Trois jours après avoir quitté la Bretagne, avec Dom je suis dans le TGV qui nous amène à Montpellier, chez ma tante Jade. Depuis la Bretagne, nous n’avons pas pris le temps de parler de notre rencontre sur la plage avec l’inconnu. — Alors John, heureux de revenir à la maison ? — Oui, très heureux de retrouver ma tante, la mer, peut-être les copains d’avant, mais surtout de rencontrer Jade, sûr que je vais la regarder différemment de la dernière fois, tu te rends compte, ça fait 5 ans, j’avais tout juste 14 ans, j’étais un jeune ado...— Oui et maintenant, tu es un homme et tu vas rencontrer une femme pleine de désirs, j’imagine que ça va être des vacances très occupées, en continuité de notre séjour breton. A ce sujet, nous n’avons pas encore parlé de ton expérience naturiste, qu’en dis-tu (il se rapproche de moi, me fait un bisou dans le cou, sa langue pointe hors de sa bouche et ses lèvres font ventouse, il me murmure:) que penses-tu de cet inconnu et de notre partie à trois, tu as aimé mon petit cochon ? (Un long silence ponctué de bisous, puis...)— Te dire oui simplement serait oublier ma gêne et ma surprise, en plus, je pense que tu savais où tu voulais me conduire et faire. Le soir même, je t’en voulais beaucoup d’abord, me traiter comme un objet, m’offrir comme une vraie pute à cet inconnu, puis le lendemain, je t’en voulais moins, puis de retour chez mes parents, plus du tout. Aujourd’hui, je peux te dire oui ! Oui j’ai aimé, comme tu m’as obligé à me mettre nu sur cette plage, comme tu m’as baisé debout dans la nature, oui j’ai aimé la venue de l’inconnu qui m’a obligé à le sucer, qui m’a traité comme une vraie pute, me triturant les tétons comme personne ne l’avait fait, qui m’a enculé sans précaution directement dans ton sperme, qui m’a exhibé, qui m’a vidé les couilles et après nous a dit au revoir le plus simplement du monde comme si rien ne s’était passé. — Je suis content John que tu te sois libéré ainsi. Tu vas passer des vacances très excitantes avec mes parents, moi en arrivant, je vais vous quitter, car demain, je travaille et je pense que Martine m’attend, d’ailleurs, je vais l’appeler, nous sommes à Nîmes, dans 20 minutes, nous arrivons... (il téléphone) oh la chipie, ce soir, elle sort avec des copines, bon je rentrerai directement chez moi, de toute manière, rassure-toi, nous aurons l’occasion de nous revoir quelques fois durant ces deux semaines et j’espère que tu sauras m’accueillir comme il se doit. Arrivés à Montpellier, Jade nous attend. Une très jolie femme blonde aux yeux bleus nous accueille. Elle n’est pas très grande, de ma taille, plutôt mince, en nu-pieds, avec jean slim et tee-shirt trop petit d’une taille qui mettent en valeur ses courbes très harmonieuses, ses seins de beau volume, ses hanches un peu rondes au-dessous d’une taille bien marquée. Elle est bien bronzée sans excès, élégante, avec les cheveux au vent, à peine maquillée. Elle paraît avoir la quarantaine et ne laisse pas penser qu’elle est la mère d’un garçon de 29 ans. — Oh mes chéris. John ! Comme tu as changé, quel bel homme tu es, où est le petit garçon timide d’il y a 5 ans, viens dans mes bras. Elle entoure mes épaules, me serre contre elle, je sens ses seins contre ma poitrine, ses premiers baisers aux coins des lèvres me frappent comme la foudre, je reste immobilisé et balbutie : — Bonjour Jade, je suis très content de te revoir, tu es magnifique.— Merci mon chéri ! Et toi Dom, ce séjour en Bretagne t’a fait du bien ?...(Elle le prend par la taille et plaque son ventre contre le sien et lui dépose un baiser du bout de ses lèvres sur la bouche, les ventres restent soudés), oui, je te sens reposé et en forme. Allons les enfants, il fait chaud ici, rentrons à la maison.— Euh ! Maman, je vais vous quitter, je rentre chez moi, j’ai beaucoup à faire.— Ah bon ! Martine te manque tant, c’est pour elle ton repos et ta forme ?— Non maman, elle est avec ses copines, mais demain, je dois aller à l’agence.— D’accord, il n’y a pas de problème, mais ce soir, tu viens à la maison, tu dors dans la chambre des invités, j’ai préparé ta chambre pour John ! Avez-vous fait bon voyage ? Vous me raconterez tout ça dans la voiture.
