je suis bien comme ça, à caresser mes lèvres sans arrière pensée. Et puis l’envie arrive, j’éteins la boîte à images qui m’empêche de me concentrer sur mes fantasmes les plus inavouables. Je commence à me toucher, la chaleur monte, les sensations de bien être sont toujours au rendez-vous. Je respire fort, sans doute trop fort pour Tiboo. Tiboo, c’est notre chien, un beau labrador de 2 ans ½, couleur sable, traité et lavé par son maître comme s’il s’agissait de son propre fils. Le chien est excité par mes tous petits gémissements, il bondit sur le canapé et m’offre l’une des plus grandes frayeurs de ma vie. J’ai cru que c’était Alex qui me prenait en flagrant délit de masturbation après être revenu à l’appart, chercher quelque chose qu’il aurait pu oublier. Heureusement, non, ce n’est que ce toutou pourtant si calme et discret d’habitude. « Allez, descend Tiboo ». Mais le chien me renifle l’entre-jambe, il a du sentir ma mouille. « Allez, laisse-moi tranquille ». Mais le chien est énervé et commence à fouiner vers mon sexe, ma position écartée, l’aidant rapidement à balancer un coup de langue baveux. « Mais c’est dégueulasse, dégage ». Il venait de lécher mon clitoris et mes lèvres d’un seul coup. Il m’a râpée, j’ai eu mal, ma peau est tellement sensible. Bref, il est descendu aussi rapidement qu’il est monté, sans doute vexée par le ton de ma voix agacée par sa tentative. Difficile de reprendre là où j’en étais après cette intervention imprévue. Qu’importe, j’ai trop envie de jouir et je n’ai rien d’autre à faire alors je recommence à me doigter, à me caresser, en pensant à ce que me ferait mon homme s’il était là. Mais quelque chose me gène. Je n’arrive plus à l’imaginer dans ma tête. Ce qui vient de se passer prend le dessus. J’espère ne pas avoir fait peur au chien, lui qui est tellement câlin. Et puis j’imagine ce qu’est sa vie de chien, sans femelle à saillir, sans sexualité, alors que nos amis les bêtes ne sont pas les dernières à exprimer aussi souvent que possible leur instinct bestial. Je me demande ce qui l’a excité. Je ne le pensais pas attiré par un clitoris humain. Et puis des idées me traversent la tête. Pourquoi j’y pense, je n’en sais rien. Mais je me dis que si le chien a eu envie de moi, je pouvais très bien avoir envie de lui aussi. Trop curieuse, je vais le déranger dans le début de sa sieste, au pied du canapé. Je le caresse, pour savoir s’il me boude ou s’il a déjà oublié. C’est alors que mes yeux se dirigent vers son sexe. Bizarrement, une fourrure le recouvre mais la bosse est là, la bête est bien membrée. Mais comment en sort-elle ? Le chien couché sur le côté, je commence à diriger ma main vers son appareil, pour voir s’il va être réceptif ou non. La réponse se ne fait pas attendre et il suffit de quelques va-et-vient pour que son sexe très rose sorte de sa cachette. C’est la première fois que j’en vois un d’aussi prêt. C’est excitant, le chien bande comme jamais et mouille déjà. Du sperme s’écoule même de son petit tuyau ! Il a déjà joui ? Non, ce n’est que le début, il ne débande pas, je découvre donc que le fonctionnement animal n’est pas celui de mon homme. Ma main est déjà trempée de son jus et je me rends vite compte qu’il n’aime pas qu’on touche son gland. Il préfère que je me concentre à la base de son pénis, dénué de toute peau. Je suis en train de masturber un chien, je m’étonne et pourtant, j’y prends plaisir. Je suis folle mais je pense à le sucer. Est-ce possible ? L’odeur ne va-t-elle pas me rebuter ? Je n’en sais rien mais j’en ai trop envie. Toujours couché sur le côté, le chien se laisse faire et semble même demander à ce que je continue. Jusque là en tailleur, je m’allonge à ses côtés et approche ma bouche de son sexe. C’est dingue ce que je suis en train de faire, si quelqu’un me voyait. Le sexe ne sent pas mauvais, Alex prend tellement soin de Tiboo qu’il ne dégage pas trop de senteurs repoussantes. Je tiens le sexe par sa base, un bulbe a commencé à grossir. Je ne sais pas ce que c’est exactement mais je sais que j’ai terriblement envie de le sucer. Je me lance. La sensation est unique. Ce petit tuyau, ce sexe sans peau, ce sperme qui coule par petits jets récurrents. Je suis couchée face à mon chien, sa queue dans ma bouche. L’excitation dans laquelle je suis est la seule raison qui peut me conduire à faire ça, moi qui n’y ai jamais pensé. J’ai honte de moi mais c’est une expérience nouvelle et j’oublie le reste. Le chien ne bouge guère, satisfait apparemment de sa première fellation. Je dois abuser de lui ? Je n’en sais rien, pourquoi se laisserait-il faire s’il n’aimait pas ? Et surtout pourquoi éjaculerait-il autant ? Je n’avais pas prévu la chose, je me dois donc d’avaler ses petits jets pour éviter de salir la moquette et laisser des traces de cette soirée. Je n’ai jamais eu de mal à avaler celui de mon homme. Celui de Tiboo est un peu différent, plus fade et plus liquide, mais il se boit. Jusqu’à ce que le chien jouisse entièrement et lâche un jet un peu plus conséquent que les autres, me filant à l’occasion un coup de patte en plein front. Il n’a pas fait exprès, il a aimé, et moi aussi, c’est l’essentiel.
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