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Mon Cousin, mon amant

Chapitre 3

Nouvelle soirée d'amour

Gay
Le lendemain matin, je suis réveillé par la douche que prend Dom. Je m’étire, relève les draps et suis nu allongé sur le dos lorsque mon cousin revient dans la chambre. Ses yeux se fixent sur mon sexe qui a pris volume et tonicité.
— Bonjour mon Chou, tu as bien dormi ?... Je vois que tu es en forme, j’ai l’impression que ton sexe se développe comme un arbre au printemps, je m’en suis particulièrement rendu compte hier soir quand tu m’as enculé. Tu es bien foutu, une queue qui va plaire aux filles et ... aux hommes si tu veux. Je suis sûr que maman prendra beaucoup de plaisir avec toi.— Je me réjouis beaucoup à l’idée de retourner à Montpellier, ça fait plus de 5 ans que j’y suis allé. Sinon oui, j’ai très bien dormi, faire l’amour le soir décontracte !— Et le matin, met en forme pour la journée (Dom rigole) d’ailleurs vu ton excitation, ne perdons pas de temps, viens que je me régale de toi.
Il s’allonge en 69 à côté de moi, m’offrant son sexe et prenant le mien en bouche... J’ajuste mes mouvements aux siens et commence à le sucer, le branler et le masser. Dom me paraît expert en fellation, vivement que je puisse le comparer à la manière de sa maman.
— Dis-moi, mon Chou, on devrait reprendre notre leçon d’anatomie, tu vas me faire voir ce dont tu te rappelles... — Tu veux que je m’occupe de tes fesses ? ... — Oui ! Tu as tout compris, avec ta main. — OK chien fidèle ! mets-toi bien comme il faut, que je te suce et que je te fouille.
Sans plus attendre, Dom m’offre ses fesses qu’il m’écarte comme à son habitude. Je dépose une bonne dose de salive. Dom est habitué au fisting, je brûle les préliminaires et mets directement quatre doigts dans son anus qui malgré tout, réagit et trouve la prise un peu directe. Je ne prête pas attention au resserrement de l’anneau rectal, au contraire, ma main sort à mi-course, tourne sur elle-même, se creuse, le pouce se place dans la paume et la main replonge dans la salle des plaisirs de mon cousin. Elle se déploie, caresse les parois, touche le fond et trouve l’ouverture sur les intestins.
— Ça va Dom ? — Oui, tu y vas fort !— Tu n’aimes pas ? — Si ça va, continue.— Continue jusqu’où ? Je sens ton ouverture sur les intestins.— Humm c’est bon ... vas-y en douceur comme pour ouvrir l’anus un doigt puis deux. Oui, fouille-moi !
Je joue un peu avec cette ouverture très souple qui se dilate, mes doigts s’unissent en pointe et dépassent la porte secrète. Mon poignet s’enfonce dans l’anus et mon avant-bras l’ouvre un peu plus, j’ai pénétré son cul de presque 25 centimètres.
— Ça va Dom ?
— Oui, c’est bien ainsi, commence à bien bouger d’avant en arrière comme une grosse bite qui m’enculerait ! (je commence à me mouvoir ...) Oui comme ça, tu peux sortir plus et faire d’amples aller-retour, en passant, frotte mon point Q (point P normalement) ... OH ! OUI !!! c’est bon, sors complètement la main et replonge jusqu’au bout ... jamais on ne m’a fisté comme ça ... vas-y sale pute, fais-moi jouir, baise-moi fort, défonce-moi, ferme ton poing et défonce-moi fort.
Je suis impressionné par la souplesse de ses chairs, poing fermé, maintenant je sors et entre dans son cul, son anus est largement ouvert, je lui remplis toute sa cavité, il creuse les reins, me tend les fesses, la tête couchée sur le lit, les yeux fermés et moi derrière lui, le besognant. Mes mouvements se fondent dans son corps qui adopte mon rythme, plus je le besogne, plus il mouille. Enfin, je calme le jeu, je sors ma main, replonge trois doigts, lui masse le point Q,, me glisse sur le côté, prends sa verge et la masturbe en rythme avec mon massage.
— Arrête, je vais jouir !
