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Mon Cousin, ma Tante et les autres

Chapitre 7

A la plage avec mon oncle

Gay
Douche, petit-déjeuner, bisous à Jade qui part à Montpellier, puis Théo prend de quoi passer la journée à la plage, crème solaire, boissons et parasol et nous voilà sur les vélos en direction de la mer.
Au bord de mer, nous avançons vers Frontignan pour nous éloigner des baigneurs nus ou habillés ... Arrivés à un endroit tranquille, Théo remonte vers les bosquets en arrière et trouve un coin reculé. L’inconvénient de l’éloignement de la mer est compensé par l’avantage de la solitude.
Mon oncle se déshabille, je fais de même et me retrouve nu. Il installe serviettes, parasol, et donne tout de suite le "La" de la journée en se mettant sur le dos, jambes écartées et se caressant le sexe tout en souriant.
Hier lors de notre partie carrée avec Joyce et ma tante, j’ai eu l’occasion de le sucer sans le connaître beaucoup plus. Même au repos, il est impressionnant, pas très long, mais très épais, il repose sur des bourses volumineuses, glabre et bronzé, presque noir, il est très érotique et attirant.
— Ici John, on est tranquille, les seuls visiteurs qui peuvent passer viennent pour converser librement ... tu me mets de la crème ?
A genoux à la hauteur de sa poitrine, j’applique la crème sur son corps totalement épilé.
— John ne te gêne pas, mets-toi à cheval sur mon bassin, tu seras plus à l’aise pour me couvrir les épaules.
D’une main, il allonge son sexe sur son ventre, je m’assieds dessus et ajuste ma raie du cul à sa queue. Je prends un certain plaisir à masser ce corps assez musclé et sans poils. Autant je passe rapidement sur les épaules que je m’attarde sur les pectoraux en m’amusant à les lui masser comme des seins de femme et lui me répondant en contractant ses muscles, alors je taquine les tétons en les pinçant ou les tirant en cherchant à lui faire mal. Son visage se crispe, ses yeux se ferment, je relâche, il répond :
— Huuuum ! que c’est bon, continue !!!
Je sens son sexe se réveiller sous mes fesses et je reprends un peu le tiraillement avant de descendre sur ses abdominaux qu’il contracte à son tour... simultanément, son sexe en pleine érection s’imprime dans mes fesses, le petit balancement de mon bassin ne fait qu’augmenter l’excitation. Un peu de crème appliquée de ses aisselles à sa taille, je masse en soulignant le vallonnement des côtes et le trapèze du torse.
— Dis donc tonton, t’es bien foutu... tu dois plaire aux femmes !— Et pas qu’aux femmes mon petit John...
En même temps, il contracte sa bite qui se presse contre mon cul. Considérant que le haut du corps est protégé du soleil, je me lève pour m’occuper des jambes. Là d’un coup, la verge se redresse, grosse, longue, les veines sur le tronc et le canal de l’urètre paraissent énormes, la pomme au sommet rouge avec sa cicatrice rosée du frein. Je la prends en main pour lui faire un bisou au sommet en pointant la langue dans le méat, face à son érection, j’ajoute :
— Toi ! tu attends, ce sera pour la fin !— John, tu es un coquin, tu n’as pas honte de m’exciter ainsi !
À califourchon, je me tourne vers ses pieds et m’assieds sur sa bite, couchée sur son ventre. Je couvre de crème les mollets et remonte jusqu’au-dessus des cuisses en soulignant la musculature puis deux, trois va-et-vient à l’intérieur des cuisses aussi haut que possible sans toucher l’entrejambe.
Je n’y tiens plus, il n’y tient plus, son bassin accuse son excitation, je me relève, prends une grosse noix de crème, l’applique de manière superficielle sur le pubis et la base du sexe, j’accentue l’excitation en massant pubis, haine et l’entrejambe, enfin en ajoutant un peu de crème solaire, je lui prends les couilles d’une main et de l’autre, la verge qu’immédiatement je branle. La crème étalée devient un parfait lubrifiant sur le tronc. Je rabaisse très bas le prépuce, le frein est totalement libéré et le gland ressort, à peine pointu, sa petite bouche s’entrouvre. Je le branle maintenant sans détour et lèche le bout du gland en m’amusant de la pointe de la langue dans le méat, enfin je lui masse bien la pomme placée au sommet du tronc.
— Voilà tonton, satisfait ?— Oui garçon, allonge-toi que je te protège du soleil.