Il n’y a pas à discuter, on arrive à leur maison à Maguelone, elle n’a pas beaucoup changé, un joli jardin bien clos, un grand séjour avec canapés et fauteuils pour une dizaine de personnes et trois chambres, toutes avec un grand lit, la mienne à côté de la douche et en face de celle de ma tante et celle des invités occupée par Dom un peu à l’écart. On retrouve mon oncle Théo en short, bel homme mince, ventre plat, torse nu aux seins légèrement développés, totalement épilé et crâne rasé, seuls ses sourcils laissent penser à un poil grisonnant. La soirée est gaie, on parle de Monique, ma maman, des vacances, du présent, du passé, de Martine, on boit un peu. — Bon mes chéris, il se fait tard, toi Dom, demain, tu dois travailler, John toi demain, tu dors, nous serons tous les deux, Théo doit aller en ville pour la journée, ça nous permettra de reprendre contact. On se lève, débarrasse et on se sépare. Dom embrasse son père sur la bouche et sa mère le prend par les épaules et lui fait un long baiser, leurs corps se plaquent du haut en bas, Dom lui donne un petit coup de reins dans le ventre, et elle de répondre : — Bonne nuit mon Chéri (et en murmurant) tu m’as manqué !...(Puis se tournant vers moi) Bonne nuit John, fais de beaux rêves (elle m’embrasse du coin des lèvres, me prend par les hanches, plaque son ventre et sent mon sexe en érection). C’est vrai que tu es devenu un bel homme ! La nuit, il fait chaud, nous avons l’habitude de laisser toutes les portes ouvertes si ça ne te dérange pas.— Non bien sûr. Bonne nuit Jade, à demain (Théo m’embrasse naturellement, à l’habitude régionale 3 fois sur les joues) Dans ma chambre, je me déshabille rapidement, éteins la lumière et me couche, la lumière de leur chambre éclaire le passage, peu après, je vois Théo, nu, très bronzé, aller à la salle de bain puis le temps de revenir, Jade sort de la chambre, nue, jette un coup d’œil vers moi, je suis sur le dos, le sexe réveillé, mais pudique, elle me souffle un baiser sur sa main et murmure : — Bonne nuit mon chéri ! Elle est très belle, les seins un peu lourds, le ventre plat, des jambes allongées et fines, mon sexe bande outrageusement, elle revient dans sa chambre me voit ainsi, regarde un peu plus longtemps tant pour s’exhiber que m’observer, elle ne rentre pas, suce le bout de son doigt et le pointe vers moi. Elle disparaît, éteint la lumière, tout est calme, tout est sombre, je commence à m’endormir quand j’entends des pas près de moi, c’est Dom. — Bonne nuit mon Chou, tu me fais une place !— Chut ! Il y a tes parents avec la porte ouverte, ils vont nous entendre.— T’inquiète, ils sont occupés écoute (, effectivement, on entend à présent des gémissements étouffés et des bruits de ressorts de matelas très caractéristiques) t’entends ? Viens, embrasse-moi et laisse-moi faire, t’inquiète pas, ma mère ne s’offusque pas plus de taches de sperme sur les draps que de vin sur la nappe. Tu as ton plug ? (pour toute réponse, je me lève et vais le chercher dans ma valise), c’est bien ! Comme ça, je te boucherai le cul avec et tu garderas ma semence en toi...— Tu veux baiser ????— Oui ! Être en harmonie avec mes parents, ça ne te semble pas normal (il sourit) je te dis t’inquiète pas, d’ailleurs celle-là (il prend ma bite) ne s’inquiète pas. De toute manière, il m’interdit toute réaction en m’embrassant goulûment, il est vrai que c’est son premier vrai baiser de la journée, ma langue sevrée s’agite, s’enfonce profondément, ma bouche avide s’ouvre et aspire autant que peut la langue de Dom, les gémissements de nos voisins sont plus bruyants, plus rapides et m’encouragent à exprimer mon plaisir d’autant plus que les mains entrent en action. Alors que d’un bras, je le tiens aux