Il bascule sur le côté en se dégageant de ma main et me laisse juste le temps de prendre son gland en bouche pour recevoir sa première giclée, très puissante, très abondante, suivie des autres. Je ne peux tout absorber, le sperme déborde de ma bouche, j’avale, le flot se calme, je reprends ma respiration et lèche sur son ventre le trop-plein de ma bouche.
— Tu es merveilleux ... allons vite à la douche, tes parents nous attendent.
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Les moments passés avec mes parents ne laissent rien apparaître de nos relations intimes. Ils se plaisent toujours à dire que mon « grand frère » a une influence très bénéfique sur moi. Probablement que son influence est bénéfique, mais surtout, il m’amène à devenir un homme accro au sexe. Mon initiation faite, nous sommes amants à part entière, dès que nous sommes seuls, ce sont baisers amoureux et relations sexuelles sans limites.
Encore quelques jours et nous partirons chez ses parents où je suis sûr que ma tante me fera découvrir tous les trésors cachés d’une femme et peut-être que son mari et son fils participeront à nos jeux.
Pour l’instant, Dom et moi avons idée de profiter de ces vacances sans perdre un instant. Porte de la chambre fermée, il jette chemise et short pour se retrouver en string et à son habitude, maintenant me prend par les cuisses pour que je m’agrippe à son cou et ses hanches. Nos bouches affamées, assoiffées se retrouvent. Les baisers sont aussi longs que profonds. Il me relâche, pourtant je le sentais bien bandé sous mes fesses.
— Viens sur le lit, je vais te faire découvrir autre chose, une autre position pour faire l’amour.
Pas le temps de réagir que déjà, il se libère de son string, sa bite jaillit longue, énorme, la tête du gland débordant de sa gaine de peau, avec des couilles bien pleines, le tout parfaitement épilé. Il s’allonge sur le lit, cuisses légèrement écartées, le temps d’abandonner mes habits, je le rejoins, mon sexe épilé comme le sien, moins long, moins épais, mais très satisfaisant aux dires de mon cousin, il est vrai aussi que mes couilles deviennent plus grosses, plus pleines, de belles couilles d’homme comme dit Dom.
— Quand on baise, il y a une multitude de façons de pénétrer son partenaire, chaque façon donne des sensations différentes, tu touches un point sensible, tu le pénètres plus ou moins profondément, tu peux lui caresser les seins ou les fesses, faire des baisers sur la bouche, dans le cou. Tu découvriras au fur et à mesure de tes rencontres de nouvelles façons, ce qui est important aussi, c’est de savoir retarder la jouissance, faire durer le plaisir. Par exemple toi, tu préfères que je te prenne comme un chien ou comme hier assis sur ma bite ? — Assis parce que je contrôle la pénétration.— Tu vois l’intérêt de varier les positions, l’important est de donner du plaisir à son partenaire, ce soir, on va faire autrement, viens tout contre moi m’embrasser et me p’loter les fesses.
Je m’allonge sur le flanc face à lui, il me prend par les fesses et me plaque contre son ventre, je fais de même. Nos sexes se touchent et s’impriment dans nos ventres, nos bouches se soudent, nos mains écartent les fesses de l’autre, nos doigts s’égarent et investissent le cul de l’autre. On ne sait plus qui se cale sur l’autre, parfois une main quitte une fesse pour venir sur le dos, le caresser, souligner de l’ongle la colonne vertébrale du cou jusqu’à la raie des fesses. Le jeu énerve, excite, les ventres ondulent, les reins se creusent, les bites deviennent dures et demandent leur dû.
Dom s’écarte, m’allonge sur le dos, vient à quatre pattes sur moi, sa tête vers mon sexe, me prend les jambes et les passe sous ses aisselles. Les mains plaquées sur mes fesses, il me lèche de la raie des fesses au bout de ma queue. Il avale mon sexe jusqu’à ce que le gland touche le fond de sa gorge.De mon côté, je prends sa bite, masse d’une main les couilles dures et pleines, de l’autre branle le tronc tout en lui suçant le gland et le couvrant de salive. Dom s’occupe ensuite de mon anus, en étirant la rondelle de ses doigts et pointant sa langue au centre. Sentant mon excitation grandir, il se relève, se place entre mes jambes assis sur ses talons, pose mon bassin sur ses cuisses, me fixe du regard et me plante deux doigts dans le cul pour me branler.
