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Mon Cousin, mon amant

Chapitre 2

Mon cher cousin que je baise !

Gay
Nous retrouvons mes parents pour le petit-déjeuner :
— John mon chéri, ces vacances te sont très profitables, vraiment la compagnie de ton cousin t’est bénéfique. Dom, merci beaucoup de votre attention. Je viens de téléphoner à ta mère, elle serait très heureuse que John t’accompagne à Montpellier à la fin de ce séjour si vous en êtes d’accord, pour nous, il n’y a pas de problème.— Oh super maman, je serais très content de revoir tante Jade, qu’en penses-tu Dom ? — Je trouve l’idée excellente, et je pense que maman ne va pas te reconnaître.
.................................
Nous passons la journée tous ensemble, baignade, promenade, la soirée est arrosée, on parle beaucoup du prochain séjour à Montpellier jusqu’à ce qu’on se dise bonne nuit et qu’on se retrouve dans la chambre
— Bonsoir, mon petit cousin, ces vacances te sont profitables ? — Probablement, si maman le constate.— Dans ce cas, je suis sûr que ton séjour à Montpellier te sera bénéfique, ta tante sera très heureuse de compléter l’éducation reçue, pour l’instant à la douche, j’ai un autre petit exercice à faire avec toi.
A peine sous la douche, il se masturbe doucement et me sourit.
— Viens me sucer !
Je suis sous son charme, son emprise, son autorité et j’aime cette domination ! Comme à mon habitude, je me mets à genoux, m’assieds sur mes talons face à l’objet de mes désirs. Il est épais, mais pas encore gorgé de sang, mes mains sur ses mollets remontent vers les cuisses pour s’emparer sans pudeur de ses fesses, les écarter et rejoindre les doigts dans la raie en positionnant tout de suite quatre doigts dans son cul.
Pendant ce temps, ma langue lèche le bout de sa bite, le gros bourgeon est à peine décalotté, seul pointe le méat sur lequel je m’attarde. Son sexe réagit peu, se redresse à peine, ma bouche en gobe le bout et le décalotte. Tout en aspirant le gland, mes quatre doigts s’enfoncent dans son cul. Le sexe se gonfle et redevient le tronc qui me baisait. Je le suce avec gourmandise, essaye de l’enfoncer en bouche, mais il est disproportionné et seule une infime partie est entourée de mes lèvres.
Dom me prend la tête à deux mains et accompagne le rythme de ma bouche jusqu’à ce qu’il m’immobilise pour qu’avec son bassin, il rythme à sa convenance ses va-et-vient. Je suis immobile et il me baise la bouche comme il me baise le cul. Son pieu me pénètre un peu plus à chaque fois, j’ai l’impression qu’il touche le fond de ma gorge, ma réaction est violente, le rejet de l’envahisseur total, je me dégage d’un coup en ayant un haut-le-cœur ... je le regarde les yeux pleins de larmes, il me sourit. Je prends sa bite en main pour contrôler sa pénétration et reprends ma fellation tout en le masturbant sans le faire jouir. Dom comme satisfait de ma prestation, me relève, mon cousin reste maître de la situation, m’arrête dans mes pensées, dans mes actions et me dit :
— Il est temps de changer les rôles, tu vas t’occuper de mon cul... montre-moi petite pute comme tu baises. Viens dans la chambre !

