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Mon cousin, mon initiateur

Chapitre 5

Perte de virginité

Inceste
Voici déjà presque une semaine que je suis en vacances en Bretagne avec mes parents et mon cousin Dom qui partage ma chambre. Dom est un coquin, chaque soir il repousse mes limites de l’acceptable. Je dois dire que j’ai perdu toutes pudeurs vis à vis de lui, il m’a même convaincu de m’épiler...ceci étant je suis encore vierge !
Aujourd’hui mes parents sont partis en excursion pour la journée et ils ont recommandé à Dom de veiller sur moi.La chambre est dans la pénombre la fenêtre grande ouverte derrière les volets entre-baillés, il fait grand beau, une brise légère me caresse le visage. Comme à mon habitude depuis le début des vacances, je me réveille nu dans les bras de mon cousin, mes fesses au creux de son ventre, je sens son sexe pas vraiment en érection. Je ne bouge pas, je somnole, j’aime ce calme, cette douceur, ce moment d’intimité. Avec une infinie tendresse il me caresse les cheveux et la poitrine, d’un doigt il pointe le téton proéminent, le titille, l’excite... à peine un gémissement de ma part et il m’embrasse dans le cou
— Bonjour !... bien dormi ?— Oui... très bien.— Pas trop endolori ce matin ? (tout en me donnant un petit coup de ventre)
Il faut rappeler que chaque soir nous avons l’habitude de nous faire du bien comme il dit. Ce sont baisers, caresses, fellations, et d’autres plaisirs en continu. Depuis deux jours Dom utilise ma bouche comme un puits d’amour et me fait jouir en me doigtant, une jouissance anale d’une telle intensité que je me sens frustré de ne pas aller plus loin.
— Non ça va, je commence à avoir l’habitude, c’est toujours un peu enflammé et surtout très mouillé. — C’est normal que ce soit humide, ton anus est légèrement distendu et laisse suinter les sucs que tu produits naturellement, une sorte de lubrifiant, un peu comme la cyprine des filles dans leur vagin.

    Couchés l’un contre l’autre nous parlons longuement de nos enfances, de sa première fois puis de ses relations libertines, des récits qui nous excitent l’un et l’autre. Je reste lové contre son ventre, il bande vraiment à présent, sa verge est entre mes cuisses, contre le périnée. Il simule l’acte d’amour et se masturbe doucement.
— Bien ! Si on se levait et prenait le petit dèj, qu’en dis-tu ? Mettons juste un short et polo et allons manger, après on se douchera et je m’occuperai de ton épilation.
………………………De retour à la chambre après avoir mis à la porte le panneau « Ne pas déranger » nous nous déshabillons et passons à la douche. A son habitude, il me prend par les fesses face à lui, appuyé au mur je l’encercle de mes bras et des cuisses. Je sens sa virilité contre ma rondelle, il sait que le fruit est mûr qu’il va bientôt le cueillir. Après quelques baisers et caresses il me repose au sol, lui en pleine érection.
— Ben dis donc !— Ben oui John! et alors tu sais ce que fait une p’tite pute à ce moment ?

La demande est sans détour, à genoux sous la douche, je commence à le sucer tout en le branlant, la pression des lèvres, l’aspiration de la bouche, le tripotage des fruits ont raison de lui mais je lui tords les couilles pour retarder l’éjaculation.Tous les signes sont réunis, le goût précurseur, les contractions, les gémissements... Le premier jet se brise sur le haut du palais, je l’avale presque directement, vient le second puis le troisième qui déborde des lèvres, je ne déglutis pas assez vite, le sperme suinte des commissures des lèvres, le volcan crache plus de lave que d’habitude, enfin la pression baisse, le jus coule lentement. C’est fini !
— Punaise ! qu’est-ce que tu suces bien, tu pompes comme une bonne salope et avale tout… un vrai assoiffé de foutre ! Ça va ?— Oui !... j’ai ma dose.— Ta dose du matin ! (il rigole) maintenant je vais m’occuper de toi, te prodiguer des soins d’esthéticien. Essuie-toi bien et allonge-toi sur le dos.

Dom avec un gros tube de crème me retrouve dans la chambre. Je regarde une dernière fois mon pubis couvert de poils frisés et sans regret je le laisse faire. Il commence avec une grosse noix de crème pour recouvrir le pubis, 10 minutes de bavardage avant de retirer à la spatule crème et poils. Rebelote dans une position totalement indécente, genoux ouverts contre ma poitrine, il s’occupe de l’entrejambe, enfin en levrette il épile le postérieur avec une attention particulière à la raie des fesses. Le coquin prend un malin plaisir éliminer les poils réfractaires à la pince :
— Aïe !... Aïe !... Ça fait mal !— Voilà cousin ! tu es nu comme au jour de ta naissance, passe sous la douche pour enlever toute trace de crème.

Je me rince bien de partout, masse ventre, sexe. La caresse sur la peau glabre donne une sensation totalement nouvelle et terriblement excitante, ma simple caresse devient érotique et en fin de compte je me branle au moment où mon cousin vient voir ce que je fabrique.
— Sale petit vicieux ! En position contre le mur et montre-moi tes fesses.