— Je vais bien te baiser petite pute, tu la sens ma grosse bite contre tes fesses, je vais te la mettre dans le cul, tu la veux ? — Oui, maintenant !
La demande est trop pressante, il met mes jambes sur ses épaules, plante son gland sur mon cul couvert de salive. Nos regards se fixent. Son bourgeon appuie sur ma rosace, elle l’accueille, entrouvre les lèvres, mais résiste à la pression. Alors il force, il ruse, ressort pour se planter plus profond, force et recommence, puis comme une danse « un passito atras, dos delante » l’anus est charmé, se détend, le bourgeon profite de la situation pousse et ...
— Ça va mon Chou ? — Attends ... doucement ... attends encore... (la pression de Dom reprend, le tronc glisse lentement, le gland se fait sa place dans mes chairs) - Oui ça va, tu es gros !
Et régulièrement, continuellement, la bite s’enfonce dans mon ventre, je la sens m’envahir, elle retrouve sa place, elle touche le fond de ma caverne et ouvre la porte secrète de mes intestins au moment où le ventre de mon cousin touche mes fesses. Il pousse encore, je voudrais que la progression se poursuive, mais non.
Il s’immobilise, lâche mes jambes qui sont sur ses épaules et se penche pour m’embrasser, son sexe recule au fur et à mesure que nos lèvres se rapprochent.
Ses mains me massent les seins, ses doigts me triturent les tétons. Mon amant me laboure, doucement d’abord, puis change de rythme à sa guise. Je l’accueille, mon anus s’échauffe, le tronc le lime, les deux s’adaptent parfaitement. Les mouvements de ma langue et de mon bassin se coordonnent, tout mon corps vibre à l’unisson avec celui de Dom, lui et moi ne faisons qu’un, ses envies sont mes attentes.
Il se redresse, prend ma bite et sans précaution, la manipule comme pour me faire juter aussi vite que possible. Il me baise maintenant avec force, mon ventre se liquéfie. Ses mouvements de bassin sont amples, sa bite sort totalement et retrouve immédiatement sa place au plus profond de moi, les pénétrations sont puissantes, le ventre tape fort sur mon cul en faisant clap ... clap ..., clap, accompagnés de mes gémissements et du han ... han ... han de Dom. Sa branlette s’intensifie, ma queue ne peut résister et lâche de grands jets de sperme qui me couvrent la poitrine. Il ralentit sa baise pour lécher mes seins et me nettoyer de mon éjaculation, il s’applique, il s’en régale.
Puis il reprend ses tiraillements de mes tétons qui deviennent douloureux, continue de plus belle ses va-et-vient dans mes entrailles, jusqu’à un ultime coup de reins, plus fort, plus brutal, suivi d’une immobilisation au fond de mon ventre, d’une éjaculation et du bouillonnement du sperme... le silence s’installe, j’ouvre mes yeux. Mon amant me regarde, sourit, me dépose un baiser du bout des lèvres.
— Tu as aimé ? — Oui ! — C’était bon ? — Oui ! Mon cul me paraît trempé, et toi, tu as aimé ? — Oh oui ! j’ai aimé le goût de ta laitance, j’ai aimé les réactions de tes tétons, j’ai aimé comme ton ventre me masse ... j’ai rarement joui comme ça avec un homme, tu as un cul de velours.
Il reste en moi, son membre se confond totalement avec mes chairs à présent. Il tombe sur le côté, instinctivement, je lui prends le sexe couvert de mouille jusqu’à la base, même le bas du pubis et ses couilles sont mouillés de sperme et de ma jouissance, je le nettoie, je suis un affamé de sauce. Dom de son côté prend en main ma verge qui a perdu force et vigueur, il la caresse juste pour le plaisir sans idée de me réveiller.
— Si tu veux, prends une douche, je pense que tes intestins ont besoin de se vider.
Effectivement en me levant, je sens que ça coule le long de mes jambes, je porte ma main à mon cul, l’anus est à peine fermé et trempé, la douche est agréable, me fait beaucoup de bien, peu après, je me couche :
— Bonne nuit John ! — Bonne nuit Dom ! À demain ...(il me semble épuisé).
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