Sans me laisser le choix, il me quitte, va sur le lit et se met à quatre pattes en cambrant les reins les cuisses écartées, face au miroir, me regardant et souriant.
Je me mets à la hauteur de ses reins, sur le côté. Je prends en main sa queue bandée comme celle d’un chien sorti de son fourreau de poil, je le masturbe énergiquement comme un animal, lui caresse les fesses et brutalement les claque avec force pour reprendre une caresse en rond comme pour adoucir la brûlure et je recommence.
Dom accompagne chaque claque d’un « Han ! », puis de ses deux mains, il écarte son cul. Je me positionne face à ses fesses rougies de ma fessée, son anus est rouge, violacé et très dilaté.
Mes mains rejoignent les siennes et ma langue se plante directement dans son cul en s’enfonçant facilement. Je le titille, ressors, lèche la rondelle, reviens à son anus jusqu’à ce que mon cousin me lance des signes d’excitation de son bassin.
En réponse, je lui lance deux claques aussi fortes que sonnantes, l’empreinte de mes doigts s’imprime rouge sur ses fesses déjà bien roses. Enfin, je lui donne satisfaction. Je me relève de mes talons, prends ma bite qui semble exploser, la place au centre de son anus, me rapproche le plus possible de lui, il me regarde dans le miroir, je le regarde et mes mains posées sur ses hanches :
— Viens John, baise-moi ! Viens maintenant.
Sans aucune résistance de sa part, je le pénètre d’un coup jusqu’à ce que mon ventre soit arrêté par ses fesses. Je suis entièrement en lui. Je découvre la sensation de ce fourreau chaud, doux, m’enveloppant de toutes parts avec une délicieuse pression qui me fait ressentir toutes les contractions de ma bite.
Lui contracte et relâche sa caverne qui me procure un délicieux massage. Je commence un lent balancement d’avant en arrière, l’anus presse ma bite, je bouge librement dans ce fourreau. Je me branle dans son cul, la sensation est non comparable à celle d’une main. Ce fourreau est souple, il masse le sexe sur toute sa longueur. C’est bon, c’est chaud, c’est humide, je sens que c’est de plus en plus mouillé, c’est moelleux ... je vais d’avant en arrière entre ses reins au rythme qui me plaît, lent, rapide, court, long, je prends beaucoup de plaisir, ferme les yeux pour mieux me concentrer, je sens que ma jouissance monte, je ne veux pas, pas tout de suite, je m’immobilise.
Je me couche sur le dos de Dom dont la poitrine repose sur le lit, tellement ses reins sont cambrés. Mes deux mains font le tour de sa poitrine et je me saisis de sa bite, je veux le faire jouir maintenant sans précaution, mes mains sont violentes, elles tirent jusqu’à la base du pubis toute la peau, je veux lui déchirer les derniers points de son frein, et le branle fort, j’entends sa respiration s’accélérer. D’une main, j’atteins ses couilles, elles pendent légèrement, je les tourne sur elles-mêmes comme on fait d’un fruit qu’on veut cueillir, je sens sa bite se contracter, son sperme monte dans le canal, c’est le moment que je choisis pour reprendre mon cousin par les hanches et laisser sa bite abandonnée...
Par contre moi, maintenant je le baise, son fourreau est trempé, je rentre et sors en toute liberté, de mon côté le sperme qui bouillonnait dans mes couilles, remonte en température, Dom a repris ma manœuvre de sa main, il se branle ... je ne veux plus me contrôler et d’un violent coup de reins, je me jette au plus profond de son ventre et j’explose, au moins 3 peut-être 4 jets de sperme le pénètrent
— Oui mon Chou, viens maintenant, jouis en moi, remplis-moi de ton foutre ... AAAAAHHHHH ! je jouis, j’explose, je me vide... effectivement dans le miroir, je vois le sperme s’étaler sur le lit.— OuiIIIIIIII Dom, je te rejoins, je me vide dans ton ventre, je t’inonde cul...
Je reste, je me calme, mes couilles se vident, le sperme s’écoule doucement, je me retire, ma bite a perdu volume et rigidité.
— Mon Chou qu’est-ce que tu m’as mis ... pour deux hommes, jouir ensemble, c’est rare, mais tu m’as fait jouir comme rarement... Tu es une bonne petite pute qui aime la bite, je veux garder tout ton sperme en moi et qu’on se couche dans mon sperme qui inonde le lit...— Oui Dom, il n’y a pas si longtemps, tu me faisais nettoyer avec la langue tout le jus que j’avais répandu alors que tu me doigtais...— C’était avant, viens t’endormir dans mes bras... on s’allonge en cuiller comme à notre habitude, il me prend par la poitrine et mon sexe plein de jouissance, m’embrasse dans le cou et nous rejoignons Morphée.
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