Il me claque une fesse, avant de me doigter. Toujours sous la douche, Dom s’assied par terre entre mes jambes, il écarte résolument les deux globes et pointe directement sa langue dans l’anus, j’ai l’impression qu’elle me pénètre.
— Tu es magnifique ainsi épilé, en plus tu es bien ouvert, c’est super, ma langue peut te caresser tout le trou bien en profondeur.

Il se relève et me plante à nouveau deux doigts dans les fesses, les fait pivoter pour bien masser le pourtour de l’anus, et commence à masser le point Q. Dom sait y faire et rapidement par le seul massage de mon rectum, comme d’habitude maintenant j’éjacule dans le vide,deux jets de sperme partent à l’horizontal emmenés tout de suite par la douche et ensuite mes couilles se vident tranquillement en goutte à goutte
— Punaise tu es un sacré jouisseur du cul toi. Essuie-toi on va prendre le soleil.
Je me relève, on s’essuie et Dom me mène sur la terrasse.
— Mais je suis nu !— Et alors, moi aussi, tu as le droit, tu es chez toi, tu ne te balades pas nu dans l’espace public, viens bronzer un peu et reposons-nous.— OK, je vais essayer de lire.

    Une heure après Dom me sort de ma rêverie :
— Alors John, tu n’es pas bien ainsi à poil, le vit au grand air ? Tu ne trouves pas qu’être épilé c’est excitant ?— Si ! C’est vrai , je ne cesse de me caresser le pubis tout lisse.— Fais-moi confiance, on est mieux sans poil. Dès mon plus jeune âge j’ai été habitué par ma mère à m’épiler. Allons faire un tour pour libérer la chambre, on mangera un bout sur la plage et on reviendra pour l’heure de la sieste … on met juste le maillot et direction la plage.
…...................................Après le bain et le déjeuner, retour à l’hôtel. Dom est particulièrement excité, dès l’entrée dans le hall il me met la main aux fesses et me pousse vers l’escalier. Seul le concierge est présent à cette heure, tout en souriant il nous souhaite bonne sieste... Un concierge d’hôtel est muet c’est bien connu !
Dans la chambre la fenêtre est grande ouverte derrière les volets fermés, la pénombre et la fraîcheur de la chambre sont appréciables après la luminosité et la chaleur de la plage. On entend le ressac de la mer et les cris d’enfants sur la plage. Par précaution on accroche le carton « Ne pas déranger » à la porte.
Sans nous concerter, le même désir nous anime nous retirons nos maillots de bain et allons directement sur le lit où seuls les draps sont mis. Nos peaux chauffées par le soleil apprécient la fraîcheur des draps qui semblent légèrement amidonnés. Nos lèvres s’unissent en un baiser fougueux tout en se caressant. Il me met la main aux fesses et me plante deux doigts profond. Je lui prends le gourdin et commence à l’astiquer sur toute la hauteur, deux-trois aller-retours et :
— Dom, je vais prendre une douche.— Oui, je t’attends !
Cinq minutes plus tard je retrouve Dom, les mains croisées sous la tête, allongé et jambes écartées, il bande dur. Il me sourit, son regard dit tout. A genoux entre ses jambes, yeux fermés, je salue la divinité, comme il l’appelle, dont je suis le prêtre. J’avale la tête, ma langue pointe la bouche, excite l’attache jusqu’au col. Je lui prodigue les ablutions rituelles, couvre son corps de salive, reprend la tête en bouche, l’aspire, la suce, la fait aller et venir. Je passe d’une simple lèche de la pointe à une fellation profonde. Mes mains masturbent le corps, une sur le tronc, l’autre sur les fruits. Je caresse, je masse, je presse, je griffe, j’étire le frein à le rompre, la langue excite l’urètre sur toute sa longueur, les dents mordent le tronc et les fruits. Presque dix minutes d’attention avant que la divinité ne se contracte :
— John, tu es un maître de la fellation, il est temps que la divinité conquiert son tabernacle. Mets-toi face au miroir, les cuisses écartées, la tête sur le lit, maintenant regarde le spectacle et vis l’ouverture de ton temple.
Moi en levrette, Lui assis sur ses talons à côté de mes hanches. Il me flatte le ventre comme il le ferait à un chien, et par l’arrière train me triture les couilles avant de remonter sur l’anus. Il met un peu de crème, masse l’œillet et plonge deux doigts pour atteindre le point Q.
— Décontracte-toi bien, je vais mieux t’ouvrir !
Il cesse de me branler. D’un bras il m’enlace la taille et m’immobilise contre lui, son autre main s’active dans mon petit trou.
— Tu mouilles bien, tu aimes comme je t’ouvre ?— Oui! c’est bon.
