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Mon Cousin, ma Tante et les autres

Chapitre 2

En tête à tête avec ma tante

Erotique
Le lendemain, je me réveille alors qu’il fait grand jour, ma porte de chambre est fermée, je suis nu sur le ventre, je me sens bien, heureux et reposé en même temps je ressens planté dans mes fesses le plug noir que m’a offert Dom lors de notre séjour en Bretagne ... il faut que je me lève, direction les toilettes et la douche.
Dans les toilettes, je me libère et trouve près de la cuvette un petit tuyau terminé par une canule, branché à l’eau. J’en imagine l’utilisation très pratique dans mon cas pour me laver tout l’intérieur de mes intestins, un grand plaisir et en même temps une sensation de jouissance naturelle quand le jet est orienté sur mon point P (ou point Q beaucoup plus significatif pour moi).
Après une bonne douche, je vais dans le séjour, juste habillé d’un boxer et d’un tee-shirt trop large. Je trouve Jade dans la cuisine, pieds nus, habillée d’une robe toute simple boutonnée sur le devant, juste par trois boutons au niveau de la taille qui découvre une grande partie des cuisses et la naissance des seins, visiblement, elle ne porte pas de soutien-gorge vu la liberté de mouvement de ceux-ci.
— Bonjour mon chéri ! As-tu bien dormi ?
Elle vient vers moi, me prend par les épaules et me fait un baiser sur les lèvres que je stoppe au moment où sa langue me les caresse.
— Ohhh ! John, Dom ne t’a pas mieux appris à embrasser ? ...(Je deviens rouge comme les coquelicots) ..... Embrasse-moi mieux que ça !
Jade me prend par la taille, se colle à moi. Je la prends par les hanches pour appuyer mon ventre au sien et ma bouche répond à son baiser, immédiatement, nos langues se découvrent tendrement, se caressent avec plaisir, les yeux fermés, elle tourne légèrement la tête dans un sens puis l’autre. Ses lèvres sont beaucoup plus charnues que celles de Dom, on s’embrasse longuement, longtemps, tendrement. Tout est douceur, tout est différent de Dom, ses mains passent de mes épaules à mon bassin pour remonter sous mon tee-shirt aux épaules. Elle détache les lèvres, mais si peu que mon regard ne peut voir que le bleu de ses yeux et elle murmure.
— C’est beaucoup mieux ainsi, il fait déjà chaud, tu devrais enlever ce tee-shirt !
Je lève les bras et hop, à bas le tee-shirt. J’ai ma poitrine nue contre sa blouse et mon sexe s’appuie sur son ventre. Elle me fait un bisou du bout des lèvres et m’invite à déjeuner.
— Bon, il est l’heure de prendre ton petit-déjeuner, je vais te le préparer ... Théo est parti ce matin accompagner Dom à son agence, puis il va en Avignon dans sa famille, il ne rentre que demain midi. Ainsi aujourd’hui, nous sommes tous les deux, on pourra tout se raconter depuis 5 ans, tu as beaucoup à me dire, je suppose. Demain matin, mon amie Joyce vient, tu auras le temps de faire sa connaissance, c’est la future belle-mère de Dom. Il m’a dit ce matin qu’il t’en avait parlé, elle restera avec nous jusqu’au dîner. Théo se réjouit beaucoup de la voir, elle lui fait beaucoup d’effet, mais on en reparlera...
Pour l’instant, mange, après on fera bronzette dans le jardin, tu verras, on n’est pas gêné par le voisinage. Dom m’a dit aussi que maintenant, le voisinage ne te gênait pas ! N’est-ce pas mon petit coquin, d’ailleurs si ça ne t’ennuie pas, je vais me mettre comme toi.
Sans attendre ma réponse, elle déboutonne sa robe et la fait tomber par terre pour exhiber sa poitrine et me présenter son petit string blanc qui ne cache rien... je reste bouche bée, c’est la première fois que j’ai une femme nue en chair et en os devant moi.
