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Mon cousin, mon initiateur

Chapitre 4

nouveaux plaisirs - 2

Inceste
Le lendemain, en me réveillant surprise, une sensation inconnue, un corps contre mon dos, une main me frôle l’épaule , un doigt se pose sur mon téton, une langue lèche le creux de mon oreille, une bouche me fait des bisous dans le cou. Je ne bouge pas, j’entends le bruit des vagues, le cri des mouettes, le choc d’une cuillère dans une tasse. Je sens l’odeur du pain frais. Les yeux fermés je sais qu’il fait jour. Je suis nu, sans drap sur moi, l’air frais me fait frissonner. Mon téton pointe, le doigt le presse, le frôlement de la main devient caresse, la bouche prend mon lobe d’oreille, le suce, le mord. Le corps se colle de tout son long au mien, un sexe se place entre mes fesses, une main sur le ventre me plaque contre l’homme dans mon lit. Il me murmure :

— Bonjour, John !

C’est mon premier réveil d’une nuit partagée, j’ouvre les yeux, le soleil filtre par les volets, j’entends des gens qui parlent, qui prennent le petit déjeuner.

— Bonjour, John ! Bien dormi ? Ta première nuit à deux ?

Tout devient réalité. Mon cousin est contre moi, nu comme moi, son corps plaqué au mien, sa virilité s’impose entre mes fesses. Sa main me caresse, s’empare de ma verge, ses doigts me pincent le téton, le tirent, me font mal. Sa bouche m’embrasse, me fait des suçons, me mord.

— Bonjour, John ! Ça va ?
— Bonjour Dom ! Oui bien dormi.

Il promène sa bouche sur mon cou, me lèche, me couvre de salive. A mon habitude je bande le matin, il en profite pour me prendre la tige et me masturber doucement . On entend les voisins parler à côté. Je murmure :

— Je crois que nos voisins ont pu nous entendre hier soir,
— Peut-être, tu t’es endormi comme une masse et je les ai entendu après .
— … Je préférerais qu’on soit moins expansifs, qu’on ferme la fenêtre.
— T’inquiète !

Il me fait pivoter face à lui, ses bisous deviennent baisers, sa langue pointe sur mes lèvres, force le passage de mes dents et me pénètre. Sa main m’écarte fermement une fesse et deux doigts font pression sur mon œillet.

— Comment ça va ?
— Doucement, un peu endolori.
— Normal, le muscle doit s’assouplir, se détendre. Viens on va prendre une douche ! Tes parents vont nous attendre pour le petit déjeuner.

…...........................................
La première journée est une prise de contact, on découvre l’hôtel, le personnel, les habitudes, le choix de repas le matin pour la journée, les autres vacanciers, la plage, son farniente, les jeux, la baignade. Puis en fin d’après-midi le village, ses crêperies, ses boutiques, le port, le syndicat d’initiative, les balades à programmer dans les environs... Bref le rythme des vacances familiales qui s’intercale avec celui de nos relations intimes. Autant en privé Dom est un démon qui pousse les limites de l’inacceptable, autant en public c’est un ange ayant une attitude irréprochable et lui garantit l’admiration de mes parents comme au moment de leur invitation:’’Mon cher Dom, depuis que tu viens à la maison, notre petit John se transforme. Vraiment tu as une influence très positive sur lui et nous en somme contents.’’

Après le dîner nous profitons du crépuscule jusqu’à 23 heures, on parle, on joue, on fait des programmes de visite, enfin on se sépare « Bonne nuit maman ! Bonne nuit papa ! A demain »

Arrivés dans la chambre l’ange devient démon, mon cousin devient mon initiateur ! Ce soir pour profiter du calme de la nuit nous nous installons directement sur le balcon isolé visuellement mais place idéale pour entendre sans être vus. Nos voisins également sur le balcon parlent peu mais s’expriment par onomatopées sans laisser de doute sur ce qui se passe. Un monsieur et une dame se caressent, les réticences de l’une sont vite abandonnées face à l’insistance de l’autre. Ainsi les « Oh ! non »font place aux « Ah ! Oui »… Les silences laissent les imaginations vagabonder, et le meilleur se produit pour monsieur, lorsque les bruits de gorge s’entendent.

Dès que nous nous sommes installés, Dom animé par l’ambiance, m’ouvre la boutique pour s’affairer sur mon membre à l’exemple de la dame. Les gémissements de jouissance du monsieur sont un ton plus fort aux miens.
A nouveau on entend un duel de oui et de non et en prêtant l’oreille, un murmure étouffé:

— Si... appuie-toi à la rambarde... t’inquiète, il fait nuit, personne ne nous voit.
— Nooooon.
— Chuuut ! Écarte tes cuisses... Oui comme ça,laisse-moi venir.