Avec beaucoup d’attention, Théo m’enduit de crème, il s’attarde sur ma tige, mon bourgeon et mes deux petits fruits, j’aime comme il s’occupe de moi et je ferme les yeux. Sa langue me lèche, ma bite se contracte dans sa main. Il prend en bouche juste le gland qu’il suce comme un bonbon puis enfonce ma tige jusqu’au fond de sa gorge et recommence à me branler avec ses lèvres ... Mon excitation monte, mon sexe se contracte à nouveau, signe pour Théo qu’il faut calmer le jeu. Il s’allonge près de moi, pose sa main sur mon sexe et le caresse doucement, j’adopte la même position avec lui.
— On se calme John... tu es bien ainsi ? Après un signe d’affirmation de la tête..... Alors tu es le "Chou" de Dom ? Vous avez beaucoup baisé ensemble ? Tu me racontes un peu ?
Pendant presque une heure, je lui raconte le détail de mon initiation à la dernière rencontre avec l’inconnu de Bretagne. Puis il me remet de la crème, le soleil commence à chauffer, je me laisse faire les yeux fermés... Il me branle tranquillement, j’adore avec la crème solaire, il s’attarde sur le prépuce en le tirant au maximum et sur le gland qui devient hyper-sensible... Il me semble que j’entends des pas près de nous alors que mon oncle me branle ouvertement :
— Bonjour !... Vous avez raison, le soleil brûle déjà et sa peau est toute blanche, un coup de soleil sur la queue est jouissif et il y a des méthodes plus agréables pour jouir.
Surpris, j’ouvre les yeux et vois au-dessus de moi un homme probablement de plus de 60 ans debout en train de se branler le plus naturellement du monde, alors que Théo continue à s’occuper de moi. L’homme s’accroupit et se branle juste au-dessus de ma bouche, il me regarde dans les yeux, s’agenouille et me présente son gland pas plus gros que le mien :
— Alors tu veux bien me sucer pendant que ton papa s’occupe bien de toi ... et Théo d’ajouter (en s’amusant de ce changement de personnalité et jouant le jeu)— Oui bien sûr, mon fils adore sucer et avale tout !
(Je rappelle que cette histoire se passe il y a plus de 40 ans. A l’époque, il y avait une grande liberté sexuelle sans risque de Sida, la capote était un accessoire peu utilisé).
Le visiteur assuré de notre accord, me plante sa queue en bouche et remplace la main de Théo pour me branler. Ma position est assez inconfortable, la tête posée sur la serviette et bloquée par le sexe de l’inconnu, n’a pas de liberté de mouvement. Il commence à aller et venir et me baise la bouche comme si c’était une chatte. La seule chose que je peux faire est de : serrer les lèvres, lui caresser le gland avec ma langue et passer ma main entre ses jambes pour lui masser les couilles velues, grosses et bien pleines.
— Oui, tu es bon toi... pelote-moi bien les roustons et suce bien... voilà bien à fond... fais-moi une gorge profonde salope... plus... tu ne sais pas faire.
Il est de plus en plus violent et s’enfonce jusqu’au moment où je le mords
— Salope... mords pas... suce bien sans mordre !
Je le retiens de mes mains en éloignant son ventre et il recommence plus calmement son va-et-vient, je lui presse les couilles, enfin je sens la queue se contracter... le monsieur ne résiste pas longtemps et déverse toute sa semence dans ma bouche ... il me donne le temps de bien le nettoyer, se relève.
— Une très bonne suceuse, votre fils ! Vous l’avez bien élevé, apprenez-lui à faire des gorges profondes sans mordre... Merci petite pute et à une prochaine fois.— Salut l’ami !
Le visiteur une fois parti :
— Tu as aimé John ?— Euh ! pas vraiment, quelle brute, heureusement que tu m’as dit que c’était tranquille.— Oui ! Tranquille pour nous, on peut sucer, baiser tranquillement, personne viendra nous déranger et les passants savent où ils viennent, des voyeurs ou des gens qui veulent partager. Tu n’aimes pas ?— Euh ! Je ne sais pas ! — Tu n’as pas aimé, la visite de cet inconnu ? (je fais non de la tête)... Tu l’as bien sucé, il était content ? Si tu veux, on s’éloigne d’ici ... en restant, on aura de la visite et ça ira plus loin sûrement.— Et après un long silence, je réponds : Non ... on reste, mais ça ne fait pas pute ?— Non John en aucun cas ... Ça fait tout simplement libertin, ce que nous sommes !
Nous continuons à parler libertinage, des expériences homos de Théo qui vient souvent ici dans ce but.