— Ben mon chéri, ne fais pas des yeux comme ça, ce n’est pas la première fois que tu vois une femme nue... presque nue.
— Ben si ! mis à part les fois où j’ai pu te voir il y a 5 ans (et en souriant) Dom ne te l’a pas dit ?— Non ! On n’a pas beaucoup parlé, juste un tout petit peu de votre rencontre avec un inconnu en Bretagne, pour le reste, je vous ai entendu hier soir (je deviens à nouveau rouge comme les coquelicots).
Comme il te l’a dit avec nous, il n’y a pas de problème et je suis contente de ta liberté avec ton cousin. J’espère simplement te conduire aussi vers les femmes, ça serait dommage de te limiter aux hommes, nous avons 15 jours pour te convaincre. Il faut que tu sois comme nous tous : bisexuel ! Hier quand vous baisiez tous les deux, Théo voulait vous rejoindre, je l’en ai empêché.
Tu sais, je suis très différente de ta maman, elle a toujours enfant été très réservée, contrairement à moi. Nos parents me disaient toujours : tu peux mettre une jupe sur ton cul, tu vas te faire violer au coin de la rue ! Ben non, jamais on ne m’a violée et beaucoup, j’ai offert, effectivement aujourd’hui, la nudité est mon plaisir et le sexe mon désir. Bon, John on a le temps, mais tout de même, je vais me doucher et toi, termine ton petit-déjeuner je te dirai quand j’aurai fini.
Une demi-heure après.
— John, mon chéri, j’ai fini ! Tu peux venir.
J’arrive dans la salle de bain et trouve ma tante enfilant un slip de maillot de bain, elle me laisse la place.
— Si tu veux pour une toilette intime soignée, c’est toujours important, tu trouveras dans les toilettes une canule à lavement très agréable et efficace ...
Je m’attarde sous la douche, fais ma toilette intime recommandée, mets mon maillot de bain et rejoins ma tante allongée sur le ventre à l’ombre sur une chaise longue.
— John, mon chéri, te voilà, quel bonheur, viens près de moi, même à l’ombre, il fait chaud, il faut se mettre de la crème solaire, je l’ai mise par terre, tu peux m’en mettre dans le dos s’il te plaît.
Je m’applique dans ma tâche, d’un étalement de la crème dans le dos, je passe à un massage puis une caresse, je m’enhardis en déposant des baisers dans son cou nu, Jade ayant remonté son abondante chevelure en chignon, elle apprécie la prestation.
— Hummm ! C’est délicieux, si tu t’occupes de mon fils comme ça, je comprends votre relation, il va falloir que je découvre rapidement tous tes talents, pour l’instant, tu pourrais les exercer sur mes jambes et même peut-être mes fesses.
Pour me permettre de satisfaire son attente, elle se libère de son maillot qu’elle rejette par terre et me présente son cul. Je commence à appliquer la crème sur les jambes en alternant puis remonte aux cuisses, pas trop haut et toujours en passant d’étaler à masser puis caresser. Je sais que je l’excite et la fais patienter jusqu’au moment où je recule et dépose sur chaque fesse une noisette de crème.
Je passe d’une fesse à l’autre et m’attarde maintenant sur sa raie. Progressivement, elle avait écarté les cuisses, là elle les écarte outrageusement, en plaçant ses genoux en dehors de la chaise tout en creusant exagérément les reins pour m’offrir toute son intimité. Pour donner une raison à mes caresses, je reprends de la crème et l’applique méthodiquement sur la raie et descends en frôlant son anus et glissant sur le début du périnée loin de son sexe.
Le massage m’oblige à m’attarder sur sa rosace et son anus, il est légèrement enflé et rebondi, très sensible, dès que j’y touche, il semble vouloir s’ouvrir comme un bouton de fleur, il gonfle, en fait, Jade pousse comme si elle voulait évacuer l’air. Il est beau, bien rond, bien gros, entouré d’une rosace sombre striée comme un soleil.