Dom stoppe sa fellation, comme moi il prête l’oreille, sourit. Personne ne vous voit mais on vous entend et c’est délicieux comme mélodie. Pour le moment on n’entend que le bruit lointain de la mer... Le ressac est entrecoupé de « Oui, oui »étouffés. On a aussi l’impression d’entendre un chuintement régulier ou des baisers mais n’est-ce pas l’imaginaire jusqu’à ce que un « OUIII » sonore mette fin aux ébats.
Dom se relève, me prend par la main, je me réajuste sommairement et rentrons dans la chambre... Nous rions, il fait chaud à l’intérieur et laissons la fenêtre et volets ouverts. Il me dit à voix basse :

— Allez, fous-toi à poil et sous la douche , ET... TU TE LAVES BIEN !
— Euh… tu veux parler de me laver les fesses ?
— Oui parfaitement comme je t’ai appris !
— Seul je ne peux pas !
— T’es vraiment une salope ! Quand tu seras prêt, appelle-moi, je viendrai. Allez, file !

Content de moi, je me savonne bien de partout et abondamment les fesses.

— Dom je suis prêt.
— Mets-toi en position contre le mur et donne-moi le pommeau de la douche.

Comme demandé, je me présente cuisses écartées, reins creusés. Lui est habillé, il prend le pommeau, corrige ma position par des tapes au creux des reins et à l’intérieur des cuisses. Offert comme souhaité, la douchette sur mes fesses, sans précaution, il plonge deux doigts dans mes fesses et fait quelques aller-retours, sort les doigts, me savonne avec attention, masse la rondelle et avec précaution me plante trois doigts bien profond, je tends mes fesses.

— Oui !...C’est bien, tu es propre et ouverte comme une bonne femelle !
— Tu dis ?
— Je t’aime en bonne femelle,comme maintenant. Nous avons tous un côté femelle quand on se fait prendre ! Sèche-toi, je t’attends sur le lit.

J’arrive dans la chambre. Surprise ! il est encore habillé.

— Tu restes habillé ?
— Pour l’instant, OUI ! Allez, à quatre pattes sur le lit et regarde-toi dans le miroir.

Debout, il me donne une grande claque sur les fesses, ça devient une habitude:

— Salope ! Je t’ai dit comme une chienne et cuisses bien écartées... C’est mieux et creuse les reins.

Imaginez la situation: Moi nu à quatre pattes sur le lit, Lui habillé debout à côté, vue dans le miroir c’est hyper excitant. Comme à un chien, d’une main il me flatte la croupe et de l’autre me caresse le pénis qui à l’horizontal défie les lois de l’apesanteur. Je m’offre à lui !
Deux doigts vont directement au point sensible, contre mes couilles, mon bassin s’excite et va à sa rencontre :

— C’est bon, ma salope.
— ….
— Tu aimes ça, hein ?.... Réponds ! il accompagne sa question d’une claque sur le cul.
— Ouiiiiii, je réponds dans un souffle.
— Regarde-toi dans le miroir.

Comme le son de ma supplication, l’image est d’un érotisme fou. Je pense au couple voisin qui doit écouter comme nous avant, nous offrons une sorte d’exhibitionnisme.
Il se met de profil par rapport au miroir, à genoux au sol, il corrige ma position de claques. Le reflet dans le miroir est totalement indécent mais le plaisir balaie toute retenue, je lui donne ce qu’il veut. Il écarte mes deux globes, sa langue me pénètre sans difficulté. Je creuse les reins pour mieux m’offrir, il se régale. La salive coule de mon anus sur le scrotum. Il se redresse, debout suce ses doigts, fixe mon regard dans la glace, me sourit, sa main connaît le chemin, trois doigts me pénètrent.

— Voilà salope !, tu es bien ouverte, je vais te limer la rondelle.

Les doigts tournent sur eux-mêmes, forent, élargissent l’anus qui s’assouplit. Ils s’activent, pénètrent et sortent. La langue lubrifie. Les doigts replongent profondément.
Je me vois heureux dans le miroir alors que je me sens honteux. C’est vrai j’aime ce qu’il me fait, il sait que je suis disponible, qu’il peut me prendre quand il veut mais ...
Il se penche sur mon dos, je sens ses lèvres courir, sa main me travailler, mon anus l’attend mais …
La langue revient avant que deux doigts de chaque main écartent mes chairs. Il laisse tomber un filet de salive directement dans mon ventre.

— ARRETE ! Dom.
— Chuuuuut.

Je laisse faire.
Il tente à présent de plonger quatre doigts d’une main,puis sort. Langue et doigts s’échangent la place, ces aller-retours s’accélèrent, s’amplifient. Il sait que mon cul l’attend mais …
Les quatre doigts sont bloqués à la jointure de la main. Comme pour détourner mon attention, il me prend la verge qui a perdu beaucoup de vigueur. Il lui redonne vie et force, la tige grossit, s’allonge,devient dure. Maintenant il me masturbe et me doigte en même temps. Je ressens une nouvelle jouissance. Toute mon attention se concentre sur cette jouissance anale. Dom cesse de me caresser la verge et se limite à me masser le point Q comme il l’appelle.

