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Mon cousin, mon initiateur

Chapitre 1

Mon anniversaire

Inceste
Je m’appelle John, pour mes dix-huit ans, mes parents ont organisé une grande fête surprise en réunissant amis, amies et famille. Annie, un petit flirt, était venue avec d’autres copines et copains, il y avait aussi mon cousin Dom de Montpellier que je n’avais pas vu depuis presque 5 ans et d’autres cousines vivant près de chez nous.
J’ai toujours été très proche de tante Jade et de son fils Dom. Ils vivent dans la campagne près de Montpellier. J’allais, enfant, généralement passer les vacances d’été chez eux. J’aimais jouer avec les petits copains du voisinage. J’étais un peu gêné de leur décontraction au soleil. Ils avaient des habitudes très différentes des nôtres, le soleil, la mer et peut-être moins de contraintes. Ils vivaient en maillot de bain et même parfois ma tante sans soutien-gorge alors que mes parents étaient très prudes, ma mère plutôt « Cachez ce sein, que je ne saurais voir ». Dom a 10 ans de plus que moi. Nous jouions peu ensemble à l’époque, mais je l’aimais beaucoup, c’était un grand frère.
J’étais très heureux de le revoir. Il s’amusait beaucoup de ma manière d’être avec ma copine Annie. C’est vrai que c’était très platonique, un bisou très maladroit, un pelotage de seins ou de fesses très superficiel. Ben oui à l’époque, à la maison c’était comme ça !
Le soir, il est resté dormir à la maison, le manque de place a fait que j’ai partagé ma chambre avec lui, on le faisait quand il venait à la maison.
Le soir, la lumière éteinte, nous avons commencé à parler de nos souvenirs, de l’actualité, il m’a demandé comment ça allait avec Annie, nos relations étaient peu amoureuses à son goût. C’est vrai, j’étais timide, tout ce qui était sexuel était tabou à la maison. Lui me racontait ses premières amours, il était très libre et au contraire très ouvert sur le sexe. Il me disait que lorsque je n’étais pas en vacances à Montpellier, avec ses parents, ils vivaient généralement nus et que les discussions de sexe étaient courantes. Il aimait beaucoup sa mère qui le lui rendait bien et lui a fait découvrir comment bien aimer une femme. Ils fréquentaient les plages naturistes de la région, ils invitaient des amis qui comme eux aimaient vivre nus et partageaient leur intimité. Toute une vie différente de la mienne. Quand je lui ai dit que je n’avais jamais eu d’aventures sexuelles avec les filles, il se mit à rire et dire :
— Oh John, mais il est temps que je m’occupe de toi ! Bon... tu as déjà vu une femme à poil ?— Oui quelquefois... oui tante Jade parfois, mais sinon, pas vraiment.— Et Annie ?— Juste un bout-de-sein, quelques caresses, rien de plus.— Viens dans mon lit si tu veux, j’ai une revue, on va regarder des femmes à poil.
C’était au début de l’été, il faisait chaud, il allume la lumière, se lève entièrement nu pour chercher une revue dans son sac. Son sexe pendant, épilé, m’impressionne par sa taille, plus de 20 centimètres et le volume de ses couilles deux belles clémentines. Il se recouche et m’invite à le rejoindre dans son lit, j’y vais en pyjama.
— Tu n’as pas de poil Dom ?— Non, je m’épile depuis toujours, c’est maman qui m’a appris, me disant que c’était plus propre. Je dois dire que j’y suis habitué, c’est agréable et mes partenaires préfèrent quand on fait l’amour. Allez viens, installe-toi près de moi.
Dans son lit, il me prend par les épaules avec son bras gauche et me montre les photos. Les filles nues présentaient largement leur sexe.
— Tu n’as jamais vu un sexe de femme ? Une Chatte ?— Si ! Quelques fois en photo, mais pas aussi bien que là.
— Regarde ce gros plan, on lui voit tout, le clito, son trou largement béant par où tu la baises, et les lèvres qui entourent le vagin.
Il me demande de tenir la revue et de tourner les pages. Au fur et à mesure que je regarde les photos, sa main droite me caresse la poitrine, mon ventre, me pince doucement les tétons en même temps qu’il commente ceux des filles.
Mon sexe réagit et se dresse avec fierté. En même temps, Dom collé contre ma jambe me fait sentir la taille du sien, beaucoup plus gros et long que le mien. Il fait chaud, il relève le drap, son sexe endormi en se levant est devenu énorme tandis que mon pantalon est déformé par ma bite bandée.
— Déshabille-toi, tu vas déformer ton pyjama (il rigole) et tu auras moins chaud...
Après quelques instants, très gêné par manque d’habitude, je me mets nu, mon sexe me paraît presque moitié moins gros que le sien et le mien est tout poilu. Je reprends ma place contre lui et continue de tourner les pages de la revue. Lui commente les seins, les jambes, les fesses des filles et me caresse en fonction de ses commentaires. Sa main s’enhardit et me prend le sexe en allant de haut en bas et en tirant la peau. Le bout du gland se découvre doucement puis il caresse mes couilles qui paraissent bien petites par rapport aux siennes. Une de ses jambes se glisse sous mes fesses, l’autre me prend la cuisse en étau et m’écarte les deux jambes, libérant totalement mon sexe et mes fesses qu’il caresse maintenant sans retenue. Je suis gêné, c’est la première fois que je me trouve nu en compagnie d’une autre personne.