Il continue à me doigter, avant de se mettre à genoux derrière moi. Il pointe sa queue sur ma rondelle tout en m’écartant une fesse. Je creuse les reins, la pointe de la verge bien plantée, des deux mains il écarte mes globes. Il pousse son mandrin dans mes fesses, l’anus résiste, je me cambre davantage, m’offre mieux à la pénétration.Le gland s’affine, mes chairs de distendent, la pointe glisse et se fait une place, l’anus résiste encore. Il joue la détente, relâche la pression, revient, pousse son avantage encore, puis relâche à nouveau. Je me détends et là.... Une poussée violente emporte tout sur son passage, le gland s’enfonce brutalement, mes chairs cèdent et se contractent sur le prépuce. Il est en moi, plus gros que les trois doigts qui m’ont façonné jusqu’à présent, sûr il m’a déchiré :
— Aaaahaaaïïïïïïïïeeee !... (ma respiration se bloque) … TU FAIS MAL !!!!— J’y suis ! Je suis en toi !…il reste immobile, me murmure tout en me caressant : Détends-toi, ça va aller.
Tout se fige, il reste immobile en moi. Je ressens une brûlure, il me caresse le dos et joue en écartant et rapprochant les fesses, me fait une sorte de massage de l’anus, la brûlure n’est plus qu’une gêne... Je respire profondément, calmement, on entend juste le bruit des vagues :
— Ça va John ?— Oui ! attends encore un peu encore.
Le temps que ma respiration redevienne normale, mon anus se détende, je commence à aller en arrière pour m’empaler sur ce pieu qui m’a déchiré. Les deux mains sur ma taille Dom prend son temps et s’enfonce dans mon ventre. Son bassin imperceptiblement va d’avant en arrière le gland progresse régulièrement, mes chairs s’ouvrent, je ne ressens pas de déchirement mais un envahissement pas vraiment douloureux. Le pieu qui s’enfonce me paraît très long jusqu’à ce que je sente le ventre de mon cousin contre mes fesses. Il me murmure :
— John !… tu n’es plus vierge ! — Doucement... tu es gros, tu es long.— Oui ! on a le temps … — Bouge doucement… oui continue comme ça.
Le coquin du « comme ça » il passe à un mouvement beaucoup plus ample mais revient à chaque fois jusqu’à plaquer son ventre sur mes fesses. Je suis sûr que le Clap ! Clap ! produit, peut s’entendre du balcon voisin. Ça m’excite, ça me libère. Mon ventre, mon rectum, mon anneau se décontractent.
Il me laboure le ventre maintenant, en moins de cinq minutes il s’est fait sa place. Le tronc circule sur toute sa longueur et c’est toute la bite qui sort, plonge et recommence… le labour continue, mon fourreau se liquéfie.
La pénétration est violente, ventre et fesses se percutent. Je ahane en rythme avec les râles de mon cousin. Il halète comme un coureur puis donne un coup de reins plus puissant et s’immobilise au plus profond de moi. Ses mains me tiennent fermement collé à lui. Plus rien ne bouge jusqu’à la sensation d’un bouillonnement au fond de mon ventre, c’est la première fois !.... Il jouit en moi, il me retient sinon je m’écroulerais sur le lit. Il me garde ainsi longtemps … encore quelques soubresauts dans mon ventre et... Dom me fait basculer sur le côté, contre son ventre je reste relié à lui par son sexe. Il m’embrasse dans le cou
— Ça va John ?— Oui... on se repose un peu !— Oui, ça nous fera du bien.
Je pense à ce que je viens de vivre... et je sens encore son sexe. Ce n’est plus le tronc qui m’a pourfendu mais une chair qui se dilue en moi. Son sexe fond, disparaît mais nous restons soudés. Je ressens quelque chose qui m’échappe, Dom se retire doucement, il se lève la queue pendante, épaisse, pleine de mouille,
— Viens, on va prendre une douche.
A son habitude il s’occupe de moi, me caresse plus qu’il ne me savonne :
— Mets-toi en position contre le mur.
Debout,appuyé au mur en levrette, il s’absente un instant et revient avec un objet allongé couleur chair. Il me doigte à peine et enfonce facilement l’objet dans mes reins, mon anus se contracte sur un rétrécissement et le bloque dans mon ventre.
— Qu’est-ce que c’est ?— Un souvenir de ce moment. C’est un plug en latex. Celui-ci est petit, certains peuvent être trois fois plus long et gros comme mon poing. C’est pour assouplir et dilater l’anus. Quand tu le porteras il t’excitera et te fera mouiller, tu penseras à l’instant où tu m’as donné ta virginité.
L’objet se place naturellement dans mon fourreau et reste bloqué par mon anneau
— Viens au lit, reposons-nous, nous avons une heure avant le retour de tes parents.

Les volets fermés, une lumière douce éclaire la chambre, je m’allonge en gardant le plug en moi. Dom me caresse le sexe en érection, le suce, rapidement je m’abandonne et lui donne tout . Il pompe encore puis revient contre moi pour partager son butin. Son bouche à bouche m’alimente de ma propre semence. Tout est calme en cette après-midi. On entend à peine l’activité de la plage. Je m’endors détendu dans les bras de mon initiateur qui devient d’un coup mon amant. J’espère que vous suivrez mon histoire qui passe du réel au fantasme avec: « Mon cousin, mon amant »
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