— Ça va ?...
— …Mmmmm !

Sa main sur mes reins, il observe mon anus dilaté. Je laisse faire, je m’abandonne, je n’ai plus honte, je ne sais plus ce qui est bien ou mal, je sais juste ce qui est bon. Je sens la sève monter dans ma verge, elle se contracte. Je vais jouir du cul, je vais jouir du sexe, cul et verge ne font qu’un, jouissent ensemble.
Je mouille, j’entends le chuintement des doigts dans mon ventre. Deux, trois jets de sperme partent à l’horizontal,s’étalent sur le lit, je jouis de devant, de derrière, je râle …un râle rauque, profond, audible de tous.

— Ahhhhhh!
— Chuuuut !

Une ou deux minutes plus tard, tout se calme. Dom se retire, je reste cambré :

— Tu es une belle salope ! Ton cul reste grand ouvert, regarde j’y replonge trois doigts et te fouille, t’es trempé. Oui une salope qui a taché les draps. Tu vas me nettoyer ça avec ta langue !
— Tu veux que je lèche mon sperme sur les draps ?
— OOOOH Ouiiii ! On ne va pas laisser ça ! Que va penser l’hôtelier ? tu veux qu’il sache que tu ne sais pas te retenir, que tu jouis comme une petite pute. Allez, mets ça en ordre pendant que je me déshabille !

Comme une chienne je lèche les draps. Il y a trois grandes traînées et une tâche épaisse en arrière. Mon sperme est moins acre, plus doux,aussi salé. Les traînées se détachent facilement et je lape la grosse tache.
Je termine mon nettoyage quand Dom revient nu. Debout il s’astique la queue un peu mollassonne :

— Alors petite chienne on s’est régalée ? On avait soif ?
— …...
— Tourne-toi et bouffe-moi la queue !

J’ai vite fait et me trouve à genoux face à mon cousin qui se tient la queue du bout des doigts comme pour pisser. Sans attendre il la plante sur ma bouche et d’un coup de reins il me l’enfonce, je freine la pénétration de mes dents :

— Mords pas ! Seulement avec les lèvres et laisse-moi faire, je vais te baiser comme une pute !

Commence une nouvelle forme de fellation si je peux dire. Appuyé sur mes deux mains au bord du lit pour ne pas perdre l’équilibre, Dom m’immobilise la tête à deux mains et commence doucement un va-et-vient dans ma bouche. Mes lèvres reposent sur le prépuce, ma langue caresse le gland et.... je laisse faire. Ma bouche n’est qu’un fourreau dans lequel il maîtrise ses mouvements et sa jouissance :

— Ouais ! laisse venir la salive.

Effectivement sous l’action ma salive déborde et produit des sons obscènes de gargouillis qui excitent mon pourfendeur, qui s’active plus et accentue le bruit de sa baise. Ma salive coule sur le menton, probablement sur le lit. Ce n’est plus une fellation, il me baise la bouche comme avant ses doigts dans mes fesses. Toujours pris entre mes lèvres, le mouvement s’allonge, le gland glisse sur le palais, fait de la place à la tige qui commence à me pénétrer.

Dom force le mouvement, la pointe cogne le palais, j’ai des haut-le-corps, rien n’y fait jusqu’à ce qu’il s’arrête d’un coup. Un flot de jouissance inonde ma bouche, je serre les lèvres, malgré tout le sperme déborde, coule. Une deuxième vague m’envahit, j’en avale une toute petite quantité, tout le reste dégueule et une troisième se vide intégralement hors de ma bouche. Le jus coule paisiblement du méat, je déglutis et avale de grosses gorgées du nectar Il libère ma bouche, je respire profondément, une larme perle de son méat et je me surprends à la lécher. Du bout des lèvres j’embrasse la pointe, la reprends, la suce et la nettoie.

D’une main dans les cheveux il me fait garder le contact avec le gland, de l’autre il masse la hampe pour libérer les dernières gouttes de « jus d’homme »

— C’est bien ! mais regarde cochonne tout le bon jus tombé sur le carrelage ! Allez, lèche-moi ça !

Et comme avant sur le lit me voilà à quatre pattes au sol à lécher une grande marre de sperme une fois terminé:

— C’est propre ?... Maintenant au lit.

Dom est déjà au lit, je le rejoins dans ses bras. Un air frais circule dans la chambre, la fenêtre et les volets sont grand ouverts. Le silence revenu, on entend le roulis de la mer, et j’imagine que nos voisins ont pu entendre le bruit de nos amours... La fatigue m’envahit, je garde en bouche cette acidité si particulière, on s’endort emboîtés, comme je me suis réveillé ce matin.
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