Il se presse contre moi et commence un mouvement du bassin pour frotter son membre contre ma hanche. Je suis surpris par ce contact sur ma peau nue. Le coquin sait y faire, il suit avec attention mes réactions d’abandon, fermant les yeux... et laissant tomber la revue.
Toujours dans son bras gauche, sa main droite ne s’occupe maintenant que de mon sexe, son bassin se calme et il m’embrasse la poitrine, me suce un téton doucement puis plus fort... mon absence de refus l’encourage.
— Tu aimes comme je te caresse.— Oui c’est bon.— Je continue.— Si tu veux.
Face à cet accord, il me fait pivoter sur le côté, de sorte que nous sommes face à face, son bras m’entoure toujours l’épaule et sa bite libérée de ma hanche apparaît dans toute sa longueur en s’appuyant sur mon ventre. Elle me paraît énorme.
Dom surveille sans cesse mes réactions et me demande :
— Comment la trouves-tu ?— Très grosse...— Prends-la comme je te caresse, branle-moi doucement.
En fait, je la prends à deux mains, monte et descends en faisant glisser la peau sur ce long bâton de chair dur comme du bois, mon mouvement s’amplifie et je vois de plus en plus le bout rouge de la bite sortir de la peau, Dom prend mes mains et les abaisse brutalement pour faire sortir son gros bourgeon rouge.
— La peau se tire facilement, ça ne te fait pas mal ?— Ben non John c’est normal, contrairement à toi, mon frein est complètement libre. Vraiment, j’ai l’impression que tu es un gentil garçon qui ne connaît pas grand-chose du sexe. Tu as déjà embrassé une fille avec la langue ?— Non.— Et avec un garçon ?— Oh non !— D’accord John ! Si tu veux, je vais te faire découvrir ce que sont l’amour et le sexe, pour l’instant, n’aie pas peur tu me décalottes bien, tu peux faire aller et venir tes mains en couvrant et découvrant au maximum le gland, n’aie pas peur au contraire.— Mais toi tu ne peux pas faire la même chose avec moi ?— Mais si ! Je vais le faire tout doucement tu vas voir, ça va aller... tu ne te branles jamais ? — Très rarement.
Rassuré, je reprends le mouvement de mes deux mains, en décalé, sur toute la hauteur de la bite sur près de 25 centimètres à présent en faisant apparaître et disparaître ce gros bourgeon. Je suis fasciné par ce que je fais, je tiens fort sa bite et le branle régulièrement. Il me demande de varier les mouvements, de plus ou moins rapides, de plus ou moins longs et de bien appuyer sur l’énorme conduit tout au long de la tige.
De son côté, il continue à s’occuper de ma queue qui devient une belle petite bite comme il dit, il cale son rythme sur le mien. Mon gland se découvre naturellement de moitié puis il tire un peu plus jusqu’à ce que de moi-même je donne un coup de reins qui a pour effet de le décalotter complètement.
— Aiiie (le cri est aigu),— Chut..... (Dom met sa main sur ma bouche)... tu vas réveiller tes parents. Vraiment tu ne te branles pas souvent !
Après quelques instants, sans bruit, il se penche vers mon ventre et me prend la queue en bouche. Avec sa langue, il me lèche là où c’est sensible ? Je le laisse faire, ça brûle un peu puis ça se calme jusqu’à ce que ça devienne plaisir. C’est la première fois qu’on me suce. Toujours aussi coquin, sentant le plaisir qu’il me fait, il continue doucement et avec sa bouche ramène ma peau sur mon bourgeon. La douleur diminue, il se redresse et me demande :
— Ça va mieux.— Oui c’est agréable... c’est la première fois qu’on me prend la queue en bouche, mais ce n’est pas propre.— Non ce n’est pas sale, arrête avec ces idées de grenouille de bénitier, un jour tu verras, pour l’instant, tu deviens un homme. Il était temps que je m’occupe de toi. Maintenant, on va dormir, retourne dans ton lit, tu verras demain tu n’auras plus mal.— Je vais dormir comme toi, c’est la première fois que je dors sans pyjama.— Oui bien sûr, dis-moi il y a beaucoup de premières fois aujourd’hui ! Mais ne dis rien de ce qu’on a fait... ni à tes parents ni à personne !— Non ! Non bien sûr.— Demain je rentre chez moi, si tu veux, j’essaie de revenir rapidement et la prochaine fois on se retrouve comme ça, et on continuera à s’aimer d’accord ?— Oui d’accord !
On se fait un bisou comme d’habitude, entre cousins. Je retourne dans mon lit, la lumière éteinte, j’entends Dom respirer très fort, son matelas bouge puis un grand soulagement.
— Ça va Dom ?— Oui John ça va !— Tu t’es branlé ?— Oui je me branlais, tu m’as excité avec tout ce qu’on a fait, on en reparlera la prochaine fois, dors maintenant.
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