Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 43 J'aime
  • 7 Commentaires

Mon Cousin, mon amant

Chapitre 4

Mon cousin me fait découvrir le naturisme

Gay
Les jours passent, les relations avec mon cousin se renouvellent matin et soir, ma sexualité s’est épanouie, mais reste très secrète vis-à-vis de mes parents. Dom m’a fait découvrir les plaisirs de différentes positions dans nos rapports, en particulier le bien-être du massage du gland sur le point Q. J’apprends à contrôler ma jouissance et à m’harmoniser avec mon partenaire.
Le dernier jour des vacances est venu, mes parents après le déjeuner nous abandonnent pour faire quelques courses avant notre retour à la maison. De retour à la chambre, Dom me dit :
— Si tu veux John, je te propose d’aller faire un tour le long de la côte, on ira dans un coin retiré et je te ferai découvrir les plaisirs du naturisme ! — Euh ... c’est-à-dire me mettre nu à l’extérieur ? — Oui, sur une plage et se baigner nu ! — Quel intérêt ? — Ben, parce que c’est beaucoup plus agréable de se baigner nu et ça te donnera un avant-goût des vacances avec ta tante ... — Mais il y aura d’autres personnes, on a le droit d’être nus ? — Bien sûr, si tu le fais là où personne ne te voit ou dans des lieux autorisés au naturisme. Ne t’inquiète pas, je prends les serviettes, de l’eau et on y va en maillot de bain, on verra sur place.
Au bout de 20/25 minutes de balade sur un petit chemin, on arrive dans un endroit abandonné de tous avec une petite plage, la mer est magnifique.
— Regarde là John comme on sera bien, il n’y a personne, viens sur le côté, il y a de l’ombre si on veut, qu’en penses-tu, ce n’est pas bien ? — Si, c’est sympa.— On y va ? — OK !
On descend le petit talus et le plus naturellement du monde, Dom se fout à poil, je n’ai d’autre solution que de me mettre nu. Il installe les serviettes et s’allonge sur le dos, je me mets près de lui.
— On n’est pas bien là ? — Si c’est vrai, c’est calme.— On est mieux que sur la plage de l’hôtel ! — Oui ! C’est mieux (il se tourne vers moi).
— Et on peut s’aimer un peu (il m’embrasse doucement)... Tu es bien comme ça ?
Pour toute réponse, je réponds à son baiser en desserrant les lèvres et en accueillant sa langue, Dom se rapproche de moi, me prend par les épaules et appuie son baiser, nos langues se retrouvent. Sa main me prend la verge dure et excitée, il me décalotte le gland, il pivote, ses lèvres quittent ma bouche pour m’embrasser le torse, me sucer les tétons, descendre jusqu’à mon sexe qu’il gobe ... inquiet, je dis :
— Non Dom, s’il y a du monde ! — Mais regarde, il n’y a personne, en plus, on est à couvert du chemin qui passe au-dessus, t’inquiète pas, laisse-moi t’aimer pour notre dernier jour.
Il revient vers ma bouche, tout en me branlant ouvertement. De mon côté, j’ai pris sa queue qui est déjà bien grosse, je le caresse doucement et le décalotte un maximum en tirant sur le frein.
— Suce-moi John ! Je veux te faire l’amour, regarde là derrière, il n’y a aucun risque, on se met debout, toi en t’appuyant sur l’arbre et je te prends en levrette ...— Non Dom, c’est dangereux, si des gens passent.— Mais non, on ne voit pas le chemin et on ne peut pas nous voir. — Viens suce-moi !
Mon cousin sait y faire, mon excitation est telle que j’oublie tout danger et je le suce avidement, ma tête va-et-vient sur son gland et le début de sa bite... Oui, je la veux et de moi-même j’arrête, je me lève et vais là où l’arbre m’attend, je m’y appuie, écarte les jambes et cambre mes reins comme j’en ai l’habitude maintenant.
Dom ne perd pas son temps puisqu’il est déjà derrière moi, accroupi en train de me lécher la rosace, mon cul s’ouvre sous la pression de ses mains, sa langue retrouve mon anus qui l’accueille sans réticence.
Ensemble, nous voulons cette union, il pointe sa bite sur mon petit trou habitué à sa visite. Lentement, progressivement et sans résistance de ma part, il me pénètre jusqu’à ce que mon cul se referme sur la base de son gros bourgeon, il me connaît, il a l’habitude maintenant, il attend quelques instants, sent que la bague qui l’entoure se détend, et glisse tout son tronc jusqu’à la rencontre de son ventre et de mes fesses.
— Ça va mon Chou ? — Oui, c’est bon, baise-moi bien et longtemps.
Il me prend alors par les hanches et le plus naturellement du monde, va-et-vient entre mes reins, me besogne merveilleusement bien jusqu’à ce que, une voix très chaleureuse murmure :
— Bonjour, vous êtes très beaux tous les deux, je vous observe depuis un moment, je peux me joindre à vous ?
Mon cousin ne semble pas vraiment gêné par cette visite, il s’immobilise en moi et répond :
— Bonjour, excusez-nous, mon petit frère et moi, nous ne vous avions pas vu (ma désignation de petit frère me surprend et m’amuse) — Non bien sûr, j’étais à l’abri de l’autre côté, mais il n’y a aucun problème, j’aime beaucoup !!!
Il s’agit d’un homme un peu plus âgé que mon père, il est nu bronzé sans aucune marque de maillot, musclé, plutôt bel homme sans être athlétique, je suis impressionné par ses seins développés avec des tétons très saillants et son sexe, très sombre, entièrement épilé, le gland décalotté presque noir, volumineux un peu comme celui de Dom, mais surtout ses couilles plus développées que celles de mon cousin, à croire que ça grossit en fonction de l’usage, mais surtout pendantes, au repos, son sexe fait un peu plus de 15 centimètres et ses couilles le dépassent, deux énormes fruits accrochés très loin de la tige. Il est souriant et se caresse très naturellement la queue. Sa tenue est plutôt avenante et comme pour faciliter notre accord, il passe sous mon ventre et me frôle la bite.
— Vous êtes tous les deux bien sympathiques et ce jeune homme est déjà bien équipé. Tout en disant ça, il me prend la bite à pleine main.
Dom pour toute réponse, reprend son va-et-vient.
— Frérot, que penses-tu si Monsieur se joint à nous ?— Euh, je ne sais pas !
Le passant me complimente et comme pour lever mon incertitude, s’occupe maintenant librement de mon sexe, me caresse les couilles et remonte sur le périnée, probablement jusqu’à toucher les couilles de mon cousin et amant.
Dom continue de me baiser. L’homme est à la hauteur de mes épaules, une main plongée sous mon ventre, l’autre me caressant le cou, ma position fait que je ne vois que son ventre et son sexe qui se redresse et prend une taille intéressante. Je lâche mon arbre d’une main pour prendre notre visiteur par la taille et l’avoir face à moi. Je gobe l’engin qu’il me présente maintenant.
Diffuse en direct !
Regarder son live