Elle l’attend, elle le veut... J’y introduis un doigt qui glisse sans difficulté, doucement, régulièrement, preuve de son élasticité.
— Hummm ... c’est bon !
Je sors et y retourne puis ressors pour lui caresser les fesses, remonte haut sur la ceinture et bas sur les cuisses. Je reprends de la crème pour bien enduire l’intérieur des cuisses et son fessier, je termine en lui embrassant les fesses.
— Tu es un amour, tu as mis la barre haute pour que je le fasse aussi bien. A ton tour, allonge-toi et avant enlève ce maillot ... pas de fausse pudeur !
Pourtant, je lui tourne le dos pour l’enlever. Elle sait qu’elle me verra plus tard et souhaite pour cela m’avoir détendu, vibrant et demandeur. Elle cueillera le fruit quand il sera mûr et sait que ça ne tardera pas.
Allongé, sans précipitation et toujours avec beaucoup de douceur, elle m’enduit de crème en suivant une évolution similaire à la mienne, elle apprécie ma jeune musculature qu’elle pétrit parfois en particulier quand elle arrive aux cuisses. Elle dépose une noix de crème sur chacune de mes fesses. Je lui rends la pareille, écartant les cuisses en mettant les genoux en dehors de la chaise et creusant les reins.
Elle se met à genoux dans l’herbe et commence à me caresser directement les fesses et la raie puis descend sur mon cul et sans aucune gêne, me masse la rosace, s’attarde sur l’anus qui probablement est moins réactif, alors elle plonge directement deux doigts profondément, elle ne dit rien, remonte et va sur mon point Q. La connaisseuse, elle masse vachement bien.
Je creuse encore plus les reins et en m’appuyant sur les pieds à terre, je relève le bassin de telle sorte que ma queue raide comme un bout de bois se dégage de mon ventre et apparaît comme un clown sortant de sa boîte. De sa main libre, elle me donne une grande claque sur les fesses et sort ses doigts de mon cul. Je me plaque à la chaise. Elle me dépose, plein de bisous, des fesses jusqu’au cou et arrivée à mon oreille, me susurre.
— Quel bel homme ! Si sensible ! Pour l’instant, calmons-nous et parle-moi de ma sœur.
On était très bien à l’ombre, une petite brise, la discussion nous permettait à nouveau de parler du passé, de mon enfance, de son enfance au bout d’une petite heure.
— Dis-moi John, il faudrait retourner les steaks sur le grill.
Elle pivote le torse sur le côté, me sourit et me regarde en m’offrant ses seins, somptueux, pas trop gros, un peu lourds tout en étant bien fermes, l’un repose sur la chaise longue, au centre deux mamelons, deux belles framboises très sombres entourées de larges auréoles à peine plus claires. Elle observe mon éblouissement, me fait un grand sourire puis une petite moue et se met sur les dos, cuisses serrées, m’offrant juste son pubis épilé.
— Tu veux bien me mettre de la crème, tu le fais si bien.
Elle ferme les yeux, relève ses bras pour les mettre sous sa tête, attend... Je me décide, à mon tour me lève, je bande fort. La première fois que je vois un corps de femme si proche. J’en ai vu la silhouette hier, je l’ai sous la main maintenant. Je le caresse, doucement d’une main, couvre un sein, le ventre puis avec deux mains, sa poitrine, tourne en rond sur ses seins et remonte jusqu’à son cou et redescend sur ses aisselles épilées comme tout son corps ...
— C’est délicieux John ! Mais avec de la crème, ça me protégerait des caresses du soleil !
Je réponds à sa moue en déposant un bisou sur ses lèvres, elle me prend par le cou et le transforme en un baiser très tendre, les bouts des langues se caressent sans déborder de leur cavité. Son bras me libère. Je peux ainsi commencer à lui mettre de la crème.
Je recouvre son cou et tout le haut de la poitrine puis ses seins, les masse doucement en rond, les mains se rejoignent au centre et remontent en caresse jusqu’au cou pour revenir sur ses deux beaux melons.