épaules, de l’autre main, je branle avec vigueur cette bite qui m’a manqué depuis hier soir. Dom, lui, m’a pris le sexe à deux mains, de l’une, il me caresse doucement, longuement à chaque fois en tirant au maximum sur le frein, mais surtout de l’autre il passe entre mes cuisses que j’écarte pour lui permettre de titiller ma rondelle. Je veux qu’il me suce, qu’il me bouffe le cul comme il sait si bien le faire, je prends de l’assurance et chuchote : — Dom, viens, bouffe-moi le cul, prends-moi ! Et pour toute réponse de sa part : — Viens ! Donne-moi ton cul que je te défonce profond. Il répond à ma demande en me prenant par la hanche pour que je me mette à quatre pattes. Je tends mes fesses, creuse mes reins, pose ma tête sur mes deux bras. Mon amant connaît mes habitudes maintenant, ses deux mains posées sur mes fesses il force mon anus de sa langue, je suis très disposé et sa langue me pénètre. Il ne s’attarde pas aux préliminaires, il juge ma rosette suffisamment préparée, se relève, j’imagine qu’il se mouille la bite et déjà il pointe le gland sur mon anus. — Tu ne me doigtes pas un peu avant ? — Chut... écoute. Pas un bruit jusqu’à ce que j’entende quelques Oui ! Oui ! Étouffés, suivis d’un râle provenant de la chambre voisine, très intéressé, j’écoute, je deviens presque voyeur de la jouissance de Jade. Je suis très excité, d’autant plus que Dom pousse son gland en moi et me tire vers lui, mon anus cède rapidement à la pression et d’un coup, le gland est dans mon cul, c’est tellement rapide, tellement brutal que je ne peux m’empêcher un : — Aiiii !!! Très étouffé, mais très audible, et j’imagine Jade prêter l’oreille. Je me détends, mon anus se décontracte, Dom le ressent et glisse son mandrin jusqu’à ce qu’il touche le fond de mon sac à jute puis pousse un peu pour que son ventre colle à mes fesses, la pointe du bourgeon pénètre sur mes intestins. Dom profite, immobile de sa position au plus profond de mon ventre puis il commence à sortir un peu pour immédiatement reprendre la place, il se crispe sur mes hanches et me fait accompagner son va-et-vient. Les mouvements prennent enfin de l’amplitude comme j’aime jusqu’à ce que son membre me quitte totalement pour me reprendre jusqu’au fond en me claquant les fesses. Je sais que Jade nous entend et ça m’excite. Dom joue avec toute la gamme des variations, il fait durer le plaisir, sa respiration devient rauque, les Han ! Han ! accompagnent les Clap ! Clap ! Jade et Théo assistent par le bruit à nos ébats jusqu’à... — AAAAH !!! Le dernier coup m’envoie loin. Je m’allonge, le tronc se contracte deux, trois fois, le sperme gicle, s’étend, coule. Dom s’allonge sur mon dos, me plaque sur le lit, m’embrasse dans le cou, me fait des succions, là encore trop bruyants pour ne pas être entendus de nos voisins, et en murmurant : — Tu as aimé mon Chou ? — Oui ! C’était bon.— Viens que je te suce vite, il est tard, mais je veux avaler tout ton jus, avant donne-moi ton plug, je vais boucher la bouteille (il rigole) et tu dormiras avec ma semence en toi ! Il met le plug qui prend bien sa place, mon anneau enserre la partie étroite, il est soudé à mon ventre, ainsi je me retourne et offre mon sexe à sa bouche, elle est experte, elle l’avale entièrement, je suis surpris qu’il le prenne ainsi aussi facilement, puis il pompe, suce, titille, il me masse les couilles, les tire, essaye de les éloigner de la tige, je repense à l’inconnu de la plage avec des couilles pendantes d’au moins 20 centimètres, un jour peut-être ? Il me trait littéralement, je m’abandonne, il me reçoit, m’avale, je jouis. — Ça va ? — Oui ! Qu’est-ce que tu suces bien.— Dis-moi, toi tu jutes de plus en plus ! On va dormir maintenant, il faut que je me lève tôt demain.— Bonne nuit !. Tu restes avec moi ? Tes parents vont nous voir ensemble ! — Tu ne crois pas qu’ils ne nous ont pas entendus baiser ? Pour toute réponse, il m’embrasse, promenant sa langue sur les lèvres et s’allonge à mon côté.