— Viens on va se baigner.
Le bain est très agréable, les mains de Théo dans l’eau sont baladeuses, d’un doigt, il me doigte le cul, je lui facilite l’accès en me tournant et lui tendant les fesses en creusant les reins, il va pour pointer son gland sur l’anus, mais se ravise. Nous sortons et c’est en me pelotant ou tapant les fesses sans se soucier des passants qu’il me ramène à notre place.
On s’essuie et il me demande de m’allonger sur le ventre pour qu’il me mette de la crème dans le dos. Il le fait vite, il le fait bien, pour aussitôt que possible s’intéresser à mon croupion. Les approches sont rapides, il va directement au but avec la langue.
Il réveille mes souvenirs avec Dom, mon cul est en manque, je reste allongé, relève simplement le bassin, creuse les reins, écarte les cuisses, m’offre entièrement à mon oncle. Il m’aide à tenir la position en passant sa main entre mes cuisses, sous mon ventre pour saisir ma bite, son autre main m’écarte une fesse, je sais ce qu’il veut et ce que j’attends, je l’aide en écartant l’autre. Sa langue me pénètre, pas suffisamment à mon goût, appuyé sur mon ventre, fesses relevées et reins creusés, j’écarte de mes deux mains mes deux globes pour lui laisser l’accès à mon petit trou.
Il s’intéresse beaucoup à ma rosace, la lèche, la suce, l’aspire, la couvre de salive, puis son doigt entre en action. La place est à peine occupée qu’un deuxième doigt me pénètre. Ils bougent librement et connaissent le terrain sensible, s’y positionnent et commencent à me branler en m’excitant le point Q. Théo en connaisseur plante un troisième doigt sans trop de difficultés, les trois tournent autour de l’anus pour bien le masser, le détendre et l’ouvrir, il faut qu’il soit souple si la grosse queue de Théo veut l’investir.
La souplesse est telle qu’un quatrième doigt se présente, il se fait une place et avance le bout des 4 doigts dans la grotte aux secrets jusqu’à leur jonction qui ne trouve pas l’espace d’entrer. La main tourne, fore, élargit l’anus, mais la jonction ne passe pas malgré mes efforts. Théo se positionne entre mes cuisses, se mouille abondamment le gland, le place sur l’anus et me saisissant des deux mains par les hanches.
La verge s’est fait la place sur la rosace, le bout est dans l’anus, sa poussée est forte. Je l’accompagne, je veux son membre en moi. La verge est large, c’est vrai qu’elle me paraît plus grosse que celle de Dom et sa forme arrondie ne facilite pas la pénétration, elle avance. Il bouge un peu, pousse irrésistiblement, je me tends vers lui, je me rappelle la première fois que Dom m’a sodomisé, il me disait "pousse comme lorsque tu es aux toilettes", Théo imperceptiblement se retire ou plutôt arrête son entrée en force pour ne pas perdre le terrain acquis. Je reste allongé sur le ventre, fesses relevées le plus possible, offertes à l’envahisseur ... ma poussée conjuguée à la sienne fait que l’anus cède. Le gland entre brutalement, la moitié du tronc d’un coup est dans la grotte, mon anus se contracte.
Théo prend son temps, il est dans la place et il faut qu’elle s’habitue à son gourdin. Je me décontracte, mon anneau se relâche, il le sent, il pousse et son pubis touche rapidement mes fesses, il est large, mais pas très long, il est moins long que Dom, mais remplit plus la cavité, mes chairs lui font de la place. Pour la première fois, je me fais prendre ainsi allongé sur le ventre et le cul relevé.
Mon cul, mon vagin, ma salle de banquet est disponible pour le festin, les premiers plats entrent et sortent, très lentement, ce sont les hors-d’œuvre, la température monte, les vapeurs aussi, les murs de la salle deviennent humides. Il est temps de servir le plat principal, les coups de boutoir sont plus violents, plus amples et se font sur toute la longueur de la salle, ils s’accélèrent. La salle devient serre tropicale, l’humidité coule sur les parois, le visiteur est à son aise, sans gêne, il va et vient et même il sort entièrement comme pour prendre l’air, mais y retourne aussi vite jusqu’au fond... Théo se calme, reste planté dans mon ventre, il ne jouit pas, ce n’est qu’une pause.
Je relève la tête et vois autour de nous ... 3 hommes à genoux, tous, le sexe épilé et en érection, en train de se branler. Je veux me plaquer au sol, Théo me retient par les hanches et reste au fond de mon ventre..........
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