Chaque main épouse l’arrondi du dessous du sein et remonte, soulignant la souplesse des fruits offerts, pour descendre vers le ventre. Un peu de crème, je l’étale, masse ce petit ventre rebondi et ferme. Je vais de droite à gauche, de haut en bas, je m’applique, descends jusqu’au pubis. Son sexe est caché par ses cuisses serrées, je vais directement aux pieds puis remonte sur les jambes, tourne autour des mollets, remonte dans le creux des genoux pour revenir sur les cuisses. Les jambes se sont desserrées, les cuisses entrouvertes, le sexe se confond avec la jonction des jambes, mais elle me l’offre, les jambes pivotent sur le côté, les cuisses s’écartent, les genoux dépassent le bord de la chaise et elle pose ses pieds par terre.
Je découvre le sexe féminin, là où l’on naît. Les grandes lèvres très développées s’écartent et découvrent les petites, la tige du clito se dessine parfaitement, le bouton reste caché. J’observe, j’admire et reviens sur terre. Ma seule expérience de sexe féminin, si je peux dire, est avec Annie, mon ancien flirt, une jeune vierge et son sexe était du style abricot fendu, rien en comparaison avec celui-là. La fleur est totalement développée, la chair est colorée, humide, elle vibre, elle est magnifique.
Je reprends de la crème que j’applique en commençant par les cuisses pour remonter au ventre, mes mains découvrent ses courbes, la jonction des jambes, le parcours de l’anus au nombril. Elles ne s’en lassent pas. Jade me prend par la tête, m’attire jusqu’à ses lèvres, me donne un bisou et me murmure :
— A toi mon chéri ! viens que je te mette de la crème avant que tu ne sois rouge, tu auras bien d’autres occasions de me découvrir, allonge-toi !
Ainsi fait, je ferme les yeux comme pour me cacher ... mais mon corps est nu et ma verge bande. Comme par respect, Jade me donne un nouveau bisou et porte son attention sur mes épaules, mes seins, excite les tétons, me palpe le ventre, semble masser mes muscles. Elle poursuit son chemin de découverte en faisant abstraction de mon sexe et en passant directement aux jambes et aux cuisses. Elle masse tous les muscles à deux mains, elle prend chacun de mes mollets en remontant haut sur les cuisses. Je garde les yeux fermés à présent pour savourer le bien-être qu’elle diffuse dans mon corps.
Ses mains entourent la base de mon sexe, elles couvrent mon pubis, le bassin, étalent la crème. Mes jambes entrouvertes lui permettent de me saisir les bourses et la tige de ma queue.
Le cap est franchi et maintenant en reprenant une bonne dose de crème, elle ne s’intéresse qu’à mon sexe. Je lui laisse libre accès en mettant mes pieds de part et d’autre de la chaise. Je lui laisse la liberté de me montrer comment elle sait manipuler un sexe d’homme et c’est vraiment une virtuose des rythmes et des variations, tout est douceur, tout est retenu, tout est fait pour maintenir l’intensité du plaisir, sans précipiter l’éjaculation, elle masse, elle branle, elle excite, elle calme pour mieux reprendre sans aboutir à la jouissance et s’arrête au moment où elle sait que je ne vais plus me retenir, qu’elle va perdre le contrôle de ses mains.
— Tu es très beau, tu es très bien membré, tu as fait un heureux, tu feras une heureuse ! maintenant si tu veux, on va se détendre, se reposer, puis on mangera.
Après on verra, on prendra le temps, ça ne fera qu’amplifier nos envies d’amour, on se reposera à l’ombre et cette après-midi, nous irons en vélo à la plage, elle est naturiste ... ça ne te gêne pas n’est-ce pas, après ton expérience en Bretagne (elle sourit, visiblement, Dom lui a tout dit) tu seras mon protecteur même s’il y a très peu de monde, et ce soir, nous aurons toute la nuit pour mieux nous connaître.
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